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Noesam@Voila.fr

  • : sionazisme
  • : Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voir pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien...La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme. .................... Mensonge, désinformation, agression, violence et désobéissance de la loi internationale sont aujourd’hui les principales caractéristiques du sionisme israélien en Palestine.
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Israèl est contre TORAH

*"Les sionistes me dégoûtent autant que les nazis."
(Victor Klemperer, philologue allemand d'origine juive, 1881-1960)

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L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet

é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink

                                               


   

 


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FATHER OF SIONAZISJACOB HITLER

La prétendue ascendance juive d'Hitler: Une "explication" par la haine de soi
Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale.
SOURCE ;alterinfo

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 18:51

“Mort à Israël” ne signifie pas “mort aux juifs”


“Traître à sa judéité” pour les uns, “juif de service” pour les autres, Sion Assidon* lève l’ambiguïté sur son opposition à Israël et son soutien à la cause palestinienne.

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Entretien. “Mort à Israël” ne signifie pas “mort aux juifs”
 (AFP)
(AFP)
Entretien. “Mort à Israël” ne signifie pas “mort aux juifs”



“Traître à sa judéité” pour les uns, “juif de service” pour les autres, Sion Assidon* lève l’ambiguïté sur son opposition à Israël et son soutien à la cause palestinienne.


On vous a beaucoup entendu, ces derniers temps, affirmer votre solidarité inconditionnelle avec Gaza et les Palestiniens. Au point où certains de vos coreligionnaires juifs marocains vous qualifient de “traître”. Qu’en dites-vous ?
D’abord, un recadrage est nécessaire. Dans notre pays, chacun est

assigné, par l’Etat, dans une case ou une autre (sujet musulman ou sujet juif). Cela induit des conséquences juridiques pour le statut personnel, voire même pour la consommation d’alcool ou le respect du ramadan. Il y aurait fort à dire sur la conformité de tout cela (tant pour les dispositions que pour le contenu) avec les droits humains et la citoyenneté, mais ce n’est pas le propos aujourd’hui. Au niveau sociétal, je suis perçu comme juif. Au prisme de toutes les strates déposées durant le vingtième siècle par le colonialisme, le sionisme, les guerres et l’émigration, cela donne des situations du genre : je suis obligé de protester d’être appelé “Monsieur” plutôt que “Si” ; ou, lorsque je produis des papiers, y compris mon passeport marocain, la question qui fâche revient regulièrement : “Vous êtes marocain ?”… Voilà donc pour le recadrage. Si bien que lorsque le journal islamiste Attajdid titre “Le juif Marocain Sion Assidon dit (ceci ou cela)”, je ne suis pas plus choqué que ça. Vu leur référentiel, il ne leur viendrait pas à l’esprit de me désigner uniquement par mon nom. Et de me laisser le droit (et le soin) de me définir moi-même.

Soyons clairs : vous vous définissez comme juif, oui ou non ?
Je refuse d’en faire une question à laquelle il serait obligatoire de répondre dans l’espace public. Je m’exprime en tant que citoyen marocain, amazigho-arabe, tout en étant parfaitement conscient du privilège que me donne mon origine communautaire. Cela dit, je ne nie pas l’ambiguïté que génère ma situation dans l’esprit de beaucoup de gens. Pour eux, ma solidarité avec les Palestiniens est perçue comme venant de quelqu’un qui est “autre” - en quelque sorte, je m’identifierais à celui qui devrait forcément être mon “ennemi”. A leurs yeux, je suis un juif, mais un juif traître à sa judéité. Le “bon juif”, quoi ! D’ailleurs, il est intéressant de noter que cela fonctionne de la même manière de l’autre côté du miroir. Au sein de la communauté juive marocaine, beaucoup disent “Mais ce n’est plus un juif ! Il s’est converti ! Vous vous rendez compte, il soutient Hamas ! De quel droit s’appelle-t-il encore Sion ?”. Or mon point de départ est le suivant : l’équation juif = sioniste est une équation raciste. De quelque côté que vous la retourniez. Celui de l’Etat d’Israël qui prétend “représenter tous les juifs du monde” (c’est ce qu’on appelle le sionisme), et celui de ceux qui continuent à penser “les juifs sont forcément nos ennemis” (c’est ce qu’on appelle l’antisémitisme). Permettez-moi de casser ce schéma binaire et manichéen. D’abord, il existe des sionistes chrétiens : les amis de Monsieur Bush qui pensent que la fin du monde viendra quand “tous les juifs” iront en Palestine (une autre version de la “solution finale” à la Hitler). Ensuite, il existe aussi des sionistes musulmans : suivez bien mon regard, vous verrez combien de dirigeants arabo-musulmans défendent aujourd’hui l’idée de l’existence d’un Etat réservé aux juifs (c’est la définition même du sionisme !). Mieux (ou plutôt pire) : non seulement ces dirigeants vivent confortablement sous le parapluie de la domination américaine, mais ils ont activement participé à l’agression israélienne sur Gaza en criant “Haro sur le Hamas” ! C'est-à-dire, de mon point de vue, “haro sur la résistance.” Alors quand les manifestants ciblent André Azoulay en criant “Quelle honte ! Un Conseiller sioniste?!”, j’ai envie de leur répondre : “c’est le juif que vous visez là, pas le sioniste. Prenez des cibles plus consistantes !”.

Il y a eu d’autres slogans, encore plus dérangeants, brandis pendant les marches de soutien à Gaza auxquelles vous avez participé. Cela ne vous gêne pas ?
Cela dépend des slogans. J’ai souvent entendu “mort à Israël”, pendant ces marches. Ce mot d’ordre est malheureusement perçu par certains membres de la communauté juive comme un sinistre slogan antisémite. Ils entendent “mort aux juifs !”, alors que c’est du projet sioniste qu’il s’agit. De ce projet meurtrier dont le massacre de Gaza manifeste l’essence, mais dont la généalogie vient de loin : Dir Yassine, Kfar Qassem, Qana, Sabra et Chatila... Non, je ne suis pas gêné par ce mot d’ordre. L’Etat d’Israël, en tant qu’Etat sioniste, finira par disparaître, il n’y a aucun doute là-dessus. La Palestine sera à terme l’Etat de tous ses habitants, égaux en dignité et en droits. Il y a aussi le fameux “Khayber ! Khayber ! Ô juifs, l’armée de Mohammed reviendra”, qui nous renvoie à une guerre de religions. Mais la cause palestinienne n’est pas la guerre de religions que cherchent à en faire les islamistes et les sionistes ! Quelle que soit la motivation personnelle de chacun des résistants (ou groupes de résistants) palestiniens, leur lutte s’inscrit dans un combat plus large : celui mené contre le projet colonialiste d’occupation de la Palestine. Il faut rappeler qu’il n’y a pas que des musulmans en Palestine. Il y a aussi des catholiques, des grecs orthodoxes, des chrétiens d’Orient, et même… des juifs antisionistes ! Et tous ceux qui défendent de près ou de loin cette cause juste ont leur place – certains même sur la ligne de feu – quelles que soient leurs convictions religieuses ou philosophiques. Alors prenons de la hauteur. Et au lieu de diviser, demandons-nous plutôt ce que nous devons faire contre le parapluie américain, sans lequel Israël n’est rien.

Alors, que pouvez-vous faire ?
D’abord, un constat : à cause de l’atrocité des crimes commis à Gaza par Israël, la cause de la Palestine a été propulsée aux quatre coins de la planète. Oui, bien sûr, la libération de la Palestine n’est pas uniquement une cause palestinienne, mais aussi une cause arabe et musulmane. Mais elle était également, dès son origine, une cause humaine, universelle. Elle le demeure aujourd’hui plus que jamais. La preuve : les manifestations qui se sont levées tout autour de la planète, de Sidney à Buenos-Aires en passant par Tokyo et Stockholm (je cite à dessein des lieux qui n’ont rien à voir avec l’islam ou même l’arabité). La dernière agression sur Gaza a amené à s’exprimer, partout dans le monde et à une échelle jamais vue auparavant, des femmes, des hommes et des groupes qui se déclarent juifs, tout en rejetant toute prétention d’Israël à parler ou agir en leur nom. Certains se sont exprimés d’une manière radicale?: ce sont les juifs anti-sionistes. Ces mêmes gens organisent de manière active la solidarité avec la lutte du peuple palestinien contre la soldatesque sioniste. Quelque fois au risque de leurs vies. La cause palestinienne (comme jadis, la cause de la lutte contre l’apartheid) est devenue le symbole de la lutte contre le racisme et les injustices, un drapeau pour tous les opprimés. Regardez dans les rues européennes, les keffiehs aux épaules des jeunes de toutes les couleurs ! N’ayons pas peur de déclarer nos perspectives clairement : le boycott économique d’Israël, l’embargo sur les armes destinées à Israël, et même des procès pour crimes contre l’humanité. Ceux qui militent pour tout cela, quelle que soit leur origine, leur confession ou leur philosophie de vie, apportent une contribution décisive au combat pour la libération de la Palestine.

*Membre de la communauté juive marocaine, Sion Assidon est un homme d’affaires installé à Casablanca. Militant pro- palestinien de longue date, prisonnier politique pendant les années de plomb, il est aujourd’hui membre actif de plusieurs ONG, fondateur et premier Secrétaire général de Transparency Maroc, association nationale de lutte contre la corruption.


Source: http://www.telquel-online.com


Mercredi 04 Février 2009
ali.foudili@free.fr
http://www.alterinfo.net/-Mort-a-Israel-ne-signifie-pas-mort-aux-juifs-_a29411.html
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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 22:23

Des enfants mizrahis (juifs d’origine moyen orientale venant de pays arabes) ont reçu régulièrement de hautes doses de rayons X en prévention d’une épidémie de teigne. Ils ont souffert enfants et, adultes, continuent de souffrir des conséquences de ces traitements particulièrement nocifs pour leur santé, une véritable expérimentation menée sous la responsabilité du ministère israélien de la santé de l’époque.
Ces cobayes, victimes de stéréotypes racistes, sont peu nombreux à avoir réussi à obtenir des compensations pour les souffrances endurées et les pathologies provoquées, notamment des cancers.
De la fin des années 40 jusqu'aux années 60, entre 150 000 et 200 000 enfants juifs israéliens mizrahis ont été irradiés. Cependant, moins de 17 000 victimes ont été reconnues par un comité nommé à cet effet. Des 34 000 demandes déposées pour obtenir compensation, 47% ont été rejetées.
Actuellement le gouvernement a l'intention de réduire les aides pour ces victimes de radiation. Cette histoire de la teigne est un exemple type des préjugés racistes paternalistes institutionnalisés dans l'état sioniste, reflet du colonialisme euro centrique.

Les garçons et fillettes mizrahis qui ont subi ce traitement, de même que leurs parents, ont été stéréotypés par les institutions de santé de l'état comme étant primitifs, sales, ayant besoin d'être lavés, éduqués, civilisés et développés. Dans ce processus qui a totalement ignoré leurs droits humains les plus élémentaires, les autorités médicales les ont transformés en cobayes d'une vaste expérimentation. De plus, à travers le processus de compensation, on constate que ce racisme structurel de la société sioniste n'est pas un fait du passé, mais se perpétue dans le présen

Israël : Les Enfants Irradiés du Sionisme
Malgré les 51 années qui se sont écoulées, Albert Asayag un habitant de Dimona âgé de 55 ans se souvient clairement du moment traumatisant quand il a été attaché à une chaise et que sa tête a été irradiée pour le traitement de la teigne, une maladie touchant le cuir chevelu.

A l’âge de 4 ans il a émigré avec ses parents et leurs 4 autres enfants du Maroc en Israël. C’était en 1955, pendant l’une de ces grandes vagues d’immigration en provenance d’Afrique du Nord. Quelques mois plus tard, après que sa famille se soit installée à Kfar Shamai (village de Shamai) dans le nord d’Israël, des autorités sont venues et ont emmené Asayag et le reste de la fratrie au camp de transit pour immigrant de Sha’ar Ha’aliya près de Haïfa.

« Je me souviens que j’ai beaucoup pleuré. Je ne voulais pas m’asseoir sur la chaise et ils m’ont forcé. Je me souviens qu’il ont répandu un produit chaud, comme du goudron, sur ma tête, et m’ont retiré tous mes cheveux, » se souvient-il. Asayag a fait partie de dizaines de milliers d’enfants d’immigrés juifs d’origine moyen orientale et de pays d’Afrique du Nord, qui ont été exposés à des radiations de haute intensité dans le cadre d’un projet de l’institution médicale israélienne d’éradication de la teigne. Cette initiative a eu lieu de la fin des années 40 jusqu’aux années 60. Les fungus qui provoquent la teigne du cuir chevelu – Microsporum canis et Tricophyton verrucosum - - sont particulièrement contagieux parmi les enfants, et peuvent provoquer des rougeurs avec démangeaison et plaies squameuses pouvant causer une perte de cheveux permanente.

Actuellement Tinea capitis est traité à l’aide de crèmes fongicides et occasionnellement des antibiotiques. Mais, à cette époque, par crainte d’une épidémie le personnel médical « traitaient » les enfants d’immigrés en les exposant à des radiations d’un taux équivalent à 500 rayons X standard. Asayag se souvient avoir passé deux mois au camp de transit de Sha’ar Ha’aliya pour recevoir ces radiations.

Il y a douze ans, Israël a reconnu sa responsabilité dans les résultats destructeurs de ces radiations injustifiées dont cicatrices permanentes sur le cuir chevelu, perte totale de cheveu, chute de dents prématurées, et tumeurs bénignes et malignes. La loi israélienne de compensation du Tinea Capitis stipule que celui qui peut prouver à un comité d’experts du ministère de la santé qu’il a été irradié enfant peut bénéficier d’une compensation en fonction du dommage causé à sa santé. Interrogation/torture

Mais, les victimes doivent suivre un parcours du combattant pour recevoir cette compensation qui leur revient de droit selon cette loi.

Zvi Regev, un avocat qui a représenté environ 1000 cas individuels devant ce comité d’experts, témoigne que « quelqu’un qui dépose un dossier de demande de compensation pour la terrible souffrance qui lui a été infligée, subit un interrogatoire du type torture. Les membres du comité essaient de le coincer avec des questions pièges, ignorant le fait que des douzaines d’années se sont écoulées depuis les évènements. Par exemple, si la personne dit qu’elle a expérimenté une douleur pendant la radiation, sa demande sera probablement rejetée. Parce que, pour être précis, ce n’est pas la radiation – qui est indolore - - mais le fait d’extirper ce qui restait de cheveux sur son cuir chevelu qui était douloureux » dit-il.

Asayag dit qu’il a décrit au comité la couleur des fleurs qui poussaient près de la pièce de radiation à Sha’ar Ha ‘alyia. « Ils m’ont demandé comment je m’en souvenais. Je leur ai répondu que je ne pouvais pas l’oublier parce que depuis ce moment là j’ai des maux de tête ».

L’attitude rigide du comité s’est avérée être un moyen efficace et économique de préserver les dépenses publiques. Selon des statistiques du ministère de la santé, jusqu’au milieu du mois dernier, 34 000 personnes ont déposé plainte contre l’état demandant des compensations en lien avec la loi de 1994 dite Tinea Capitis. 47% de ces plaintes ont été rejetées. Seuls 16 908 personnes ont pu apporter des preuves que le comité n’a pas rejeté et ont réussi à obtenir compensation.

Malgré cela, le trésor public essaie toujours de réduire les coûts relatifs à la loi du Tinéa Capitis. Une clause d’un amendement à la loi stipule qu’un individu peut demander des compensations »jusqu’à 4 ans après l’évènement lui permettant de demander compensation. » Une deuxième clause de l’amendement stipule que « les protocoles de délibérations du comité des experts et les décisions concernant l’éligibilité à compensation sous la loi Tinea Capitis peuvent ne pas être fournis aux partis ».

Selon Avri Rav-Hon un avocat d’une ONG qui aide les victimes et qui a représenté des milliers de victimes de Tinea Capitis : « malgré son obligation morale, l’état a reconnu à un nombre infinitésimal de victimes le droit à compensation. Selon des témoignages et les archives, entre 150 000 et 200 000 enfants de moins de 15 ans ont été exposés à ces radiations sur une période de 14 ans, en Israël et dans des camps de transit en Europe. » Parce que les compensations sont accordées selon la loi Tinea Capitis en fonction de la gravité de la maladie de l’individu, quelqu’un comme Asayag qui n’a pas pour l’instant développé de tumeurs maligne et souffre « seulement « d’être partiellement chauve et de maux de tête permanents, ne peut recevoir que 5 pourcentage de points sur les 39 accordés pour handicap. Cela lui permet de toucher un seul paiement de 1,218 shekels par point.(1 shekel = 0,18 euro)

« Le comité m’a compensé il y a un an. Malgré le fait que cela représente un petit changement compte tenu de ce que j’ai souffert, je ne veux pas passer des examens approfondis. J’ai vraiment peur qu’ils trouvent d’autres problèmes. La famille me dit que c’est dangereux, mais je ne veux pas les écouter. J’ai dit au comité, « si je découvre que l’ai la maladie (le cancer), je ne le supporterais pas. »

Quiconque tombe malade de la « maladie » - - incluant la leucémie, le cancer de la peau, de la thyroïde et de la gorge - - a légalement droit à une compensation maximum. Des individus avec 75-100 points de handicap ont le droit à une seule compensation de 150 000 shekels et à des versements mensuels de 1400 à 1800 shekels. Une fois que le comité a accepté la revendication de l’individu comme quoi il a été exposé aux radiations pendant son enfance, un comité de l’Institut National de l’Assurance détermine le niveau de compensation, et des paiements rétroactifs sont versés à partir du jour ou la loi a été mise en application en 1994.

Selon les données de l’Institut National de l’Assurance, Israël paie aux victimes des radiothérapies contre le Tinea Capitis des allocations pour handicap à celles ayant 40 points et plus. A la fin de l’année dernière, il avait versé 790 millions de shekels ; 3150 personnes reçoivent des allocations mensuelles pour handicap.

Les victimes de cette expérimentation vivent majoritairement dans des villes dites de développement (villes ou dans certains quartiers s’est surtout développé la pauvreté, la misère) comme Dimona, Sderot, Ofakim, Be’er Sheva. Ce sont des gens pauvres, peu éduqués, que l’état et son personnel de santé ont traité comme des pestiférés, exprimant par là un racisme institutionnel propre au régime sioniste lié à l’Europe coloniale dont étaient originaires ses têtes pensantes et idéologues, des ashkénazes, qui ont et continuent de dominer la sphère des élites de l’état sioniste.

Apres leur avoir irradié le cuir chevelu à outrance, le gouvernement sioniste coupe les cheveux en quatre pour éviter de les dédommager alors qu’ils ont été utilisés comme cobayes. Des enfants juifs dont le seul tort étaient d’être aux yeux de ces sionistes colonisateurs européens, des « juifs arabes » comme certains s’appellent eux-mêmes.

Edifiant, Non ?

Par Myriam Abraham,
dimanche 25 février 2007
Source: bellaciao.org
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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 14:25
Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voire pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien.

Aujourd’hui même 50 Palestiniens, plus de la moitié des civils dont des enfants, ont été massacrés par l’armée israélienne dans la Bande de Gaza. Ce génocide palestinien, prémédité, organisé administrativement, juridiquement et militairement, et qui jusqu’à présent se faisait lentement, est entrain de s’accélérer, et est, pour toute conscience juive, religieuse ou séculière, INACCEPTABLE.

La secte sioniste - comme à une autre époque la secte pseudo juive de Shabtaï Tzvi *- a usurpé, en s’auto proclamant représentant des Juifs, le nom même de Juif. Elle a manipulé et continue de manipuler le génocide juif commis par les nazis pour perpétrer un génocide contre le peuple palestinien, et est entrain de détruire le Judaïsme.

La secte sioniste terrorise non seulement les Palestiniens, mais aussi des centaines de milliers de Juifs qui refusent de cautionner ses crimes, en faisant pression, (pressions communautaires, pressions individuelles), en les diffamant lorsqu’ils osent critiquer les crimes des sionistes, en ruinant leur carrière professionnelle, comme c’est le cas aux Etats Unis de celle du professeur Finkelstein qui a dénoncé les crimes sionistes et sa manipulation de l’Holocauste

La secte sioniste n’a apporté que du malheur au peuple palestinien et au peuple juif. Loin d’apporter une quelconque sécurité aux Juifs, c’est dans l’état sioniste, depuis la seconde guerre mondiale, qu’ont péri de mort violente le plus grand nombre de Juifs, qu’ils vivent dans l’insécurité la plus grande parce qu’installés sur des terres volées, dans le plus grand ghetto jamais habité par des Juifs, entourés de murs de plus de huit mètres de haut, gardés par des miradors et des systèmes de sécurité high tech prés à tirer automatiquement sur tout ce qui bouge, survolés en permanence par des avions et hélicoptères de combat, assis sur une véritable poudrière d’armes, incluses des armes de destruction massive, des armes nucléaires, biologiques et chimiques.

La secte sioniste a enfermé les Juifs qui se sont laissés endoctriner par son idéologie raciste, dans un camp d’extermination à retardement, car il suffirait - D. préserve - d’une petite étincelle pour faire sauter tout cet arsenal mortifère.

C’est là le summum de l’antisémitisme : rassembler un maximum de Juifs au même endroit, où les actes insensés de politiques sanglantes menées par la secte sioniste rendent ce lieu des plus dangereux pour les Juifs. La secte sioniste le fait avec l’aide des Chrétiens Evangélistes, les pires antisémites existants actuellement, qui la financent pour satisfaire leur délire mystique d’Armaggedon, et qui ont même réussi à siéger au conseil d’administration du « joyau « de la secte sioniste : l’Agence Juive (Institution para gouvernementale dont l’objectif depuis sa création est de faire émigrer des Juifs en Palestine).

Est-ce donc bien là la «renaissance» d’un mythique Royaume de David que la secte sioniste, et sa soldatesque, avec ou sans kippa, exige que vous souteniez ?

C’est à cause de la secte sioniste que des Juifs en dehors de la Palestine, ont été attaqués et parfois même tués, parce que la secte sioniste a détourné le Judaïsme à des fins politiques sanglantes, et semer volontairement la confusion entre Sionisme et Judaïsme pour faire accuser d’antisémitisme quiconque critique ouvertement ses crimes.

La secte sioniste, comme celle de l’Eglise de Scientologie, a un réseau mondial d’adeptes endoctrinés, obéissants, infiltrés dans les plus hautes instances étatiques, associatives, et qui utilisent leurs fonctions pour servir les intérêts de cette secte. Comme l’Eglise de Scientologie, elle bénéficie de massifs soutiens financiers.

La secte sioniste s’appuie en parallèle sur une organisation mafieuse, le Mossad, qui, comme le Syndicat du Crime, emploie des « tueurs sans frontière » pour effectuer ses basses besognes d’élimination d’opposants.

Par la tromperie, le mensonge, c’est là sa véritable devise, son cri de ralliement.

La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme.

Juifs religieux et séculiers, réveillez vous avant qu’il ne soit trop tard, avant que la secte sioniste, par le génocide commis contre le peuple palestinien, ne commette en même temps l’irréparable :

la destruction du Judaïsme, qu’ils soient pour vous une religion, une culture, une civilisation, une philosophie.

Juifs du monde entier désolidarisez vous de la secte sioniste de son pseudo état « Juif », condamnez les crimes commis par cette secte contre le peuple palestinien.

Juifs du Monde Entier pas en Notre Nom,

Pas en SON NOM.


* Sabbataïsme (secte messianique) : Sabbataï Tsevi (Shabtaï Tzvi en hébreu) est né à Smyrne, dans une famille juive turque d'origine espagnole. A la fin de l'adolescence, il était déjà un spécialiste de la Kabbale. En 1648, il se proclame Messie, s'appuyant sur un texte contesté du Zohar qui prévoyait que cette année serait celle de la rédemption du peuple juif. Banni de Smyrne, suite à une procédure de herem il s'installa avec ses disciples à Constantinople, puis à Salonique, alors un important centre de la kabbale. Son influence le fit rapidement reconnaître comme le Messie par une petite partie des Juifs de l'empire ottoman. Ses pérégrinations le mènent en Egypte puis à Jérusalem, puis de nouveau au Caire. En 1663, son audience qui ne dépassait pas certains cercles juifs, augmente, très probablement à cause de la proximité de l'année 1666 : chez certains chrétiens, cette année était perçue comme celle de l'Apocalypse ou du moins celle de certains événements religieux. De nombreuses communautés paupérisées, rêvant de libération, de transfiguration, l'accueillirent avec exaltation. Des divisions apparurent dans les communautés avec l'abandon de certains rites, voire la pratique de rituels contraire au Judaisme. Certains communautés se préparèrent à partir pour la terre sainte. Arrêté par les autorités ottomanes et emprisonné, Sabbataï Tsevi se convertit à l'islam en 1666 et prit le nom de Aziz Mehmed Effendi. Il demeura musulman tout en continuant à pratiquer la kabbale et certains rites juifs. Exilé, il mourut au Monténégro en 1676. La plupart de ses disciples l'abandonnèrent, sauf quelques-uns qui perpétuèrent ses idées : les Sabbatéens. L'annonce de sa conversion entraîna un traumatisme égal à l'espoir qu'il avait suscité.

L'Holocauste comme Alibi

De la barbarie coloniale à la politique nazie
http://www.planetenonviolence.org/J-accuse-la-Secte-Sioniste-de-Commettre-un-Genocide-Contre-le-Peuple-Palestinien-et-de-Detruire-le-Judaisme-_a1503.html?PHPSESSID=0acb94788d9079bfba872788df7ea70blink
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