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Noesam@Voila.fr

  • : sionazisme
  • : Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voir pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien...La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme. .................... Mensonge, désinformation, agression, violence et désobéissance de la loi internationale sont aujourd’hui les principales caractéristiques du sionisme israélien en Palestine.
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Israèl est contre TORAH

*"Les sionistes me dégoûtent autant que les nazis."
(Victor Klemperer, philologue allemand d'origine juive, 1881-1960)

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L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet

é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink

                                               


   

 


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FATHER OF SIONAZISJACOB HITLER

La prétendue ascendance juive d'Hitler: Une "explication" par la haine de soi
Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale.
SOURCE ;alterinfo

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 23:39
Monde Arabe

Gaza Et Les Crimes De Moubarak - Collusion, Complicité, Et Pure Folie



Gaza Et Les Crimes De Moubarak - Collusion, Complicité, Et Pure Folie

Moubarak a violé le droit humanitaire international en maintenant hermétiquement fermé le poste frontière de Rafah. Lui aussi doit rendre des comptes devant la justice de ce crime et de sa complicité dans les crimes de guerre et contre l'humanité commis par le régime Sioniste contre le peuple palestinien de Gaza.

Plus scandaleux encore, pendant l'attaque barbare Sioniste, alors que les Gazaouis étaient affamés, une entreprise égyptienne a nourri les SS -Soldats Sionistes. Si cela n'est pas de la COLLABORATION !

Israël continue de bloquer l'approvisionnement de Gaza et interdit même l'entrée des dattes et des macaronis selon Oxfam International, sans parler du matériel scolaire pour les écoles de l'UNWRA.


Gaza Et Les Crimes De Moubarak - Collusion, Complicité, Et ¨Pure Folie
Aussi bouleversantes que soient les statistiques détaillant la destruction à Gaza, elles ne fournissent qu'un aperçu partiel des tragédies uniques endurées par des individus, des familles, des quartiers et des villages pendant l'assaut sauvage de 22 jours menée par Israël contre l'étroit territoire. Pourtant elles méritent d'être répétées.

Du Palestinian Central Bureau of Statistics ( www.pcbs.gov.ps) et différentes ONG :

1334 tués, 1/3 des enfants ( plus d'enfants tués que de militants)

5450 blessés, 1/3 des enfants.

100 000 personnes déplacées, 50 000 devenues sans abris

4100 maisons résidentielles et immeubles détruits, 17 000 endommagés ( Soit ensemble 14% de tous les immeubles de Gaza)

29 institutions éducatives détruites, dont l'Américan International School

92 mosquées détruites ou endommagées.

1500 magasins, usines, et autres installations commerciales détruites

20 ambulances détruites

35-60% des terres cultivables ravagées

Dégâts estimés à 1.9 millards de dollars

Face à cette destruction massive et cette dureté - et ceci après qu'un siège écrasant de 18 mois ait déjà réduit la situation à Gaza à un état de pure survie - le comportement et les actions du Président Egyptien, Hosni Moubarak, restent méprisables avant comme après la guerre.

Le 25 Décembre, juste deux jours avant le début du bombardement vicieux de Gaza, la ministre des affaires étrangères, Tzipi Livni, a rencontré Moubarak au Caire. L' Egypte, croit-on, a donné son feu vert pour une attaque dans l'espoir que le groupe islamiste dirigeant Hamas (Démocratiquement élu) serait renversé et la faction plus accommodante du Fatah ,conduite par le Président Palestinien, Mahmoud Abbas, le remplacerait.

Le Point de Passage de Rafah Hermétiquement Fermé

Les raisons de l'animosité de Moubarak à l'égard du Hamas, et par extension, pour sa décision répréhensible de maintenir le poste frontière vital avec Gaza fermé à l'aide humanitaire, a été expliqué dans un article précédent

Ceux qui font l'apologie du dictateur diront que l'accord de 2005 entre Israël, l' Autorité Palestinienne et l'UE qui règlementait les mouvements transfrontaliers interdit qu'il soit ouvert en dehors de la présence des observateurs de l'UE et de l'Autorité Palestinienne.

Cependant, cet accord ne mentionne pas l'interdiction des aides humanitaires de première necessité devant rentrer dans le territoire, où les conditions de vie devenaient encore plus désespérées. De plus, l' Egypte n'était pas signataire de cet accord, qui avait déjà expiré un an après et n'a jamais été renouvelé.

Si maintenir le poste frontière de Rafah - la seule ouverture de Gaza vers un territoire non israélien - fermé avant et pendant la guerre n'était pas un crime de guerre, le faire après en est sûrement un.

Empêcher des enfants de Gaza de bénéficier de soins médicaux

Jonathan Cook, reporter pour The National a détaillé quatre cas d'enfants de Gaza qui nécessitaient en France une opération urgente pour leur sauver la vie, mais à qui on a refusé l'entrée en Egypte via Rafah. Comme la tante de l'un des enfants victimes de la guerre a fait remarquer :"chaque matin nous arrivions au poste frontière et les soldats egyptiens nous insultaient et nous disaient de nous en aller."

Des docteurs accompagnant les enfants ont été autorisés à entrer en Egypte, mais les ambulances les transportant n'ont pu entrer. Leur exclusion a été attribué au ministère palestinien de la santé à Ramallah, qui n'a pas autorisé leur sortie, déclarant qu'il "n'y avait plus de raison de transférer des enfants pour être soignés à l'étranger". Les autorités égyptiennes ont obéi à ce règlement, ne voulant pas créer de problème diplomatique.

Mais ce n'est pas une excuse.

Premièrement, le Hamas, élu démocratiquement lors des élections au Parlement en 2006, est l'autorité gouvernementale légitime. Deuxièmement, le mandat de Mahmoud Abbas comme président de l'AP a expiré le 9 janvier. Finalement, les situations médicales d'urgence passent toujours avant de supposées considérations d'ordre bureaucratique. Ceux qui contrôlent le poste frontière de Rafah doivent être directement tenus pour responsables.

Nourrir les soldats Israéliens, pas les Gazaouis

Compte tenu des circonstances catastrophiques dues au manque d'aliments de base (on estime que 75% des enfants de Gaza sont victimes de malnutrition et 30% sont retardés dans leur croissance) un article ( voir traduction ci dessous) récent publié par l'hebdomadaire populaire égyptien Al-Osboa, était d'autant plus choquant. Il révélait qu'une entreprise égyptienne a été autorisée à fournir de la nourriture aux soldats israéliens pendant la guerre alors que les Gazaouis étaient affamés.

Le navire du Croissant Rouge Iranien empêché d'accoster.

Un navire iranien envoyé par la Société du Croissant Rouge transportant 2000 tonnes de médicaments et autre aide humanitaire pour Gaza continue d'être amarré au large des côtes de Gaza. Il a déjà été intercepté par la marine israélienne qui l'a empêché d'accoster à Gaza. Actuellement il attend la permission d'accoster au port égyptien d'Al -Areech pour décharger sa cargaison. A ce jour il n'a pas obtenu l'autorisation.

Compte tenu de ce qui est mentionné ci dessus, le dirigeant du Hezbollah, Sayyid Hassan Nasrallah a vivement critiqué le comportement du régime égyptien :

"L'Egypte a dit au monde arabe et islamique que le poste frontalier de Rafah était ouvert mais il ne l'était pas... L'ouverture du poste frontalier de Rafah est crucial pour le peuple palestinien, la Résistance et les conditions de vie là bas... Sa fermeture est l'un des plus grands crimes de l'histoire."

La réplique du gouvernement égyptien était évidemment prévisible :

"La critique de l'Egypte par Hassan Nasrallah confirme une nouvelle fois qu'il n'est rien d'autre qu'un agent du régime iranien et reçoit ses ordres de Téhéran".

Que Nasrallah reçoive ou non ses ordres de Téhéran ou de Tokyo, il n'y a pas eu de réponse valable à ses accusations. Au lieu de cela, l'Egypte a eu recourt à la rhétorique anti-iranienne éculée qui tombe de plus en plus dans l'oreille d'un sourd. Etre complice du siège de Gaza, consentir au massacre israélien et crimes contre l'humanité, et ensuite, empêcher l'aide d'entrer dans le territoire et les blessés d'en sortir, tout cela constitue des infractions flagrantes.

Alors que de nombreuses personnes demandent à ce qu' Olmert, Barak et Livni et les généraux et soldats qui ont participé à cette guerre soient poursuivis pour violation du droit international et pour avoir commis des crimes de guerre, la propre complicité de Moubarak le rend également passible de telles poursuites.

Rannie Amiri -02/02/09 www.counterpunch.org

Rannie Amiri est un commentateur indépendant sur le Moyen Orient. On peut le joindre à rbamiri à yahoo dot com.


Une entreprise égyptienne a fourni de la nourriture à l'armée israélienne pendant la guerre contre Gaza
Le Caire (PIC - Palestinian Information Center)

Un journal égyptien a révélé qu'une entreprise égyptienne a fourni les troupes israéliennes en nourriture via le point de passage d'Owja pendant la guerre contre Gaza tandis que le poste frontière de Rafah restait fermé aux approvisionnements en aide humanitaire pour les Palestiniens.

Le quotidien Al-Osbo, a dit que des convois réguliers de camions ont transporté des provisions en nourriture de Sadat City jusqu'au point de passage d'Owja pour livraison de " l' International Union of Wholesome Food Products" (société egyptienne ndlt) à la société israélienne "Channels Foods" qui à son tour approvisionnait les troupes israéliennes.

Le journal a exprimé son horreur à la pensée qu'une société égyptienne ait approvisionné les troupes israéliennes avec de la nourriture marquée "Latha", ce qui veut dire "délicieux", alors que le peuple égyptien exprimait sa colère devant les conditions de vie déplorable du peuple de Gaza sous blocus et sous attaque.

Le journal a fourni les détails des chauffeurs, leurs numéros de permis de conduire et leurs adresses, la quantité de nourriture qu'ils ont transportée et les dates de leurs livraisons, spécialement pendant la guerre contre Gaza et ont comparé les chiffres avec les chiffres des victimes à Gaza et la fermeture du poste frontalier de Rafah.

Le journal a aussi fait remarqué que certains Egyptiens soutenant la normalisation des relations avec les Sionistes ont soutenu la position du gouvernement égyptien craignant une détérioration des relations avec leurs partenaires en affaires Sionistes.

Ceux qui font du bizness avec les Sionistes craignaient surtout que leurs affaires périclitent à cause des appels renouvelés au boycott de l'état Sioniste, et ont essayé de dissimuler leur bizness.



Source : http://www.palestine-info.co.uk/ - 30/01/09

Informations complémentaires
Egypte Israël : Bizness comme d'habitude

Le Haut Tribunal Administratif - Cour d'Appel Egyptienne pour régler les différents avec l'Etat - vient d'annuler une décision prise en Novembre dernier par un autre tribunal qui avait lui annulé un accord d'exportation de Gaz entre l'Egypte et Israël, considérant que la décision gouvernementale avait été prise sans l'accord du parlement qui doit statuer sur les décisions concernant le commerce des ressources naturelles du pays. Le parlement n'avait pas été consulté sur cet accord de vente de gaz égyptien à Israël. Certains ont affirmé qu'en plus l'Egypte vendait son gaz à Israël à un prix trés bas.

La Cour d'Appel a décidé que les exportations pouvaient continuer.L'affaire sera cependant examinée par un panel d'experts lors de la prochaine cession de la Cour le 16 Mars prochain. Le gouvernement égyptien, quant à lui, avait de toute façon ignoré la décision juridique de novembre et les exportations de gaz ont continué sans interruption ni perturbation. C'est le gouvernement égyptien qui avait fait appel de la décision prise en novembre par.

Un accord a été signé entre Israël et l'Egypte en 2005 pour la fourniture de 1.7 milliards de m3 de gaz par an pendant 20 ans via un pipeline qui a commencé à fonctionner en mai 2008. C'est un groupe de juristes égyptiens qui avait porté l'affaire devant le tribunal, dont le neveu du défunt président Sadat, Mohamed Anwar al-Sadat, ancien parlementaire qui s'est dit très surpris et déçu surtout compte tenu des massacres barbares commis par Israël contre la population palestinienne de Gaza. Selon lui de nombreux Egyptiens désapprouvent la vente de Gaz à Israël.

Oxfam International : Appel de l'ONU pour Gaza: L'accès à l'aide est aussi fondamental que le financement 02/02/09

Jeremy Hobbs, directeur exécutif Oxfam International, explique : « Les autorités israéliennes font entrer au compte-gouttes les denrées vitales dont 1,5 millions de Gazaouis ont un urgent besoin. Il faut que l'accès humanitaire à Gaza s'améliore et soit garanti. Utiliser le point de passage de Kerem Shalom est inefficace et gaspille les ressources de l'assistance car il se trouve trop loin du sud, où la plupart des besoins se font ressentir. Nous avons besoin aujourd'hui de l'ouverture 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 de tous les passages, et rien de moins. » Jeremy Hobbs ajoute : « En plus de bloquer l'entrée à des points d'accès cruciaux, les autorités israéliennes ont interdit l’entrée de certains articles comme les dattes ou les macaronis. C'est tout simplement inacceptable. »

Article D'Oxfam International

Les écoles de l'UNRWA ont rouvert dans la Bande de Gaza, mais Israël refuse de laisser entrer du matériel scolaire comme le papier pour la reprise des cours.

Mardi 03 Février 2009
Traductions, Informations Complémentaires Mireille Delamarr
http://www.planetenonviolence.org/Gaza-Et-Les-Crimes-De-Moubarak-Collusion,-Complicite,-Et-Pure-Folie_a1811.html
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 22:22

URL de la pétition : http://www.lapetition.be/en-ligne/al-jazeera-en-francais-3694.html
URL Courte : http://3694.lapetition.be/

A l'attention de / Ter attentie van : TOUT LE MONDE

Catégorie : Droits de l'homme

NOMBREUX SONT CEUX EN FRANCE ET DANS DES PAYS FRANCOPHONES QUI S'INTERESSENT A LA CAUSE ARABE ET MUSULMANE ET Où LA PAROLE EST MONOPOLISEE PAR UN MEDIA QUI NE MONTRE PAS LA VERITE ET QUI EST LOIN D'ETRE OBJECTIF.



LES POINTS DE VUE QUE L'ON ENTEND DANS LES MEDIAS FRANCAIS SONT UNANIMES SUR L'OFFENSIVE MILITAIRE ISRAELIENNE.



NOUS ADRESSONS DONC A LA DIRECTION DE LA CHAINE AL-JAZEERA UNE PETITION, POUR LUI DEMANDER UN JOURNAL D'INFORMATION FRANCAIS, LIBRE QUI S'ADRESSE A CEUX QUI NE COMPRENNENT PAS L'ARABE ET QUI SONT ASSOIFFES DE VERITE.




Signer la pétition / De petitie ondertekenen. Signer la pétition / De petitie ondertekenen.

Liste des signataires de la pétition (487)
# Nom / Naam Prénom / Voornaam Localité / Plaats Pays / Land Nationalité / Nationaliteit Profession / Beroep Site web / Website
487 lahmidi hajiba bordeaux france française    
486 Salah Zeinal-Abidine Badenwürtenberg Germany Deutsch Etudiant  
485 herinne stephanie wavre belgique belge    
484 MANAI JANE Paris France Française retraitée  
483 ISIK Adem Reims France Française Ingénieur  
482 Petitjean Christian Paris France française sans  
481 ech chajai jaouad FRANCE paris francaise artisan  
480 Bella Ahmed strasbourg france marocaine    
479 Mansouri Houda Colombes France Française Etudiante  
478 alikada moktaria VAULX EN VELIN france francaise medecin generaliste  

Voir les signataires avec leur commentaire.

Le bouton

AL-JAZEERA EN FRANCAIS

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Le lien

Pétition : AL-JAZEERA EN FRANCAIS


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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 22:17
LE DROIT DE SAVOIR : Morts à Gaza, les chiffres en temps réel : Le dernier bilan fait état de :

1341 morts
5352 blessés
(450 en état critique)
Dont :
437 enfants tués
1855 enfants blessés
108 femmes tuées
795 femmes blessées
120 personnes âgées tuées
4 journalistes
21 membres des services de santé
(11 ambulances bombardées)

- Inédite, la chanson de Michael Heart et les paroles : We will not go down Ecoutez, c'est cadeau, les paroles sont remplies de sens, et en plus, c'est très beau. Vous pouvez la télécharger en MP3 et lire sur le site un témoignage du chanteur-compositeur Michael Heart
Cliquez ici pour écouter la vidéo

ACTUALITES

- « L'ONU constate les dégâts à Gaza comme frappée par "un tremblement de terre" » Par le Monde
La bande de Gaza ressemble à une zone frappée par un "tremblement de terre", a estimé mardi l'ONU, alors que les agences onusiennes et les organisation humanitaires profitent du cessez-le-feu pour faire le bilan des destructions causées par l'offensive israélienne.
Cliquez ici pour lire l'article

- « Israël a perdu une fois de plus » Par Gilad Atzmon
Bien qu’Israël ait indubitablement prouvé sa capacité à mener un génocide à grande échelle, il a aussi prouvé que ses forces militaires n’ont pas de réponse face à la résistance islamique.
Cliquez ici pour lire l'article

- « Crimes de guerre israéliens : faut-il d’autres preuves ?»
Un des nombreux témoignages, celui du Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme (PCHR), que la Cour Pénale internationale devra examiner, à la demande de 300 associations, au nom desquelles Me Gilles Devers a déposé plainte pour crimes de guerre israéliens.
Cliquez ici pour lire l'article

ARTICLES

- « Abbas : Israël n'a aucune volonté de paix » dans Le Figaro
Le président palestinien Mahmoud Abbas a dénoncé la politique de colonisation israélienne qui, selon lui, prouve qu'Israël ne veut pas la paix, lors d'une conférence de presse avec le Haut représentant de l'UE pour la politique étrangère, Javier Solana.
Cliquez ici pour lire l'article

- « Gaza - Le terrorisme du gouvernement israélien » dans La Lutte Ouvrière
Après l'arrêt des bombardements et le retrait de ses troupes, l'armée israélienne a laissé des journalistes et des observateurs occidentaux pénétrer dans la bande de Gaza. Ces derniers ont confirmé ce que les organisations palestiniennes, les journalistes arabes et les humanitaires présents pendant les bombardements avaient dit : sous prétexte d'anéantir le Hamas, l'armée israélienne s'est livrée à un massacre délibéré et programmé visant à terroriser la population civile palestinienne et à lui rendre la vie impossible.
Cliquez ici pour lire l'article

- Minute par minute, l'agression israélienne de Janvier 2009

Cliquez ici pour lire l'article

VIDEOS

- Quatre Rabbins expliquent la différence entre le sionisme et la religion Juive. Ils avouent, sans détour, sur la base des textes religieux, que la Palestine est bel et bien aux Palestiniens.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/dieudonn%25C3%25A9%2Brabin/video/x3mds4_3-rabins-extraordinaire-dieudoner_news

TEMOIGNAGES

- « Gaza sous le phosphore blanc...»

Cliquez ici pour lire l'article
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 22:04
Mounir FERRAM
J’avais lu cette expression de Montaigne qui disait qu’en l’homme gisait l’humanité entière . De par mon arabité et ma confession musulmane, je m’étais soudainement rendu complice et frère de Montaigne. Lui, l’homme d’horizon différent. Son génie humain m’a permis de me sentir si proche de lui, au-delà de toutes formes de différences, nombreuses d’ailleurs : confessionnelle, culturelle, territoriale…
Il y a en qui l’Humanité grandit au point d’effacer toute dissemblance! Rien, plus rien ne compte que l’humain dépossédé de ce que les civilisations puissent inculquer comme différences… Il est d’abord, et sa vie compte par-dessus tout. Cet enseignement aurait pu être plus courant de nos jours par la force, simple, des choses…
Aujourd’hui, un seuil est franchi ! Encore une fois ! Une offensive terrestre pour tuer plus, pour faire de la grandeur sophistiquée, de la puissance un prétexte facile et grossier à tuer ! La bande de Gaza connaît un meurtre organisé depuis longtemps ! Des femmes, des enfants, des vieux meurent pour s’y être tout simplement trouvés au hasard de leur existence !
Il est vrai que des extrémistes lancent des roquettes qui menacent des civils et parfois atteignent à leurs jours! A regret ! Je l’avoue, toute vie est digne et les motivations parfois ignorent les victimes concernées. Elles sont issues d'une Histoire complexe qui parfois dépasse notre compréhension contemporaine et banalement instantanée.
Tout de même plus de 400 morts et une offensive terrestre, comme si l’horreur enseignait la sagesse ! Comme si la mort n’avait injustement sévi dans ces territoires occupés, martyrisés et ne pouvant plus interpeller notre conscience! La rendre amère !
La grandeur serait de répandre la paix , d’en être le précurseur. Surtout d’un Etat dont le peuple a connu, de par le passé, les plus horribles exactions. Même fort dans son armement et dans ses technologies, Israël ne devait aucunement s’éloigner de son itinéraire de pays de la réconciliation !
L’enseignement de la paix est le fort des justes quand on veut rester durablement brave, quand on veut amener l’Histoire sur les chemins de la paix et de la justice. Israël est en train de faire grandir une haine justifiée, de retourner contre elle des années de frustrations de peuples errants, sans identité, sans dignité et sans espoir ! La mort ou la vie se respirent pour eux dans le même air… Ils deviennent prêts à tout!
Quand nous sommes animés d’un moindre souffle d’humanité, nous ne pouvons nous installer dans le confort dérisoire de l’insensibilité! Nous sommes tous citoyens de Gaza et nous devons nous mobiliser pour que y cesse la barbarie meurtrière.
http://www.blog.ma/mouride/Au-fil-des-jours_r6.html
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:52



Gaza : la France annule une mission humanitaire Le cri de révolte d’un médecin blogueur

Mondialisation.ca, Le 30 janvier 2009 Plume de Presse

Notre ami Farid Taha, chirurgien maxillo-facial, chercheur associé au CNRS et auteur de Blogspleen, idéal et petites révoltes, pousse un véritable cri d’indignation dans son billet titré À quoi joue la diplomatie française ? Volontaire pour une mission humanitaire à Gaza, il devait partir avec d’autres collègues médecins et infirmières, à la demande du CHU d’Amiens qui l’emploie, assurer la relève d’une équipe sur place à partir du 27 janvier.

"J’avais réussi en peu de temps à me libérer et à motiver, en plus d’une IBODE et du médecin anesthésiste qui m’accompagnaient, pas mal d’autres médecins ou infirmières qui ont immédiatement accepté de partir sans condition pour les prochaines missions, raconte-t-il. Les derniers préparatifs administratifs étant satisfaits, j’attendais juste un coup de fil pour partir. Quand le téléphone a sonné, je pensais sincèrement que le coordinateur, qui m’avait pourtant demandé le matin même de lui faxer des papiers administratifs du conseil de l’ordre, allait me signaler un départ précipité avant la date prévue. Mais non vu, que "la situation s’étant nettement améliorée à Gaza, la France a décidé d’ "alléger le dispositif sanitaire sur place", nous restons sur place... Quand j’ai entendu cette phrase les bras m’en sont tombés... Je n’ai pu m’empêcher de signaler à mon interlocuteur (visiblement très gêné) que j’ai eu au téléphone une responsable au siège de MSF qui m’a affirmé que la situation était encore plus dramatique que ce qu’ils pensaient et qu’ils avaient encore besoin de médecins. Les équipes sont en plus très embêtées avec des lésions de brûlures très particulières occasionnés par ce qui semble être du phosphore blanc (car il continue de se consumer même après l’arrêt de l’exposition) et demandent à Israël et en particulier à l’armée israélienne de leur fournir la composition exacte des produits utilisés pour mieux soigner les blessés."

Comment expliquer l’annulation de cette mission humanitaire ? Farid Taha accuse Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères : "Il était clair que cet établissement dépendant du ministère de la Santé, avec lequel j’étais en contact depuis quelques jours, attendait le feu vert du Quai d’Orsay pour nous envoyer, mais j’étais à mille lieux de soupçonner ou même d’imaginer une réponse pareille. (...) un chirurgien infantile du CHU qui attendait lui aussi de partir depuis quelques jours m’a clairement évoqué les tergiversations du Quai d’Orsay et l’ambiguïté de Bernard Kouchner dans ce dossier. D’autant qu’il voulait absolument partir plus tôt à Gaza avant une autre mission ailleurs, car l"urgence infantile y était la bas, "prioritaire". (...) Mais bon, quand on apprend, que la France a d’autres priorités... Nicolas Sarkozy n’a pas tardé à demander à Bernard Kouchner, dès le retrait de l’armée Israélienne "d’engager des actions immédiates contre la contrebande des armes", plutôt que de consolider le dispositif humanitaire. L’urgence, précise le communiqué de l’Elysée, "est de consolider l’actuel cessez-le-feu, ce qui passe par l’action humanitaire, l’arrêt total du trafic d’armes vers Gaza, la réouverture durable des points de passage, la reconstruction et la réconciliation inter-palestinienne".

Sur l’ensemble des points cités et qui me semblent tous très importants aussi bien les uns que les autres, je note que l’argument sécuritaire israélien prend le dessus. Vous lisez bien, le fondateur de Médecins sans Frontières puis de Médecins du Monde va se charger non pas d’engager enfin une aide humanitaire digne de ce nom ou de s’assurer que les denrées alimentaires peuvent enfin être acheminées sans problèmes, mais juste "d’engager des actions immédiates contre la contrebande des armes"... alors que la situation sanitaire sur place, de plus en plus dégradée, est des plus alarmantes." Conclusion de Farid Taha : "Avec la tragédie de gaza, la diplomatie Française ne trouve rien de mieux que de se fourvoyer publiquement et sans honte".

Rappelons que, dans une autre vie, avant de trahir pour s’engager aux côtés de l’ultra droite sarkoziste au pouvoir, Bernard Kouchner fut le promoteur du concept de droit d’ingérence humanitaire. Et voilà qu’aujourd’hui la France, au lieu de venir en aide à une population lourdement frappée par des crimes de guerre - quelque 300 ONG ont officiellement porté plainte -, donne encore raison à Israël en faisant sienne la priorité de l’Etat hébreu. Inqualifiable.

Mais comment s’étonner de l’attitude française quand on mesure à quel point Sarkozy s’est toujours proclamé "ami d’Israël", ce qui lui a du reste permis de rafler le vote communautaire juif à la présidentielle (illustration : 90,5 % des voix des Français vivant en Israël), et quand on voit Kouchner embrasser Tipi Livni comme du bon pain ?

source :

http://www.mondialisation.ca/index.php ?context=va&aid=12101

http://lesogres.org/article.php3?id_article=3746

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:46
Leila Mazboudi

02/02/2009  
 
 
De plus en plus de responsables politiques israéliens se rendent compte que la guerre contre la Bande de Gaza n'a pas réalisé ses buts.
 
 
Pour l'ex-ministre israélien, Dan Méridor, actuellement candidat aux élections législatives, sur la liste du parti Likoud dirigé par Beyamine Natanyahou la guerre s'est terminée par un " match nul".
Dans un discours prononcé lors de l'ouverture de la neuvième conférence de Herzlia, qui discute les options stratégiques de l'entité sionistes, il a souligné que " le fait de mener une guerre et d'en préciser les objectifs, comme cela s'est passé dans la seconde guerre du Liban, et peut-être durant la dernière guerre, on termine par avoir un match nul, ce qui adresse un coup dur à l'image de persuasion" d'Israël.
 
Méridor a reproché aux dirigeants de cette guerre " de ne pas avoir tranché cursivement le guerre, et de ne pas avoir tenté de le faire".
 
Selon lui, il y avait certes "une unanimité en faveur du déclenchement de la guerre, mis pas pour la façon de la terminer".
 
 
Même son de cloche de la part du président de la commission parlementaire des affaires étrangères et de la sécurité, Tsahi Hanegbi, selon lequel le fait d'avoir mis fin à la guerre était une démarche précoce.
Et de préciser: " je ne peux imaginer comment pourrons nous dans l'avenir s'abstenir d'entamer une autre opération globale, et de contrôler des positions importantes à Gaza, non pas pour imposer un cessez-le-feu facultatif, mais pour l'imposer avec de moyens coercitifs réels."
 
 
Le chef du parti "Israël fort", Ephraïm Sineh élabore un diagnostic similaire, estimant que le gouvernement a fait preuve d'un manque de volonté pour changer la situation à Gaza, estimant que tant que le Hamas contrôle la bande de Gaza, "le terrorisme va se renouveler".
 
 

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=72465&language=fr
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:43
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02/02/2009  
 
Lors d'un entretien dimanche entre le guide suprême de la révolution islamique Sayed Ali Khamenei et le chef du bureau politique du Hamas Khaled Méchaal, Sayed Khamenei a mis en garde que la guerre contre la bande de Gaza n'est pas terminée.
 
Estimant que la propagande et la guerre politique et psychologique étaient toujours de rigueur, il a conseillé à la résistance palestinienne d'être prête à toutes les possibilités, y compris à une nouvelle guerre. Emettant l'espoir  que "la victoire du Hamas soit le prélude à de futures victoires".
 
Le guide suprême a ajouté que l'ennemi a essayé dans cette guerre "d'altérer la vérité en incombant au Hamas et à la résistance islamique la responsabilité des malheurs et des souffrances des habitants de Gaza",  qualifiant de "regrettable que certains pays arabes limitrophes à Gaza se joignent à cette atmosphère".
 
Sayed Khamenei a aussi appelé devant son hôte palestinien à entamer le plus vite possible la construction de Gaza, et affirmé que l'Iran est prêt à fournir l'aide dans ce domaine.
 
 
Selon l'agence iranienne Isna, Méchaal a "remercié" l'Iran pour son aide, affirmant qu'il lui revient "une grande part dans la victoire des habitants de Gaza".
 
 
 
 
 
AHMADINEJAD: IL FAUT JUGER LES DIRIGEANTS ISRAELIENS
 
 
 
Pour sa part, le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, qui a reçu à sont tour le chef du Hamas Khaled Méchaal, a dit qu'il fallait "juger" les dirigeants israéliens et "boycotter les produits sionistes" , tout en cherchant à continuer la pression politique internationale sur le régime sioniste.
 
 
 
Le président iranien a également mis en garde le dirigeant palestinien contre la possibilité d'une nouvelle "agression" israélienne contre Gaza: "Les sionistes ont subi un échec (...) mais même là ils n'arrêtent pas de comploter et il est possible qu'ils déclenchent une nouvelle offensive", a-t-il ajouté.
 
 
 
 
 
ENTRETIEN MECHAAL ET MOTTAKI
 
 
 
M. Méchaal s'est également entretenu avec le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki.
 
 Lors d'une conférence de presse commune, il a assuré que "la résistance est opposée à un cessez-le-feu permanent (avec l'entité sioniste) car tant que l'occupation se poursuit, un cessez-le-feu permanent n'a pas de sens".
 
 
 
M. Méchaal a réitéré  que la fin du blocus et l'ouverture des points de passages était "une des priorités" du Hamas.
 
 
 
 
 De son coté, M. Mottaki a appelé dimanche à la levée du "blocus" israélien. "Le blocus de Gaza devrait être levé et le port de Gaza et les points de passage (avec l'extérieur, ndlr) devraient être rouverts pour permettre sa reconstruction", a dit le ministre.
 
  http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=72376&language=fr
 
 


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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:39
Le projet de colonisation E1 se poursuit, Israël a investi 200 millions de Sheckels dans la construction de cette colonie
Par Saed Bannoura
 

Israël a repris ses travaux d'infrastructure, qui comprennent des routes et des maisons dans ce qu'on appelle la zone E1, à Jérusalem-Est afin d'imposer sa propre vision de tout futur accord de paix en supprimant toute contiguïté géographique entre les territoires palestiniens et en reliant la colonie illégale de Maaleh Adumim à Jérusalem-Est et aux autres colonies de la région.





















Carte PASSIA


Israël a élaboré cette construction en 1994 et, en 1999, le Haut Comité de la Construction a approuvé le projet, mais il n'a pas été mis en œuvre en raison de la pression américaine.

En Mai 2008, Israël a construit un commissariat de police dans le secteur, puis il a ensuite construit des routes, des carrefours, des places publiques, des postes de contrôle, un pont, des murs latéraux et d'autres constructions pour un montant total dépassant les 100 millions de nouveaux shekels israéliens.

Israël a également construit une route reliant la ville palestinienne de Khizma au secteur d'Al Zeaayim pour les Palestiniens car ils ne seront pas autorisés à pénétrer dans la zone E1. Le projet empêchera également toute contiguïté entre Jérusalem et Ramallah.

Le premier ministre israélien, Ehud Olmert, a déclaré, après avoir remporté les élections de Mars de 2006, qu'il avait l'intention de construire et d'agrandir les colonies dans la zone E1 et a promis une continuité entre les colonies et Jérusalem. Cela inclut le bloc de colonies de Gush Etzion et le bloc de colonies d'Ariel dans le sud et le nord de la Cisjordanie.

Samedi, quotidien israélien en ligne, Haaretz, a annoncé que le bureau d’Olmert avait déclaré que le bloc de colonies de Ma'aleh Adumim ferait partie de Jérusalem dans tout accord de paix. La colonie ainsi que toutes les colonies et avant-postes israéliens sont construits sur des terres palestiniennes illégalement annexées par Israël.

Dans le cadre du projet actuel, Israël va construire une nouvelle colonie sur 12442 dounams qui seront annexés à des Palestiniens vivant dans la région d'Al Ezariyya, d’Al Toor et d’Esawiyya. 3500 logements y seront construits (soit près de 14.500 habitants).

Egalement, dix hôtels, des installations de loisirs, d'autres logements et une zone industrielle seront également construits dans le cadre de ce projet.

De son côté, le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a déclaré que Ma'aleh Adumim est inséparable de Jérusalem et de l'État d'Israël.

Haaretz a indiqué que le bureau de Barak a publié une déclaration disant que Ma'aleh Adumim sera reliée au Mont Scopus et qu'il «est absolument nécessaire de garder la région en tant que partie d'Israël.


C’est exactement la même position que celle de l'ancien Premier ministre israélien, Yitzak Rabin, qui a été tué par un Juif extrémiste en 1995, ainsi que celle des gouvernements israéliens successifs depuis l’occupation israélienne de Jérusalem-Est en 1967.

Ma'aleh Adumim est construit sur des terres palestiniennes de Jérusalem-Est. Elle est située à 14 km à l'est de la ville et plus de 30000 habitants y habitent. Le projet E1 permettra l'expansion de la colonie et la reliera à Jérusalem par l'annexion des terres palestiniennes des villages et des villes de Jérusalem-Est.

Le projet annihilera toute possibilité de développement des villes et villages palestiniens dans le secteur et bloquera toute contiguïté géographique, qui menace les possibilités de création d'un Etat palestinien viable avec Jérusalem-Est comme capitale.

Le projet empêchera toute construction palestinienne entre Jérusalem et Ramallah et rendra difficile toute possibilité de parvenir à un accord sur les frontières.

Les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, y compris à Jérusalem-Est et dans les secteurs palestiniens environnants sont illégales en vertu du droit international car elles sont construites sur des terres occupées. Pourtant, la construction et l'expansion des colonies illégales restent la première priorité des gouvernements israéliens successifs et les Palestiniens continuent de perdre des terres, leurs oliveraies, et leurs villes et villages continuent d'être isolés et séparés par des colonies illégales et le mur d'annexion.
  Source : http://imemc.org/  
  Traduction : MG pour ISM  
   
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:35
France - 02-02-2009

Nous sommes tous Abdelaziz Chaambi
Par Youssef Girard
 

En plus de la répression contre le mouvement de soutien à la Palestine, l’agression d’Abdelaziz Chaambi est une attaque dirigée contre l’ensemble de la communauté musulmane à qui l’Etat néocolonial français a voulu envoyer un message lui signifiant qu’elle n’avait pas le droit à la liberté de parole et qu’il fallait impérativement qu’elle courbe l’échine.


« Dorénavant, si nous devons de toute façon mourir, nous périrons en rendant coup pour coup et nous ne tomberons pas seuls ».
Malcolm X

Jeudi 29 janvier 2009, alors qu’il participait à un rassemblement contre un repas organisé par une association, le CRIF, qui vient d’apporter son soutien à l’assassinat de plus d’un millier de palestiniens de Gaza, Abdelaziz Chaambi a été violement molesté par une horde d’agents de l’appareil répressif d’Etat français. Le mettant à terre et le frappant, l’immobilisant par une technique d’étranglement interdite dans plusieurs pays européens et qui a déjà causé la mort de plusieurs personnes, les autorités françaises ont fait payer à Abdelaziz Chaambi son engagement pour la justice et la dignité des opprimés.

L’agression d’Abdelaziz Chaambi marque le point ultime de la répression contre le mouvement de soutien à la Palestine en France depuis l’attaque de Gaza par les flibustiers sionistes. Avant l’agression sioniste, les forces de l’ordre néocolonial avaient déjà montré leur volonté de réprimer toutes manifestations de soutien public au peuple palestinien martyr, en encadrant très sévèrement la manifestation du 6 décembre 2008 à Paris.

Après l’attaque de Gaza, les autorités françaises, qui ont apporté leur appui aux assassins sionistes, ont tout fait pour démolir le mouvement de soutien au peuple palestinien. Toutes les manifestations ont été sévèrement encadrées par des hordes de CRS et de gardes mobiles qui ont mis en œuvre de multiples provocations pour faire éclater les cortèges. Contrairement aux autres pays européens, toutes les manifestations se dirigeant en direction de l’ambassade sioniste ont été arrêtées bien avant d’atteindre leur but afin que les représentants des criminels et leurs complices français ne soient pas dérangés par les cris de ceux qui refusent l’infâme. Durant ces mobilisations, nombre de militantes et de militants ont été conduits dans les commissariats pour des « contrôles d’identités » au seul motif qu’ils participaient à une manifestation ou à un rassemblement pacifique.

Dimanche 25 janvier 2009, à Paris, alors que quelques dizaines de manifestants s’étaient réunis pour protester contre la tenue d’un concert visant à récolter des fonds pour les assassins du MAGAV (police des frontière sioniste), les forces de l’ordre néocolonial, non contentes d’assurer le service d’ordre de la petite sauterie sioniste, ont violement pris à partie ceux qui étaient venus dénoncer le bal des assassins. Cela démontre, s’il en était encore besoin, que l’Etat français est pleinement complice de l’oppression du peuple palestinien.

En plus de la répression contre le mouvement de soutien à la Palestine, l’agression d’Abdelaziz Chaambi est une attaque dirigée contre l’ensemble de la communauté musulmane à qui l’Etat néocolonial français a voulu envoyer un message lui signifiant qu’elle n’avait pas le droit à la liberté de parole et qu’il fallait impérativement qu’elle courbe l’échine. Redéployant les pratiques qu’il avait développées durant l’occupation de l’Algérie, l’Etat français traite les musulmans vivants sur son territoire comme des êtres humains entièrement à part, auxquels les droits de l’homme ne sont pas applicables puisqu’ils ne sont pas pleinement humains.

S’attaquer à un homme, Abdelaziz Chaambi, engagé depuis une trentaine d’année et qui est un véritable cadre de notre communauté, est une manière pour l’Etat français de montrer que nous ne sommes rien et qu’il peut s’en prendre physiquement à nos leaders en toute impunité. C’est une manière de piétiner l’ensemble de notre communauté en s’attaquant à l’un de ses symboles. En conséquence, il est du devoir de tous les musulmans de se mobiliser pour que cette agression ne reste pas impunie car nous sommes tous Abdelaziz Chaambi.

Si l’Etat français pense qu’il peut nous molester, nous frapper, nous humilier ou nous terroriser, il fait une lourde erreur. Nous ne laisserons pas nos sœurs et nos frères se faire piétiner par les cerbères de l’impérialisme et s’il le faut nous saurons aussi nous défendre par tous les moyens nécessaires.



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France - 01-02-2009

Mon agression par les gendarmes le 29 janvier 2009
Par Abdelaziz Chaambi
 

Suite à mon agression par des gendarmes devant le Casino des Partouche Le Lyon Vert à Charbonnières Les Bains (69), dans lequel se déroulait le repas annuel du CRIJF, je tenais, avant de vous relater les faits, à remercier très sincèrement toutes les personnes qui m’ont apporté des messages de sympathie, d’encouragements et de soutien dans cette épreuve qui m’a certes amoché physiquement mais renforcé moralement et politiquement et les messages reçus de France et de l’étranger m’ont fait chaud au cœur et renforcé ma détermination à continuer la lutte et à résister à l’oppression et à l’injustice.


Compte tenu des massacres qui ont eu lieu à Gaza et sachant que des hommes et femmes politiques (dont le président du Sénat M. Larcher) complices par leur silence ou leur approbation allaient venir à ce diner du CRIJF, nous avons voulu manifester notre désapprobation en petit groupe et de manière pacifique.

Arrivés sur les lieux et alors que nous aurions pu nous infiltrer par un petit chemin jusqu’à l’entrée du Casino, nous avions opté pour la transparence et la visibilité et avions marché sur la route principale en direction de l’entrée en commençant à crier nos slogans ; c’est alors que nous avons vus arriver sur nous un groupe de gendarmes très violents qui ont commencé à nous brutaliser, nous bousculer, et tenter de nous enlever les mégaphones, la percussion, en nous repoussant loin de l’entrée qui se trouvait déjà à 100 mètres.

Nous avons expliqué que nous venions mener une action citoyenne non violente qui visait à dénoncer les massacres commis à Gaza et le soutien apporté par le CRIJF à l’action criminelle des sionistes. Les gendarmes ont alors temporisé leurs actions en attendant du renfort, et au bout d’une heure environ, on a vu arriver des dizaines de gendarmes, qui étaient alors plus d’une cinquantaine, pour une vingtaine de manifestants, nous foncer dessus et nous obligeant à reculer pour être à environ 150 mètres (distance exigée d’après eux par le Préfet pour que ces convives puissent manger sans être incommodés par nos slogans).

Devant cette brutalité et cette violence gratuite que rien ne justifiait, ni le nombre ni l’attitude ni les slogans, ni la proximité du lieu, nous avons expliqué que nous ne faisons rien de mal et qu’on exprimait une opinion politique ; j’ai personnellement pris le mégaphone pour expliquer que c’était une manifestation non violente, qu’on ne devait pas provoquer ou répondre aux provocations et que nous devions nous asseoir, ce que tout le monde a fait. Mais rien n’y fait, les gendarmes continuent à charger, à nous transporter un par un et, à un moment, j’entends l’un d’eux dire « c’est lui, tire le, tire le » et c’est alors que j’ai été arraché du groupe par cinq gendarmes qui m’ont retiré en arrière pendant que leurs collègues en masse ont continué à repousser notre groupe, de façon à ce qu’un rideau de gendarmes se forme entre mes amis (qui ne voyaient plus ce qui se passe) et moi.

C’est alors que le calvaire commence, après m’avoir soulevé en l’air ils m’ont jeté à terre et se sont rués sur moi et m’ont littéralement lynché : une rouée de coups de poing et de pieds qui m’ont mis à terre, j’avais beau crier que je n’avais rien fait, que j’étais prêt à les suivre, rien n’y faisait, alors que j’étais à plat ventre et que deux gendarmes me tenaient le cou et les épaules à l’arrière, un autre me tenait les jambes et deux autres se sont jetés sur mon dos pour me donner des grands coups de genoux à hauteur des poumons ce qui m’a fait suffoquer, je n’arrivais plus à respirer, ni à crier ni à faire quoi que ce soit, j’ai senti mon visage écrasé sur le goudron par un coup de pied. Après m’avoir menotté les mains dans le dos, ils m’ont relevé pour me mettre dans leur voiture et ont alors réalisé que je n’arrivais pas à respirer et que je commençais à perdre connaissance, j’ai trouvé la force de leur dire que j’avais un flacon de Ventoline dans ma poche et que j’étais asthmatique, et c’est un homme en civil (je pense un de leurs supérieurs) qui l’a pris et m’en a donné pour que je retrouve mon souffle.

Ils m’ont ensuite chargé dans la voiture avec les mains menottées dans le dos en me disant : on va t’emmener au poste et on va t’expliquer les choses. Puis à mi chemin, ils ont reçu un message dans leur radio et ont fait demi-tour pour me ramener au lieu du rassemblement. Les copains avaient exigé fermement mon retour.

Alors que j’étais souffrant, que je respirai très difficilement et blessé ils m’ont jeté sur la route dans un froid glacial sans répondre à ma demande d’appeler le Samu, j’ai appelé moi-même le 112 qui m’ont orienté sur le Samu qui me dit : on vous envoie la Police, j’explique alors que j’ai été agressé par des gendarmes et que j’ai besoin d’une ambulance ou d’un médecin, mais rien n’y fait , on ne verra ni Police ni médecin. Un médecin de passage en voiture a voulu s’arrêter pour me soigner et voir mon état, mais les gendarmes l’en ont empêché, et j’ai attendu une heure sans couverture, sans soins, et malgré les appels successifs des manifestants au 15, les pompiers ne sont arrivés qu’une heure après le premier appel, et lorsqu’on leur a demandé depuis combien de temps ils ont été appelés, ils nous répondu : 5 ou 10 minutes, ce qui veut dire que durant 50 à 55 minutes, le Samu n’a pas mobilisé de secours, mettant ainsi ma santé et ma vie en jeu.

J’ai été pris en charge à l’Hopital Saint Joseph à Lyon où j’ai eu droit à 8 jours d’arrêt de travail et 4 jours d’ITT et au constat que j’avais une entorse cervicale, de nombreuses dermabrasions des membres et du visage, avec des atteintes de la colonne vertébrale, une épaule démontée, des douleurs et traces de coups à la tête, un nerf du bras abimé avec la main droite insensible à moitié.

La leçon qu’on peut tirer de cette agression, c’est qu’aujourd’hui en France un degré dans l’inacceptable vient d’être franchi par les autorités, qui , après avoir diabolisé et criminalisé des militants, après les avoir chassés du monde du travail et jetés dans la précarité, cherchent à les éliminer physiquement et à les empêcher de parler de certaines causes, et en particulier la cause Palestinienne.

Il est impératif de réagir avec la plus grande fermeté et de ne pas baisser les bras jusqu’à obtenir la garantie que cette agression ne restera pas impunie et que les droits à dénoncer les crimes et les politiques sionistes soient garantis dans ce pays et partout. L’enjeu consiste donc à tenter de préserver le peu d’espace qu’il reste à notre liberté d’expression, de manifestation et de condamnation de l’infamie et de l’injustice.

Plusieurs organisations, mouvements et associations, s’apprêtent à mener des actions pour dénoncer ce que j’ai personnellement subi ainsi que cette atteinte grave aux libertés et à l’intégrité des citoyens.

Merci à toutes et à tous, la résistance continue !!!

Abdelaziz Chaambi Lyon le 30 Janvier 2009

Vidéo de l'agression d'Abdelaziz Chaambi.
http://www.ism-france.org/news/



   
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 21:24

Emad Eid - Ma’an News

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Pendant deux jours la blessure d’Amira, quinze ans, a saigné sans aucun soin médical. Elle a fui sa maison et les dépouilles de son père et de ses deux frères, pour un appartement abandonné. Elle avait juste un seau d’eau, et aucune couverture ni moyens de se soigner durant les deux jours où elle s’est cachée dans l’immeuble.
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Amira et Emad Photo : Ma’anImages

C’était la maison de Emad Eid, journaliste de l’agence Ma’an qu’elle a trouvée. Emad avait déplacé sa famille dans un autre quartier plus sûr de la ville de Gaza. Il est rentré chez lui lorsque les char israéliens se sont retirés de Tel Al-Hawa, pour évaluer les dégâts.

Il a trouvé Amira en sang dans sa maison vide où il n’avait laissé ni aliments, ni eau ni couverture.

On trouvera ci-dessous la transcription par Emad du récit qu’a fait Amira de l’épreuve qu’elle a subie.

Excusez-moi ; je n’ai aucune idée par où commencer cette histoire, donc je vais demander à Amira : comment est-ce que tu t’es protégée des bombes ? Comment est-ce que tu as supporté le bruit des chars alors que tu étais toute seule, en train de saigner et de te cacher pendant ces deux jours ?

J’avais peur qu’elle ne puisse pas me répondre. J’avais peur qu’elle n’en ait ni la force ni le courage, bien qu’elle ait eu le courage de rester vivante.

Peut-être pourrai-je lui demander si elle se souvient de ce qui a tué sa famille, ou est-elle trop choquée ou même inconsciente. Elle n’avait, après tout, plus que 5 unités de sang [une unité égale 450 millilitres] lorsque les médecins l’ont vue.

Non je ne peux pas lui demander si elle se souvient de comment son père et ses deux frères sont morts devant ses yeux ; il y a trop de joie alors que sa mère la tient, elle qui n’espérait même pas trouver un seul membre de sa famille vivant. Je ne peut pas évoquer les morts pendant que les vivants sont fêtés.

Les médecins m’ont expliqué ce que ça signifiait pour une petite fille de n’avoir plus que cinq unités de sang. Ils m’ont dit qu’elle était entre la vie et la mort.

Je veux demander à Amira où elle a trouvé la force de survivre.

Amira, tes quinze ans ne sont pas assez pour ce courage ; pour affronter la mort, les bombes et le grondement des chars.

Lorsque je l’ai retrouvée sur le lit de ma mère, elle m’a dit : « Pardonnez-moi, je suis entrée dans votre maison sans votre permission ».

Elle était couverte de sang et il y avait des traces de larmes sur ses joues. Je ne sais pas où Amira a trouvé les mots pour des excuses.

J’avais quitté le quartier avec ma famille. Je ne voulais pas qu’ils aient à voir les chars passer devant notre maison, ni à craindre les coups canons à travers les fenêtres. Mais Amira a vu.

Bien que je l’ai trouvée en train de dormir, ou plutôt en train de flotter entre la vie et la mort, comme les médecins m’en ont informé, elle a dû entendre les affrontements entre les combattants de la résistance et les troupes de l’armée israélienne.

« Je ne sais pas comment je suis entrée dans votre maison, Oncle, » m’a-t-elle dit à moi, un inconnu quand je l’ai réveillée. « Ils ont tué mon père et mes frères devant mes yeux, ils ont lancé une bombe sur moi et m’ont blessée à la jambe. J’ai fui cet endroit, mais ils ont lancé une autre bombe qui m’a ratée, j’ai trouvé votre porte ouverte donc je suis rentrée et je me suis mise sur le lit toute seule, et j’ai écouté ce qui se passait. Je ne pouvais pas crier ni pleurer à cause de mes blessures qui saignaient, parce qu’ils m’auraient entendue. »

Elle a fui sa maison démolie, elle a fui pour conserver la vie que Dieu lui a donné.

Sa famille a cru qu’elle avait été tuée avec son père, Fathi Dawoud Alkaram, âgé de 42 ans, et ses frères Esmat, 12 ans, et Ala, 11 ans, qui sont morts lorsque une bombe a touché la maison. Ils avaient enterré des morceaux de ce qu’ils ont crû être Amira.

Le jour avant que nous ayons amené Amira à l’hôpital Ash-Shifa, sa mère a enterré Fathi, Esmat et Ala. Elle croyait qu’Amira était toujours enterrée sous les décombres.

Quand elle a appris la nouvelle, la mère d’Amira s’est précipitée à l’hôpital. Elle a beaucoup pleuré, les oncles d’Amira ont loué Dieu et l’ont remercié pour le miracle de sa vie.

18 janvier 2009 - Ma’an News Agency - Vous pouvez consulter cet article ici :
http://www.maannews.net/en/index.ph...
Traduit par : Imogen Richmond Bishop

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6035

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