Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Noesam@Voila.fr

  • : sionazisme
  • : Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voir pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien...La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme. .................... Mensonge, désinformation, agression, violence et désobéissance de la loi internationale sont aujourd’hui les principales caractéristiques du sionisme israélien en Palestine.
  • Contact

Israèl est contre TORAH

*"Les sionistes me dégoûtent autant que les nazis."
(Victor Klemperer, philologue allemand d'origine juive, 1881-1960)

//////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////


 

 

 

 

 

 

L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet

é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink

                                               


   

 


Ecrivez nous au ; noesam@voila.fr
visitez    http://www.planetenonviolence.org/link
http://www.aloufok.net/link
http://www.info-palestine.net/link
http://www.ism-france.org/news/link
http://www.europalestine.com/link
http://www.enfantsdepalestine.org/
http://mounadil.blogspot.com/link


 



Recherche

FATHER OF SIONAZISJACOB HITLER

La prétendue ascendance juive d'Hitler: Une "explication" par la haine de soi
Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale.
SOURCE ;alterinfo

Archives

10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:31
Quel statut juridique pour les soldats français de l’armée israélienne ?
 

Ce soir (ou jamais !) L’émission du jeudi 20 mars 2008

Débat : "L’avenir d’Israël : une identité en crise ? une société en débat." avec Avraham Burg, Avirama Golan, Shlomo Sand, Gil Mihaely, Noam Ohana.

<EMBED src=http://www.dailymotion.com/swf/x4svtf&v3=1&related=1 width=420 height=336 type=application/x-shockwave-flash allowFullScreen="true" allowScriptAccess="always"></EMBED>
Franco-Israélien et soldat de Tsahal-F3-20-3-08
envoyé par bridgetower

Ancien article du Réseau Voltaire toujours d’actualité

9 août 2006 voltairenet.org

Un citoyen français engagé volontaire dans une armée étrangère en opération de guerre contre un peuple ami, sans mandat explicite du gouvernement français, peut-il se prévaloir de la nationalité française ?

Le mutisme est complet sur ce point, refoulé au tréfonds du subconscient national telle une consigne implicite tant de la classe politique que dans les médias. Certes le sujet fâche, car il fait tâche. Mais la solidarité avec Israël, pour légitime qu’elle puisse être pour de larges secteurs de l’opinon occidentale, ne saurait occulter le débat de fond que cette question pose tant au niveau du droit que de la morale.

La situation de Gilad Shalit présente en la circonstance un parfait cas d’école. À ce titre, il peut paraitre opportun qu’il soit soumis, pour avis, aux autorités juridictionnelles compétentes (Conseil d’État, ministère de la Justice) tant il est vrai qu’ une réponse circonstanciée en la matière ferait œuvre de jurisprudence à l’effet de lever les ambiguités futures.

Caporal de l’armée israélienne capturé le 25 juin 2006 par des Palestiniens, Gilad Shalit peut-il se prévaloir de la nationalité française et réclamer es-qualité l’intervention diplomatique du gouvernement français ? Son engagement dans l’armée israélienne, sans mandat gouvernemental français, entraîne-t-il, sinon la déchéance de sa nationalité, à tout le moins la caducité de son droit à invoquer la protection de la nationalité française ?

Le Quai d’Orsay a donné à savoir à diverses reprises qu’il s’impliquait dans la libération du caporal Shalit — non pas tant pour des raisons humanitaires ce qui peut paraître concevable, mais du fait de sa « nationalité française » —, omettant de préciser que ce citoyen se trouvait en opération de guerre dans une armée étrangère contre un peuple supposé ami de la France, le peuple palestinien.

Mutatis mutandis, un Français de confession musulmane qui choisit d’effectuer son service militaire au Soudan en guerre contre le Tchad, ou un arabe chrétien de nationalité française qui sert dans les rangs de l’armée ivoirienne, continueraient-ils de bénéficier, eux, de la protection de la nationalite française dans l’hypothèse de leur capture où péseraient sur eux immanquablement la suspicion.

Le cas de Gilad Shalit ne constitue pas un cas isolé. Ainsi un bi-national franco-allemand qui choisit de servir le drapeau d’un pays tiers par affinité religieuse, en exerçant non une option de nationalité mais une requête en naturalisation, a-t-il vocation à assumer des fonctions de conseiller ministériel dans son pays d’origine ?

Son statut de réserviste d’une armée en guerre contre un pays ami de la France, à tout moment réquisitionnable, lui confère-t-il la quiétude suffisante dans la gestion d’un sujet aussi épineux que celui des « sans papiers » ? Cette situation juridiquement sinon exorbitante du moins insolite, ne le place-t-elle pas en porte-à-faux dans sa fonction, en cas de mobilisation de son armée d’affectation ?

La nomination de Arno Klarsfeld, avocat français et réserviste de l’armée israélienne, au poste de conseiller du ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy sanctionne-t-elle la carence française dans le domaine des compétences ou relève-telle d’une manœuvre électoraliste ?

Au-delà du cas Shalit, se pose le problème plus général de la dualité d’allégeance des bi-nationaux franco-israéliens, (ou franco-arabes ou franco-africains de confession chrétienne ou musulmane) dans l’exercice de responsabilités politiques ou militaires en France ou en Israël, particulièrement en temps de guerre.

La double allégance justifie-t-elle la confusion juridique ? Exonère-telle de toute obligation de réserve au point de se vivre comme un passe-droit ? Cela préfigure-t-il la collaboration future entre les diverses composantes de l’« Axe du Bien », telle qu’elle est préconisée par les néo-conservateurs états-uniens et leurs relais français ? Un axe constitué, selon ses promoteurs, par les États-Unis, Israël, et au-delà par la droite française et le judaïsme institutionnel français (face à un « Axe du Mal » regroupant grosso modo le tiers-monde arabo-musulman bariolé) ; un axe auquel le ralliement de Philippe de Villers, représentant de la droite traditionnelle, découvreur des mosquées souterraines de l’aéroport de Roissy, est la manifestation la plus pathétiquement symptomatique.

La question peut paraitre dérisoire au regard des enjeux de puissance que sous-tend cette nouvelle guerre du Liban, des morts et destructions de l’été 2006 qui s’en sont suivis tant au Liban qu’en Palestine et en Israël même.

Alors que la France s’emploie activement à retrouver un rôle diplomatique au Proche-Orient, il importe que le droit soit dit et redit tant il est vrai que les grandes civilisations se meurent des entorses répétitives qu’elles commettent à l’encontre de leurs propres principes.

Toute explication sur une question qui demeure dans le flou près de quatre semaines après la capture du soldat israélien de nationalité française serait la bienvenue pour l’édification des générartions futures. par René Naba

Voir en ligne: Réseau Voltaire.
 
 
Publié le mardi 25 mars 2008
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:30
Gisèle Halimi :Une femme courageuse  http://brok.987mb.com/spip.php?article6
 
Ce soir (ou jamais !)
L’émission du mardi 18 mars 2008

Gisèle Halimi, Avocate et écrivain. Célèbre avocate, ancienne députée, grande figure du mouvement féministe en France, elle est la présidente et fondatrice du mouvement "Choisir, la cause des femmes".

<EMBED src=http://www.youtube.com/v/3N_U9oFdgjs width=425 height=350 type=application/x-shockwave-flash></EMBED>

Gisèle Halimi :

Ceux qui demandent aujourd’hui un boycott des jeux olympiques organisés par la Chine , pour soutenir le Tibet , sont les mêmes qui étaient contre le boycott du Salon du livre , pour soutenir la Palestine !

 
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:29
Le sujet le plus tabou au monde : Le sionisme !
 
<EMBED src=http://www.youtube.com/v/D8wLXZDKpdg width=425 height=350 type=application/x-shockwave-flash></EMBED>
Fallait-il sacrifier le sous-préfet Bruno Guigue ?

Par Esther Benbassa (Historienne,spécialiste de l’histoire des Juifs)

EXTRAIT TRÈS INTÉRESSANT :
Peut-on critiquer Israël ?

On connaît le sort indigne qui a été réservé au journaliste de France2 Charles Enderlin, habitant Israël, à qui on reprochait d’avoir diffusé les images de la mort du petit Muhamad al Durah, cible de l’armée israélienne, ainsi qu’à d’autres, de Daniel Mermet à Pascal Boniface, en passant par Edgar Morin, taxés d’un anti-israélisme identifié par certains à de l’antisémitisme. De tels précédents devraient inciter à plus de prudence encore lorsqu’on traite de sujets pareils et qu’on sait la vigilance des soutiens inconditionnels d’Israël, veillant à chaque mot ou à chaque phrase prononcés pour lancer un procès ou se répandre sur la toile.

Lorsque B. Guigue parle de l’Etat d’Israël comme "seul État au monde dont les snipers abattent des fillettes à la sortie des écoles", il tire sans doute son information d’Amira Hass, journaliste au quotidien israélien Haaretz, laquelle rapporte sa conversation avec un soldat dans un article paru le 20 novembre 2000 et repris depuis dans son recueil, paru en français, "Correspondante à Ramallah" (La Fabrique, 2004). A la question de la journaliste qui lui demande s’il est permis de tirer sur un enfant de moins douze ans, ce soldat répond : "Douze ans et plus c’est permis, ça n’est plus un enfant, c’est après la bar-mitzvah. Quelque chose comme ça." (p. 111). On peut aussi observer que les actes de guerre palestiniens ne sont pas eux-mêmes toujours spécifiquement dirigés contre les militaires israéliens, mais touchent aussi des civils, femmes, enfants, vieillards et simples passants. L’un n’excusant pas l’autre.

Quant à la phrase qui a probablement valu son limogeage à B. Guigue –"Ils [les admirateurs occidentaux d’Israël] doivent aussi se confondre d’admiration devant les geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on s’interrompt de torturer durant le shabbat."– et qui, à la première lecture, et si elle n’est pas recontextualisée, n’est pas sans susciter un certain malaise, elle tire probablement sa substance de la note 17 de la page 94 du livre Les Emmurés (La Découverte, 2005) de Sylvain Cype, journaliste au Monde, ex-correspondant à Jérusalem et actuellement aux Etats-Unis, ayant vécu de longues années en Israël et lui-même d’origine juive. Cet ouvrage a été traduit en plusieurs langues et notamment en anglais, et on ne saurait le soupçonner du moindre "antisémitisme". Il relève certes d’une lecture critique, mais solide de la société israélienne.

La France des groupes de pression

Le limogeage de B. Guigue est d’abord le signe de l’impossibilité de conduire un authentique débat dans notre pays et de l’influence des groupes de pression communautaires auprès des instances gouvernementales. Je ne partage ni le ton, ni la façon polémique de la présentation par B. Guigue de la politique menée par Israël à l’endroit des Palestiniens. Cette absence grave de culture du débat en France ne peut que déboucher sur des polémiques stériles de cette nature. Parce que les idées contradictoires ne réussissent pas à s’exprimer dans le cadre d’un échange de vues équilibré, rigoureux et véritablement attentif.

On aurait pu s’attendre à ce que les mêmes groupes de pression qui ont dénoncé B. Guigue se contentent de lui répondre par des articles d’opinion dans la presse ou sur le net. Non, on a préféré le faire limoger, comme si nous vivions dans un État de droit divin ou simplement totalitaire. Il n’est pas sûr que si un commis de l’Etat s’était exprimé avec la même violence sur l’islam ou sur les Palestiniens ou sur tout autre pays aurait eu à subir le même sort.

Reste que l’un des aspects les plus inquiétants de cette affaire est le poids croissant qu’acquièrent en France les groupes de pression.Vont-ils désormais museler toute pensée au gré de leurs diktats ? Israël est critiquable comme n’importe quel pays et il n’a rien de sacré qui doive empêcher les hommes et les femmes de bonne volonté de le faire en toute honnêteté, en évitant bien sûr les dérives qui nuisent à la crédibilité de toute démarche en faveur de la légitime cause palestinienne.

Quel devoir de réserve ?

On évoque, pour B. Guigue, le devoir de réserve qui s’imposerait aux fonctionnaires. Observons d’abord qu’il s’est exprimé dans la tribune d’Oumma.com en tant que simple citoyen et non comme sous-préfet. L’article 10.1 de la CEDH stipule en outre que "toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir d’ingérences d’autorités publiques et sans considération de frontières". Certes, la liberté d’expression n’est pas sans limites et elle peut-être soumise à des "formalités, conditions, restrictions ou sanctions". Selon le paragraphe 2 de l’article 10 de la CEDH, "l’ingérence doit être prévue par la loi ; elle doit être dirigée vers un ou des buts légitimes (la sécurité nationale, l’intégrité territoriale ou la sûreté publique, la défense de l’ordre et la prévention du crime, la protection de la santé ou de la morale, la protection de la réputation ou des droits d’autrui)". En critiquant Israël, M. Guigue n’entrait nullement dans ce cas de figure.Il convient également d’ajouter que la Cour européenne des droits de l’Homme a affirmé explicitement que la liberté d’expression s’appliquait aussi aux fonctionnaires et ceci dans une décision datant de septembre 1995.

Toutefois, "la liberté d’expression des fonctionnaires peut être limitée au nom de l’obligation de réserve qui varie en fonction de critères divers, tels que la place du fonctionnaire dans la hiérarchie, les circonstances dans lesquelles il s’est exprimé, les modalités et les formes de son expression". Ainsi, "le respect de cette obligation (…) est apprécié cas par cas par l’autorité publique compétente…" Qui nous dit que demain la même obligation ne s’appliquera pas aussi à l’intellectuel(le) fonctionnaire dont le devoir est d’exercer son esprit critique, indissociable de sa fonction ?

Un pays où l’on ne peut pas s’exprimer est un pays voué à l’obscurantisme. Sauvons ce qui peut encore l’être. Et ceci pour éviter le pire. Ce limogeage est une tache sur la liberté dans le pays même des droits de l’homme et de la femme et le signe de la faiblesse d’une République sous influence.

Par Esther Benbassa

Voir en ligne: Source rue89.com.
 
 
Publié le vendredi 28 mars 2008
 
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:27
1960 : « Arabes = Nazis »
*1960 : Arabs = Nazis

Publié le 28-03-2008


Le 23 mai 1960, le Premier ministre Ben Gourion annonce la capture en Argentine et l’extradition du SS Adolf Eichmann, acteur majeur du génocide de 6 millions de Juifs.

La période qui va de l’ouverture du procès Eichmann à sa condamnation à mort et à son exécution, le 1er juin 1962, marquera profondément la société israélienne.

Jusqu’alors en effet, la destruction des Juifs d’Europe avait occupé une place secondaire dans la vie publique du pays, où l’accent était mis plus volontiers sur les héros morts au combat, tels les combattants du ghetto de Varsovie, qui étaient identifiés à ce « Juif nouveau », combatif, que devait être tout citoyen de la nation en construction.

Inversement, le martyr de la grande masse des Juifs d’Europe, dont 300.000 survivants vivaient pourtant maintenant en Israël, était absent de l’espace public, et il était implicitement reproché aux Juifs d’Europe de s’être laissés conduire dans les chambres à gaz « comme des moutons à l’abattoir ».

Par exemple, en 1960, plus d’un quart des écoles du pays ne célébraient toujours pas le « Jour de la Shoah », malgré le vote d’une loi spécifique sept ans plus tôt.

Le procès montrera, avec le témoignage de centaines de survivants qui raconteront l’horreur, qu’Israël avait « oublié » les victimes, sacrifiées à la volonté sioniste de tourner la page du judaïsme diasporique. Pour beaucoup, la reconnaissance de leurs souffrances sera un grand soulagement. Mais s’amorce aussi à ce moment-là «  un processus de mobilisation explicite et organisé de la Shoah au service de la politique et de la raison d’Etat israéliennes, en particulier dans le contexte du conflit israélo-arabe  », estime l’historienne Idith Zertal.

A cette époque, la propagande israélienne lance une campagne, qui va durer des décennies, pour assimiler les Arabes… aux nazis. Ces derniers sont décrits comme « pires que Hitler » et l’idée que le génocide des Juifs a en réalité été inspiré par les Arabes, fait son chemin. L’Encyclopédie de la Shoah consacre ainsi une notice deux fois plus longue au nationaliste palestinien Hadj Amin al-Husseini qu’à Eichmann lui-même ! par CAPJPO-EuroPalestine


ENGLISH TEXT----------------------------------

1960

Arabs = Nazis

On May 23, 1960, Prime Minister Ben Gurion announced the capture in Argentina and subsequent extradition of the SS official Adolf Eichmann, a major player in the genocide of 6 million Jews.

The period which extended from the opening of the Eichmann trial to his death sentence and execution on 1 June 1962 left a profound mark on Israeli society.

Until then, in fact, the destruction of European Jewry had occupied a secondary place in the public life of the country. The preferred role model to be emulated by all citizens was the fighting hero killed in combat, such as the Warsaw Ghetto resisters, and this was identified as the “new Jew”. Conversely, the martyrdom of the great mass of European Jews, of which 300,000 survivors now lived in Israel, was absent from public discourse. There was an implicit reproach against those European Jews who had not resisted being led to the gas chambers “like sheep going to the slaughterhouse”.

For example, in 1960, more than a fourth of all schools in Israel did not yet commemorate the Holocaust, in spite of a law passed seven years earlier stipulating this official remembrance

Hundreds of survivors testified at the Eichmann trial, allowing the public to relive the horror. The trial would show that these victims had been forgotten by Israel, their plight relegated to secondary importance because of the Zionist need to turn the page of the history of Judaism’s Diaspora. This belated recognition of the suffering of the survivors became a great relief. But this moment also primed a new process, according to historian Idith Zertal, of an organized mobilization explicitly using the Holocaust to serve political aims and to provide a rationale for an Israeli state, particularly in the context of the Israeli-Arab conflict.

In this period, Israeli propagandists launched a decades-long campaign which equated Arabs… with Nazis. In this campaign, the Arabs are described as “worse than Hitler”.

The idea that the genocide committed against the Jews was in reality inspired by the Arabs gained ground. For example, the Holocaust Encyclopedia dedicated a section on the Palestinian nationalist Hadj Amin al-Husseini that was twice as long as the section on Eichmann himself !

* "Israel : 60 years of smokescreens - 22 000 days of Palestinian resistance"

by CAPJPO-EuroPalestine


Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:26
*1959 « If you can’t kill Arafat then stain his reputation »

Publié le 27-03-2008


En fondant le Fatah (Mouvement de Libération de la Palestine) en 1959 à Koweït avec une poignée d’exilés, Yasser Arafat, âgé de 30 ans, a bien conscience que la route sera longue. Mais il n’imagine pas les calomnies que concentreront sur sa personne, jusqu’à sa mort, les dirigeants israéliens.

Comme bien d’autres militants palestiniens, Yasser Arafat a été l’objet de tentatives d’assassinat de la part d’Israël, auxquelles il a échappé, souvent grâce aux talents de son organisation, parfois aussi dans des conditions tenant du miracle.

Il a dû, en plus, subir les ragots les plus ignobles, émanant d’un adversaire refusant que « les Arabes », masse informe et hostile, aient une représentation individuelle. Aussi, lorsque Arafat commence à symboliser mondialement son peuple, au début des années 1970, il devient impératif de disqualifier pas seulement le mouvement, « terroriste », mais aussi la personne.

Une officine publie, dès 1976, le brûlot « Arafat, l’homme et le mythe » , « tissu de mensonges répugnants et de diffamations » de l’aveu d’un ex-chef des services secrets israéliens, Avraham Sela. Arafat fut systématiquement taxé d’antisémitisme, à coups de mensonges. Pourtant, un ami juif de son enfance au Caire racontera plus tard : «  Yasser et moi étions très amis. Il n’y avait pas de différences entre Juifs et Arabes : en cas de dispute, il me défendait toujours contre les autres enfants arabes. Jamais un mot haineux envers les Juifs, mais toujours aussi le rappel de son origine palestinienne ».

De même, Yasser Arafat répondra toujours présent lorsque des personnalités d’origine juive, israéliennes ou internationales, proposeront de jouer les intermédiaires avec Israël. Et il confiera, publiquement, des fonctions dirigeantes à la poignée de Palestiniens juifs ayant rejoint le Fath.

« Arafat ne pense qu’à s’enrichir, il a des millions en Suisse », écrivent aussi des plumes inspirées par le Mossad, alors que le désintérêt du leader pour le confort matériel est patent. Et si la popularité d’Arafat s’érode nettement, dans la dernière partie de son existence, ce ne sera pas dû à toutes ces pseudo révélations, mais bien plutôt aux échecs politiques du leader, qui a multiplié les concessions aux dirigeants sionistes, sans obtenir en retour l’indépendance de la Palestine.

par CAPJPO-EuroPalestine


ENGLISH TEXT----------------------------------

1959

« If you can’t kill Arafat then stain his reputation »

When he founded El Fatah (Palistinian Liberation Movement) in 1959 in Koweit with a handful of exiles, Yasser Arafat, age 30, was well aware that the road would be long. But he could not have imagined the lengths that Israeli leaders would go to in order to slander him until his death.

As with other Palestinian activists, Yasser Arafat was the object of Israeli assassination attempts. His successful escapes could be attributed to the talents of his organization but also resulted from circumstances verging on the miraculous.

He was also subjected to the most appalling and malicious gossip, which emanated from an adversary who refused to admit that the hostile and shapeless “Arab” masses would deserve to have an individual representing them. When Arafat emerged as a worldwide symbol for his people at the beginning of the 1970s, it became necessary for his opponents to denigrate as “terrorist” not only his movement but his person.

Arafat, the Man and the Myth, a scathing attack written in 1976 in the form of memoirs by the ex-head of the Israeli secret services, Abraham Sela, wove a web of repugnant lies and defamation. Arafat was systematically labeled an anti-Semite, a resounding lie that was repeated incessantly until it would seem like the truth. Yet, a Jewish friend from Arafat’s childhood in Cairo would tell us some years later : "Yasser and I were close friends. Our friendship had none of the differences attributed to the relationship between Jews and Arabs. In cases of dispute, he always defended me, even against other Arab children. Never a word of hatred towards Jews from Arafat, but always the reminder of his Palestinian origins."

In fact, whenever Jewish, Israeli or international personalities offered to serve as intermediaries between Israel and the Arabs, Arafat was right there to offer to support the effort. And he even entrusted a handful of Palestinian Jewish members of El Fatah with leadership positions. But the slander continued to spew forth. Mossad-inspired writers would accuse Arafat of enriching himself and stashing the money in Swiss bank accounts, in spite of Arafat’s patented fame for his disinterest in material comforts.

Arafat’s popularity clearly eroded in the later years of his life, not because of all the pseudo-revelations, but above all as a result of his political failures, which multiplied when his concessions to Zionist leaders got his people no nearer to the independent Palestine they longed for.

* "Israel : 60 years of smokescreens - 22 000 days of Palestinian resistance"

by CAPJPO-EuroPalestine


 
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:24
رام الله " مصيف ورئة فلسطين "
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
10/02/2008  09:31

عائلة من عام 1914
.
1934
.
أثناء أحدى العروض الثقافية بمدرسة البنات 1937
.
اللباس التقليدي لنساء رام الله 1933
.
برج الاذاعة الفلسطينية 1939
.
1945
.
طلاب من المدرسة الابتدائية 1935
.
مدرسة الفرندز عام 1937
.
الحي الجنوبي عام 1911
.
عا ئلة من رام الله منتصف العشرينيات
.
يا..
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
12/02/2008  16:22
قارب صيد في قيسارية 1935

.
.
.
.
.
.
اراضي قيسارية المغتصبة
.
احد البيوت القديمة في اوائل الثلاثينيات
.
أمراة من قيسارية العام 1941
.
راعي اغنام عام 1937
.

مدينة الرملة قبل النكبة..
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
16/02/2008  20:26

1927
.
منظر عام للمدينة وتظهر المقبرة 1920
.
مأذنة ألجامع الابيض بالرملة عام 1920
.
صورة لاهل المدينة اثناء التطهير 1948
.
الرملة 1923
.
1930
.
اطفال-عام-1916
.
!!1948-وسقوط-الرملة
.


مجموعة صور قديمة لمدينة" غزة هاشم
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
19/02/2008  22:55

.
احد البيوت عام 1924
.
أسدود . قضاء غزة 1927
.
البلدة القديمة 1926
.
صورة قديمة لغزة في الفترة العثمانية ويظهر المسجد
ز
غزة 1870
.
غزة المدينة 1918
.
فلاحون من اهالي اسدود قضاء غزة
.
الاحتلال البريطاني لغزة 1918
.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:23
مدينة بيسان حينما كانت..
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات.. nazaretharchive@gmail.com

جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
11/03/2008  17:40
عرب48
1922
.
1930
.
1942
.
البيادر 1938
.
اهالي بيسان يعملون في اعمال تنقيب الآثار
.
بائعة متجولة 1933
.
تعبيد احدى الطرق في بيسان 1925
.
سوق شعبي 1934
.
منظر آخر منتصف الثلاثينيات
.
منظر عام لبيسان اوائل القرن العشرين
.
قدس عروس عروبتكم (القدس قبل النكبة)
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات.. nazaretharchive@gmail.com

جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
22/03/2008  23:12
1932

.
.
الاحياء العربية اوائل العشرينيات
.
البلدة القديمة 1920
.
البلدة القديمة 1924
.
المصلى المرواني في القدس
.
باب العامود 1923
.
باب يافا في اوائل القرن العشرين
.
جنازة الشريف حسين في القدس 1934
.
حائط البراق
.
حشود في ساحة كنيسة القيامة في العشرينيات
.
زيارة ونستون تشيرشل واللورد بلفور للقدس وبداية عهد الصهيونية 1917
.
منظر عام للقدس - (القدس عروس عروبتكم)
.
منظر لباحة الاقصى
.
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:21
ارسل الصفحة الى صديق 
حيفا قبل النكبة..
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
26/02/2008  23:05

احد شوارع حيفا عام 1940
.
حيفا من الشاطىء وتظهر جبال الكرمل 1924
.
ستيلا مارس تصوير كريمة عبود 1934
.
شارع بحيفا عام 1939 ويظهر فندق رويال
.
على شاطىء البحر 1937
.
مسبح 1940 عام
.
ملهى ليلى عام 1946
.
من اعالي الكرمل
.
.
نين قبل النكبة..
من مدير أرشيف الناصرة الفلسطيني أحمد مروات..
جهد مشترك بين موقع عرب48 وأرشيف الناصرة الفلسطيني لعرض بعض جوانب تاريخنا الفلسطيني..
04/03/2008  23:24

1915
.
1933
.
البلدة القديمة
.
البلدة القديمة 1915
.
جنين 1912
.
جنين 1921
.
جنين ما قبل النكبة 1948
.
صورة زيتية 1899
.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:19
Rebbe de Satmar et la 'Grande Assemblée' agoudiste, Jerusalem 1949
Klik op de afbeelding om de link te volgen

60 D'ETAT ANTI-TORAH, 60 ANS DE NAKBA


LE REBBE DE SATMAR <O:P></O:P>

ET LA « GRANDE ASSEMBLEE »<O:P></O:P>

AGOUDISTE, JERUSALEM 1949<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

Le Rabbi chassidique Joël TEITELBAUM (1887-1979), de mémoire bénie, a été une des autorités rabbiniques les plus influentes, les plus fougueuses contre le Sionisme en général et contre le sionisme religieux, quel qu'en soit le déguisement. <O:P></O:P>

Survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, il s'installa les deux premières années d'après guerre, après un séjour en Suisse, en Palestine. Fin 1947, début 1948, lorsque la fondation de l'Etat sioniste s'avéra certaine, il s'installa à Williamsburg (New York, USA), où il reconstruisit sa Communauté chassidique telle qu'elle avait existée à Satmar (Satu Mare, Roumanie). Savant de Torah perspicace, il s'opposa depuis toujours à l'organisation rabbinique internationale « Agoudass Jissroél », devenue par la suite parti sioniste religieux, voire pieux. En 1934, au décès du Grand Rabbin de Jérusalem Chaim Josef SONNENFELD, il eut l'occasion de le succéder à ce poste, mais dans sa grande perspicacité, il refusa.<O:P></O:P>

Début 1949, l'Agouda organisa une grande rencontre internationale de rabbins et fonctionnaires religieux de haut rang, sous l'appellation de « Grande Assemblée de l'Agoudass Jissroél », première rencontre rabbinique de cette envergure d'après-guerre. L'Agoudath, devenu parti sioniste religieux, avait déjà ses députés à la Knessess haMinim (Parlement des hérétiques) de leur Etat. A l'aide de grands moyens de propagande, le succès de cette « Knessio Gedaulo » (‘Grande Assemblée') était assuré. Les invitations personnelles aux Rebbes et Rabbins de tous pays contenaient les mots attrayants « Notre but est de renforcer la Torah, la position des craignant Dieu en Terre Sainte » etc., assurant que plusieurs sommités rabbiniques avaient déjà assurés leur concours. <O:P></O:P>

Une invitation fut envoyée aussi au Grand Rabbin de Satmar. Les organisateurs voulaient s'assurer à tout prix de sa participation. On lui promit qu'il pourrait parler sans entraves sur tous les thèmes qu'il désire - y compris l'antisionisme - et bien que le temps accordé aux orateurs était limité, on ferait exception pour lui, il pourrait parler aussi longtemps qu'il veut. Les conditions étaient d'autant plus alléchantes du fait d'avoir comme audience tant d'autorités rabbiniques de haut calibre à la fois. Cette tribune semblait être l'occasion unique pour rappeler la vraie voie de la Torah, précisément à ceux qui ont été séduits par les agoudistes sionistes. De l'avis de certains de ses conseillers, la participation du Rebbe aurait l'effet d'une « bombe atomique ». Le Rebbe rétorqua :« De quoi aurait l'air un agoudiste parmi tant de sionistes ... » Après avoir pesé le pour et le contre, le Rebbe rappela les saintes paroles du Roi Salomon : « Aucun de ceux qui vont chez elle ne revient, incapable de retrouver le chemin de la vie » (Proverbes 2,19) et ajouta « Mon discours n'aidera en rien. Ceux qui sont déjà sous leur empreinte, ils ne reviendront jamais au droit chemin. Irai-je donc, sachant que chaque parole là-bas est un péché ? »<O:P></O:P>

De même plus tard, dans ses ouvrages de référence antisionistes, le Va-yoèl Moshé et Délivrance et Transformation , il écrit, précisa que ce n'est pas à eux qu'il s'adresse, cela ne servant à rien, tel qu'il est écrit dans la Torah : « La bribe aveugle les yeux des Sages ». Un aveugle ne voit même pas en plein jour, c'est donc peine perdue, d'ajouter des propos d'éclaircissement. .<O:P></O:P>

Quelques semaines plus tard, la perspicacité du Rebbe s'avéra: sa décision de ne pas participer à la dite « Grande Assemblée » a été plus que prouvée. La dite « Grande Assemblée » publia au nom des rabbins participants une déclaration, selon laquelle désormais c'est le devoir des Juifs du monde entier de venir habiter en Terre Sainte. Le Rebbe se réjouit d'avoir été protégé par le Ciel, de n'avoir aucune part à cet Appel sioniste religieux, basée sur la négation de la Torah. Un nombre de rabbins sincères ayant participé à la « Grande Assemblée » regrettèrent que cela se proclama aussi en leur nom, mais ne purent rien faire, n'ayant aucun moyen de recours. Ces Rabbins étaient manipulés.<O:P></O:P>

Le Rebbe conclu : « Si j'y avais été, les Agoudistes sionistes auraient proclamé au monde entier que le Rebbe de Satmar approuve cet appel. Quant aux propos tenus sur place, personne n'en aurait pris connaissance. Les Apikorsim, falsificateurs en connaissance de cause de la Torah, auraient dit : Nous avons même le Rebbe de Satmar à nos côtés ».<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

Traduit du Yiddish et adapté du<O:P></O:P>

ספר נפלאות מהרי"ט מאת כ"ק אדמו"ר הגה"ק רשכבה"ג מרן מהר"י טוב זצוק"ל האבדק"ק מאטמאר יצ"ו<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

*<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

וואס איז דערציילט געווארן פון אנ"ש וואס האבן אליין בייגעוואוינט די מעשה<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

*<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

ארויסגעגעבן דורך תלמידים פון כ"ק מרן אדמו"ר זצ"ל<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

קרית יואל יצ"ו תשמ"ג לפ"ק
<O:P>

PAR DEFINITION UN SIONISTE EST UN MENTEUR <O:P></O:P>

UN SIONISTE RELIGIEUX EST UN DOUBLE MENTEUR<

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 13:19
LE MERCAZ HARAV KOOK, UNE PEPINIERE SATANIQUE AMALEKITE<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

La „yeshiva“ (académie talmudique) Mercaz  haRav Kook, fondée en 1924 par le Rav haTsioni A.C. KOOK (1865-1935), est une pépinière  par excellence de Sionistes religieux de l’espèce la plus agressive, raciste, militariste, assoiffée de sang. <O:P></O:P>

Le fils Zvi Yehuda KOOK (1891-1982) a été le dirigeant du Gush Emunim (Bloc de la Foi), parti des colons ultra sionistes. Cette institution fourni les cadres sionistes religieux « purs et durs » et influence aussi les yeshivess mizrachistes et agoudistes (versions plus « soft » du sionisme religieux).<O:P></O:P>

Les Kookistes enseignent que l’établissement de l’Etat sioniste, malgré son caractère non-religieux, inaugure le « début de la Rédemption » et qu’occuper la Terre Sainte est de nos jours un « devoir religieux impératif ». Les étudiants kookistes accomplissent leur service militaire dans l’armée sioniste et font partie des milices dans les territoires palestiniens spoliés après 1948. A l’aide de citations talmudiques tronquées et falsifiées, on enseigne aux étudiants de cette institution amalékite que les Palestiniens musulmans et d’autres « goyim » (non-Juifs) qu’ils abhorrent, sont des « êtres inférieurs aux animaux » et « amalékites ». Tout cela se passe sous couvert d’ « amour d’Israël » et sous le slogan falsificateur «La Terre d’Israël pour le Peuple d’Israël selon la Torah d’Israël » 
L’hérésie du Sionisme religieux et pieux, sous tous ses aspects, est condamnée par tous les Juifs de Torah sincères et conscients. <O:P></O:P>

A noter qu’en Terre Sainte il y a aussi quelques académies talmudiques non sionistes et antisionistes qui n’acceptent aucune subvention de l’Etat sioniste. Leur situation est précaire.<O:P></O:P>


Réponse
Conseiller  Message 8 sur 9 dans la discussion 
De : Surnom MSNMoniatti1 Envoyé : 26/03/2008 19:44

60 ANS DE NAKBA, 60 ANS D’ETAT SIONISTE ANTI-TORAH,  FINISSONS EN !<O:P></O:P>

<O:P></O:P>


Yechouroun documentation<O:P></O:P>

<O:P></O:P>


Yechouroun Judaïsme contre Sionisme apporte quelques chroniques diplomatiques d’époque, dont voici la première, de la diplomatie belge. <O:P></O:P>

En pleine guerre froide, la constellation et les rivalités des grandes puissances ont favorisé la Nakba, l’établissement de l’Etat terroriste sioniste anti-Torah en Palestine. Ces documents d’époque si éloquents doivent être sortis des oubliettes, car ils dévoilent mainte complicité, responsabilité et culpabilité parmi les « grands de ce monde » et sont riches en enseignements pour notre lutte antisioniste.

<O:P> </O:P>

Cte Henry Carton de WIART (1869 - 1951), Ministre d’Etat<O:P></O:P>

Chroniques hebdomadaires parues dans ‘La Libre Belgique’<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

1. LE GUÊPIER PALESTINIEN (27 mai 1947)<O:P></O:P>

<O:P> </O:P>

  Le problème palestinien, qui constitue une sérieuse menace pour la paix du monde, vient, on le sait, d’être renvoyé par l’assemblée générale extraordinaire de l’O.N.U. à une commission d’enquête, composée de délégués d’un certain nombre de petites puissances.<O:P></O:P>

  La Belgique n’a pas d’intérêt immédiat qui soit engagé dans cette affaire. Il s’en est fallu de peu qu’elle y fût mêlée directement. A trente-deux ans de distance, il est permis de lever le voile sur une démarche qui fut faite à ce sujet auprès du gouvernement du roi Albert pendant la guerre 1914-1918. <O:P></O:P>

Un des derniers jours de l’année 1915, je ne fus pas peu surpris de recevoir au Havre la visite de M. Denys COCHIN, chargé de cette démarche. J’avais personnellement l’honneur d’être lié de près à ce Parisien de vieille roche, catholique fervent, d’une vaste culture d’esprit et d’une autorité  morale et politique reconnue par tous, qu’Aristide BRIAND avait décidé depuis quelques mois à entrer, en qualité de ministre d’Etat, dans le cabinet d’union sacrée qu’il avait formé.  Il comptait d’ailleurs beaucoup d’amis en Belgique et son frère Henri, ancien député du Nord, avait mis à la disposition de notre ministère de la Guerre son château de Saint-Pierrebrouck, situé non loin de la frontière de West-Flandre. <O:P></O:P>

  A ce moment, la France et l’Angleterre, envisageant déjà l’effondrement de l’empire ottoman, se préoccupaient du sort qui serait réservé tant au Proche qu’au Moyen-Orient, sur lesquels les convoitises historiques de la Russie n’étaient pas sans les inquiéter.<O:P></O:P>

  M. Denys COCHIN, à qui ses sympathies bien connues pour la cause grecque, non moins que son physique avantageux, avaient valu un plaisant surnom : « le bel Hélène », venait de rentrer d’une mission officielle à Salonique, et tous les aspects de la question de la Méditerranée orientale lui étaient familiers… Quel était l’objet de sa visite au siège de notre gouvernement ? Sans ambages, il me demanda si le Roi des Belges accepterait éventuellement l’offre qui lui serait faite par les Alliés d’un mandat ou d’un protectorat sur la Terre Sainte. Cette formule, m’assurait-il, rencontrerait l’appui du cabinet français et aurait des chances d’être accueillie par le Foreign Office. Parmi ceux qui s’y montraient particulièrement favorables, il me cita M. DELCASSE, qui avait quitté récemment le Quai d’Orsay, en raison de son état de santé, mais dont les avis pesaient encore d’un grand poids.  Une telle proposition, pour imprévue et délicate qu’elle fût, méritait d’être prise en considération.  La politique d’expansion belge pouvait y trouver son compte, et les souvenirs d’un Godefroid de Bouillon et d’un Robert de Jérusalem la caressaient de quelque reflet sentimental.  <O:P></O:P>

Après avoir pressenti le baron de BROCQUEVILLE, ainsi que le baron BEYENS, qui dirigeait alors nos affaires extérieures, je saisis, quelques jours plus tard, l’occasion d’un voyage au front pour faire part au Roi de cette ouverture qui ne pouvait, semblait-il, que le flatter. Mais à peine me laissa-t-il le temps d’en achever l’exposé…Je l’entends encore m’interrompre pour me dire, d’un ton le plus déterminé : « A aucun prix, je ne mettrai ma main dans ce guêpier ». <O:P></O:P>

  Je reconnus dans cette réponse la perfection de bon sens et l’absence de toute gloriole qui étaient dans le caractère de ce souverain exemplaire, et M. Denys COCHIN ne tarda pas à être informé de l’échec d’une démarche dont il souhaitait ardemment le succès.<O:P></O:P>

 Ce ne fut que le 2 novembre 1917, les évènements ayant marché dans l’entre-temps et d’autres solutions ayant été vainement étudiées par les gouvernements alliés, qu’intervint, à la suite des efforts persévérants du professeur WEIZMAN, apôtre du sionisme, efforts secondés par les ROTHSCHILD et les SASSOON, la fameuse déclaration d’Arthur BALFOUR.  Par cette déclaration, la Grande-Bretagne s’engageait à favoriser la constitution d’un home national juif en Palestine, en spécifiant toutefois (on oublie souvent de mentionner cette ajoute et cette réserve) que « ce foyer ne devra pas porter atteinte aux droits des populations qui y sont installées ni à ceux des Juifs dans les autres pays du monde ». <O:P></O:P>

  Ainsi s’ouvrait, pour le peuple d’Isra/l, la radieuse perspective du jour tant attendu « où le mur des Pleurs devra s’écrouler pour faire place à la cité de la Joie ». Un mois plus tard, le maréchal ALLENBY faisait son entrée triomphale à Jérusalem. Le 3 janvier 1919, le roi FAYçAL, au nom du Hedjaz, et le Dr WEIZMAN ,  au nom de l’Organisation sioniste, signaient un accord qui établissait la colonisation juive. Dix ans après, la plaine entre Tel Aviv et Haïffa, naguère désertique, était couverte d’habitations modernes et de champs fertiles. Mais à mesure que s’accentuait cette prospérité, la réaction des Arabes se raidissait de plus en plus, s’accusant par des mesures de boycottage, des barrages et des agressions. Enfin, en 1939, après maints essais de conciliation, le gouvernement britannique, que la S.D.N. avait investi d’un mandat sur la Palestine, se décida à  publier un Livre Blanc, qui limitait à 5 % du territoire la région où les Juifs pourraient librement acquérir des biens et qui fixait à 75.000 le nombre des certificats d’établissement qui pourraient être octroyés aux Juifs pendant les cinq années à venir, faisant dépendre toute immigration ultérieure du consentement de la population arabe. <O:P></O:P>

  C’est l’application de ces conditions, maintenue, en dépit des promesses électorales du parti travailliste, par le gouvernement présidé par M. ATTLEE, qui est en jeu dans le conflit actuel, toute la communauté juive de Palestine (qu’on évalue déjà à 600.000 personnes) réclamant la liberté de l’immigration et même un Etat juif indépendant, tandis que les 1.200.000 Arabes plus ou moins autochtones (sans parler de 80.000 chrétiens en contact avec ces deux groupes), opposent à ces prétentions une résistance où le fanatisme de l’Islam se montre de plus en plus farouche. Tandis que les actes de terrorisme se multiplient de part et d’autre et que de nombreux officiers, soldats et agents britanniques en sont les innocentes victimes, le flot d’immigration clandestine, grossi par l’arrivée incessante de Juifs sans feu ni lieu, ne cesse de monter en dépit de la chasse faite aux nouveaux venus.  D’un côté, l’exaspération de la fièvre juive, entretenue et financée surtout par les puissants groupements israélites des Etats-Unis, s’inspire d’un mysticisme qui la rend plus redoutable.  D’un autre côté, les sept Etats arabes, dont la population totale est d’une trentaine de millions d’habitants, font bloc, non seulement contre le sionisme, dont ils ont la méfiance, sinon la haine, mais aussi contre les Puissances occidentales, dont ils dénoncent les visées d’ordre colonial. Que la Grande-Bretagne consente demain à retirer ses forces, ce ne serait pas seulement pour elle le sacrifice de la pipe-line qui, traversant la Palestine, permet à sa flotte de puiser à des sources de pétrole qui représentent un tiers des réserves mondiales de carburant. Tandis qu’elle compromettrait ainsi ses moyens de protéger le canal de Suez, elle laisserait en présence et en conflit deux groupes effervescents, dont l’hostilité paraît irréductible, et dont le plus faible, le groupe juif, aurait bientôt le dessous. <O:P></O:P>

  L’Assemblée de l’O.N.U. s’est débarrassée de cette question brûlante, en la passant, comme on le ferait d’une brique chaude, à une commission d’enquête. C’est peut-être un sursis…Les amis de la paix  souhaiteront que la constitution de cette Commission marque aussi une trêve et qu’elle suspende le recours aux meurtres, aux lancements de bombes, à la destruction des voies de communication, à tous les attentats dont l’écho nous parvient presque chaque jour.<O:P></O:P>

Il n’est pas douteux que l’intransigeance des Juifs et les procédés qui leur sont imputés exciteront de plus belle, ailleurs même qu’au Moyen-Orient, les affreuses luttes racistes dont l’hitlérisme avait fait son aliment pour le déshonneur de l’humanité. On eût pu croire que l’antisémitisme vaincu par les monstruosités dont les exterminations nazistes ont donné le terrifiant spectacle. Voici que, par l’inconséquence même de ceux qui en ont été les martyrs, il se réveille, voire en Angleterre, où il n’avait jamais eu l’audience populaire. Une solution ne semble actuellement possible, ni dans la création d’un Etat juif indépendant, ni dans une fédération judéo-arabe dont les musulmans, sous la direction du Grand Mufti, ne veulent pas entendre parler. <O:P></O:P>

  Ce n’est qu’au prix de beaucoup de modération et de prudence que le conflit pourra être localisé et apaisé.  Pour l’instant, la sagesse n’est certes pas de réclamer une immigration illimitée, encore moins d’encourager et de précipiter en Palestine la marée des Juifs qui se refusent à vivre dans notre vieille Europe ou qui n’y trouvent pas d’habitat à leur convenance. Elle est bien plutôt de canaliser ce flot vers des contrées américaines, australiennes, voir sibériennes et africaines, où la place ne manque pas. Si l’O.N.U. s’employait à poursuivre ce résultat, elle justifierait opportunément son titre et sa fonction.<O:P></O:P>

 Quant à l’Union Soviétique, qui est un membre si influent de l’O.N.U., quel est, dans tout ceci, son rôle ?…Moscou a repris, en ces temps derniers, et sans que l’opinion dans les pays occidentaux mesure toute la portée de ce recommencement, son action séculaire de métropole du culte orthodoxe et d’ordonnateur de sa hiérarchie. La politique russe obéit ainsi, sans qu’on s’en doute, à des « constantes » traditionnelles. L’histoire n’a pas oublié que cette action, telle qu’elle s’est déployée, en Palestine même, fut, en 1854, à l’origine de la guerre de Crimée…  <O:P></O:P>

Verrons-nous le Kremlin d’aujourd’hui verser de l’huile dans les rouages  ou de l’huile sur  feu ?… La crise  palestinienne lui offre assurément une occasion propice de manifester dans les faits cette volonté dont M. MOLOTOV nous a affirmé récemment l’assurance.<O:P></O:P>

(27 mai 1947)<O:P></O:P>

Extraits de  Cte Carton de WIART  Chronique de la Guerre Froide 1947-1949 <O:P></O:P>

Ad. Goemaere  Bruxelles 1950 pp.61 à 83
<O:P>

Cet homme d’Etat conservateur et réaliste sera-t-il aussi traité d’ « antisémite » par les hystériques de la propagande sioniste ? <O:P></O:P>

</O:P>
Partager cet article
Repost0

Pages