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Noesam@Voila.fr

  • : sionazisme
  • : Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voir pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien...La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme. .................... Mensonge, désinformation, agression, violence et désobéissance de la loi internationale sont aujourd’hui les principales caractéristiques du sionisme israélien en Palestine.
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Israèl est contre TORAH

*"Les sionistes me dégoûtent autant que les nazis."
(Victor Klemperer, philologue allemand d'origine juive, 1881-1960)

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L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet

é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink

                                               


   

 


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FATHER OF SIONAZISJACOB HITLER

La prétendue ascendance juive d'Hitler: Une "explication" par la haine de soi
Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale.
SOURCE ;alterinfo

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 10:54

Chomsky: Israël est 'une base militaire US'

Le renommé analyste en sociopolitique Américain, Noam Chomsky, a déclaré qu'Israël sert de principale base de stockage d’armes de Washington dans le Moyen-Orient.  
 
 « Israël est essentiellement une base militaire Américaine, les USA y entreposent leurs armes, c’est une relation militaire et du renseignement très étroite, » a indiqué l’universitaire juif à Press TV Mercredi tout en expliquant la complexité des relations entre Washington et Tel Aviv.  
 
 Commentant sur les armes qu'Israël a reçu des USA avant de lancer son offensive sur la bande de Gaza de 2007-2008, Chomsky a indiqué que l'échange d’armes entre les deux partis n'était pas étonnant.  
 
 « [Israël] reçoit constamment des armes. En fait, des armes ont été envoyées pendant l'invasion de Gaza. Ils ont essayé de les envoyer, Ils étaient censées les envoyer à partir de la Grèce, et la Grèce a refusé de les acheminer, » a-t-il dit.  
 
 « Quand le Pentagone a été questionné à ce sujet, ils ont répondu (je pense correctement) que les armes n'étaient pas envoyées pour l'invasion de Gaza qui était en cours, avec les armes des USA naturellement ; en revanche, les USA plaçaient des armes en Israël, » a-t-il ajouté.  
 
 Le professeur, qui participait à une interview avec Press TV après avoir donné un discours à la Boston University, a dit que bien qu'Israël ait une influence concernant la politique étrangère des USA, elle doit encore agir dans les limites de ce que Washington admet.  
 
 « Prenez par exemple les menaces israéliennes contre l'Iran ou les menaces des USA à ce sujet, qui si on regarde bien représentent une violation de la charte de l'ONU, » a indiqué Chomsky.  
 
 « L'été dernier en 2008, juste en plein milieu des élections présidentielles… Les lobbyistes Israéliens ont essayé de pousser très fort par une résolution au Congrès, à appeler à un blocus contre l'Iran, ce qui aurait été essentiellement un acte de guerre.  
 
 « Ils ont infléchi un grand nombre de Sénateurs… et tout d’un coup plus rien, vraisemblablement ce qui s'est produit est que la Maison Blanche… a voulu s’entretenir avec eux (les lobbyistes Israéliens), du coup ils ont fait marche arrière, ce qui s’est produit à plusieurs reprises, Israël ne peut pas aller au delà de ce que les USA autorisent, » a-t-il ajouté.  
 
 Pendant son discours à la Boston University, le renommé professeur a également averti de la menace que les USA et Israël pose pour le monde et a dit que les gens peuvent avoir plus à craindre de ces deux là que de ceux que Washington essaye d'associer au terrorisme.  
 
 « [Les USA et Israël] uniformément et régulièrement… recourt à l’usage de la force et à la menace par la force… effectuent des agressions régulièrement et de façon répétée… envahissent d'autres pays, occupent d'autres pays, [et] invoquent la terreur et violence, » a-t-il dit.  
 
 Chomsky a également précisé que le gouvernement des USA et ses médias avaient diffusé des informations exagérées au sujet du programme nucléaire de l'Iran.  
 
 « Sur les 3 dernières années, il y a une campagne de propagande massive pour diaboliser l'Iran, qui le dépeint comme une menace majeure pour la paix dans le monde,» a-t-il dit.
 
 
 http://www.presstv.ir/detail.aspx?id=113360&sectionid=3510203


Chomsky: Israël est 'une base militaire US'
Le renommé analyste e
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 21:39

 

L’opinion israélienne et le complexe de Massada
L’opinion israélienne et le complexe de Massada

lundi 23 novembre 2009, par Pierre Stambul

« Dans cette guerre, le problème c’est le sionisme. Les Israéliens ont peur un jour de ne plus avoir peur ». Ces propos sont ceux d’un universitaire palestinien de Jérusalem qui a participé à plusieurs séances de négociations avec les Israéliens. Ils font écho à un film du cinéaste israélien Avi Mograbi (Pour un seul de mes deux yeux) où un enfant est incité à crier depuis la citadelle de Massada qui domine la Mer Morte : « Romain, tu ne m’auras pas, je préfère la mort à la reddition ».

Une présentation de l’histoire où le Palestinien n’existe pas.L’Etat d’Israël s’est construit sur un récit, sur la fabrication d’une nouvelle identité. Le peuple juif aurait été en exil pendant 2000 ans et, grâce au sionisme, il aurait fait son retour sur la terre de ses ancêtres. Être sioniste, c’est en quelque sorte trouver totalement légitime l’appropriation de la Palestine en 1948, la création d’Israël et l’expulsion des Palestiniens. Cette théorie de l’exil et du retour est aujourd’hui remise en question, notamment par le livre de l’historien Shlomo Sand (Comment le peuple juif fut inventé).

Dans l’éducation en Israël, l’histoire des Juifs est une longue suite de persécutions dont Auschwitz est l’aboutissement. Et la création d’Israël est présentée comme une forme de rédemption. L’opinion israélienne a une sensibilité très grande vis-à-vis de toute forme d’antisémitisme ou de négationnisme du génocide nazi.
Du coup, l’existence du peuple palestinien est un véritable problème pour l’historiographie israélienne. Depuis des décennies, il y a une tentative continue de minimiser, de travestir ou carrément de nier cette existence et d’essayer de confirmer ainsi que la Palestine était « une terre sans peuple pour un peuple sans terre ».

Ancienne ministre de l’Education dans le gouvernement d’Ariel Sharon, Limor Livnat a perpétué cette conception idéologique de l’histoire. Selon elle, les Juifs auraient vécu sans interruption depuis des milliers d’années en Palestine et seraient majoritaires à Jérusalem depuis 1840. Les Palestiniens ne seraient pas vraiment un peuple mais un mélange de populations diverses amenées là par les Ottomans et peu importants numériquement. Dans l’éducation donnée en Israël, la légitimité est totalement du côté des Israéliens, les intrus étant « les Arabes ». En 1918, Ben Gourion écrivait (à juste titre) que les fellahs qui vivaient en Palestine étaient probablement les descendants des Hébreux. Il en concluait qu’on pourrait les intégrer au projet sioniste. Quelques années plus tard, c’est la première grande révolte palestinienne à Hébron, que les Israéliens qualifient de « pogrom » et Ben Gourion se rallie à l’idée de créer par la force l’Etat Juif.

La plupart des colonialismes ont vu le peuple autochtone avec un incroyable complexe de supériorité et une ignorance délibérée. Les sionistes n’ont pas fait exception. Pourtant l’histoire palestinienne existe. Les minorités chrétienne ou juive y vivaient plutôt en bonne intelligence avec la majorité musulmane. Les Juifs formaient en Palestine avant l’arrivée des sionistes une minorité comparable en importance à ce qu’ils représentaient dans d’autres pays de la région (Egypte, Irak …). D’ailleurs le premier assassinat politique commis par les sionistes, c’est en 1924 contre un Juif palestinien, Jacob De Haan, qui partait à Londres pour demander aux Anglais d’abroger la déclaration Balfour.

C’est Jabotinsky, le fondateur et l’idéologue du courant « révisionniste » du sionisme, celui qui inspire tous les dirigeants actuels israéliens qui définira la politique à mener contre les Palestiniens. Il constate que la société palestinienne est développée, structurée et décidée à résister. Les révoltes palestiniennes, l’existence d’une élite intellectuelle, d’un parti communiste fondé en 1919 ou de syndicats capables de mener de très longues grèves comme en 1936, le poussent à avancer l’idée du « transfert » des Palestiniens, c’est-à-dire leur expulsion au-delà du Jourdain.

Dans l’histoire officielle d’Israël, le caractère délibéré de l’expulsion de la grande majorité des Palestiniens en 1948 est nié. Les « Arabes » seraient partis d’eux-mêmes. L’idée communément admise, c’est que 1948 a finalement été un échange de population et que le monde arabe doit absorber et intégrer ceux qui sont partis et leurs descendants. Le mot « palestinien » est absent du vocabulaire. L’espoir est que, à l’image des Indiens d’Amérique du Nord ou des Aborigènes d’Australie, les Palestiniens acceptent le fait accompli et disparaissent en tant que peuple capable de réclamer ses droits.
De Golda Meïr à Menachem Begin, tous les dirigeants israéliens chercheront des rapports privilégiés avec des dirigeants arabes (le roi Husseïn, le président Sadate) pour ne jamais s’adresser aux Palestiniens
.

L’échec d’Oslo et ses conséquences

En 1988, l’OLP reconnaît, à Alger, Israël dans ses frontières de 1949 et accepte de limiter le futur Etat Palestinien à 22% de la Palestine historique. À la même époque, un puissant mouvement pacifiste existe en Israël et il a été capable de faire descendre dans la rue quelques années auparavant des centaines de milliers de manifestants contre l’invasion du Liban et les massacres de Sabra et Chatila.
Ce virage de la direction palestinienne aboutit 5 ans plus tard à la signature des accords d’Oslo. Ce qui est vraiment neuf chez les dirigeants israéliens, c’est que, pour la première fois, ils signent un texte où figure le mot « palestinien » (qui remplace l’ancien terme « arabe ») et qu’ils reconnaissent l’OLP comme représentante des Palestiniens.
Mais à aucun moment, ils ne reconnaissent ce que les négociateurs palestiniens considéraient comme l’issue logique du processus : un Etat Palestinien sur l’ensemble des territoires occupés depuis 1967. Aucune des questions fondamentales (la colonisation, les frontières, la souveraineté …) n’est conclue à Oslo. Entre cette signature et l’assassinat de Rabin un an et demi plus tard, 60000 nouveaux colons sont installés.

La magnifique occasion pour Israël d’accepter un compromis qui légitimerait son existence au Proche-Orient a été dédaigneusement refusée par les dirigeants et l’opinion publique israéliens. L’idée d’une dilution des Palestiniens dans le monde arabe et donc d’une reconnaissance des faits accomplis de 1948 et 1967 est restée hégémonique.
Le consensus dans la société israélienne est là. Personne, sauf la petite minorité qui combat le colonialisme et le sionisme, n’imagine une paix fondée sur l’égalité des droits et l’égale dignité des deux peuples. Pour les sionistes « de gauche », ceux qui sont à l’origine des accords d’Oslo, la légitimité d’Israël et la défense de l’Etat Juif sont non négociables, mais il s’agit d’examiner ce qu’on peut concéder dans ce cadre aux Palestiniens. D’où le fait que le premier point discuté à Oslo a été la sécurité de l’occupant. La différence avec la « droite » sioniste dont le programme est simple (« achever la guerre de 1948 », c’est-à-dire réaliser le « transfert »), est faible. Le sionisme a gommé les différences idéologiques. Il a aussi produit une insensibilité totale aux humiliations et à la souffrance de l’autre. Pour les Israéliens, les victimes ont été, sont et seront toujours les Juifs.

Pendant longtemps la majorité de l’opinion israélienne est restée hostile aux colons, les considérant comme des fanatiques religieux. Mais quand on examine en détail les sondages, on constate qu’une nette majorité veut garder pour Israël le « grand Jérusalem », un territoire décuplé depuis l’annexion de 1967 qui couvre 4% du territoire de la Cisjordanie de Ramallah à Bethléem et qui, en coupant en deux la Cisjordanie, rend non-viable tout Etat Palestinien. Par la même occasion, une bonne partie de l’opinion veut garder Ariel, Maale Adoumim, les blocs de colonies et la vallée du Jourdain.
L’opinion israélienne veut la paix, mais cela a souvent pour sens « laissez-nous en paix ».
L’idée que cette paix passe par l’égalité des droits reste très minoritaire parce que les Israéliens ont été éduqués dans l’idée que leur légitimité est indiscutable et que les Palestiniens sont, au mieux des intrus, et plus souvent ceux qui poursuivent l’œuvre des Nazis.

« Nous n’avons pas de partenaires pour la paix ».

Pourquoi ces propos d’Ehud Barak sont-ils devenus la certitude de la plupart des Israéliens, même dans la partie de l’opinion qui n’est pas raciste ? C’est le complexe de Massada. C’est ce qu’on apprend à l’école. « Les Palestiniens veulent jeter les Juifs à la mer ». « Arafat est un nouvel Hitler ». « Tout le monde nous hait, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes ». Pour l’opinion israélienne, toute paix repose sur un déséquilibre total des forces, sur une domination politique, économique et militaire d’Israël. Chaque fois que les Israéliens ont eu en face d’eux des négociateurs palestiniens laïques, parlant hébreu et comprenant parfaitement l’importance pour les Israéliens de la mémoire du génocide nazi, ils n’ont fait aucune concession. Il y a un consensus en Israël sur le fait qu’une partie importante des ministres, des députés et des maires palestiniens soient en prison, toutes tendances confondues. Si l’opinion israélienne avait voulu une paix avec le Fatah, réputé plus conciliant que le Hamas, pour aboutir à la création d’un Etat Palestinien, il aurait suffi par exemple de libérer Marwan Barghouti. Il faut donc admettre que l’opinion israélienne ne veut, ni d’une Palestine unie, ni d’un partenaire pour la paix. Et aujourd’hui cette opinion utilise le Hamas et le Hezbollah comme des épouvantails justifiant le fait qu’on ne peut pas négocier et donc qu’il faut amplifier la colonisation et continuer la politique du fait accompli et des annexions successives.

Les seules divergences entre les dirigeants politiques israéliens qui sont tous plus ou moins des descendants idéologiques de Jabotinsky portent sur des nuances. Avigdor Lieberman s’appuie sur la fraction la plus raciste de l’opinion et met en question la présence des Palestiniens d’Israël. Benyamin Nétanyahou s’oppose à tout Etat palestinien et veut amplifier la colonisation. Tzipi Livni accepte un Etat palestinien réduit à quelques cantons. Et Ehud Barak est prêt à s’allier à tous les partis qui lui permettront de rester au pouvoir.
La fraction de l’opinion considérée comme pacifiste, représentée par le courant « La Paix Maintenant » et par plusieurs grands écrivains israéliens (Amos Oz, Avraham Yehoshua, David Grossman) a intériorisé l’idée qu’il n’y a pas de partenaire et elle a approuvé la guerre du Liban (2006) et l’invasion de Gaza (décembre 2008).

Reste la petite minorité d’Israéliens, principalement intellectuels, qui ont choisi de se battre contre l’occupation aux côtés des Palestiniens. Ils sont peu nombreux et très divers. Ce sont des noms célèbres, Michel Warschawski, Amira Hass, Gidéon Lévy, Nurit Peled, Ilan Pappé, Uri Avnéry… Ce sont des petits groupes : femmes en noir, refuzniks, anarchistes contre le mur… Ce sont aussi 3 partis représentés au Parlement (dont le parti communiste Hadash) qui ont eu la très grande majorité des suffrages des Palestiniens d’Israël. Cette force, non sioniste ou antisioniste, est bien sûr très minoritaire. Mais cela pourrait changer : quelques mois avant l’attaque contre Gaza, la liste conduite par un candidat communiste, antisioniste et refuznik (Dov Khenin) avait obtenu 35% des voix aux élections municipales à Tel-Aviv.

Pierre Stambul

http://mcpalestine.canalblog.com

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 14:11

Voici ce qui se passe sous Al Aqsa !!!


Al-Aqsa risque de s'effondrer à tout moment.
Des fouilles pseudos archéologiques prétextées par les messianiques illuminés cherchant à précipiter, à provoquer la venue de leur ''sauveur" hypothétique,même s'il faut pour y parvenir, mettre le feu à toute la région avant d'embraser toute la planète.
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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 13:33
Au cours de cette semaine, l'Etat sioniste criminel a joué aux pirates en pleine Méditerranée : il capture un cargo chargé de marchandises venant d'Iran et destinées à la Syrie. Il lance une opération médiatique de grande envergure pour dénoncer ce qu'il prétend être "le trafic d'armes entre l'Iran et le Hezbollah". Dès son acte de piratage, d'ailleurs non dénoncé par le conseil de sécurité ni par les puissances occidentales en général, le Hezbollah et le régime syrien démentent : le Hezbollah dément que les marchandises lui sont destinées et le régime syrien annonce qu'il n'y a point d'armes, mais uniquement de la marchandise.
Après son coup, Israël crie victoire: il vient de mettre la main sur des armes.... qu'il expose dans le port d'Ashdod. Mais surprise: les médias ne lui prêtent aucune attention ! Le coup est tellement gros que personne, même les amis de cet Etat illégal, ne suit l'affaire. En plein vote de l'ONU sur le rapport Goldstone, les médias internationaux l'ont bien compris: Israël voulait détourner l'attention de ce qui se passe à l'ONU pour se mettre en avant, se faire victime encore une fois.
Mais il y a pire : les enquêtes de l'armée libanaise (le cargo libéré sans sa marchandise, mais avec tout son équipage, se trouve actuellement à Beirut) et des journalistes d'al-Manar ont montré que :
- le cargo, même si à l'origine venait d'Iran, a fait un long parcours avant d'être attaqué par les pirates isaéliens: il s'était arrêté en Egypte, puis à Chypre, puis en Italie, avant de se diriger vers la Syrie. Est-il normal qu'il transporte des armes à destination de la résistance et passe par l'Egypte ou par un port européen ? Une fois encore, les services secrets israéliens, qui faisaient parler d'eux avec brio dans les années 60 et 70, ont montré leur échec.
 
Il y a un triple échec dans ce dernier acte de piratage israélien :
 le premier échec est celui des services de renseignements qui ont raté les informations importantes sur ce cargo.
Il y a l'échec de l'opération médiatique qui a suivi : les médias ont suivi la discussion sur le rapport Goldstone et ont délaissé l'affaire du cargo. Même les journaux américains, quand ils en ont parlé, ont à peine rapporté la nouvelle, sans la confirmer.
Il y a l'échec politique : depuis plusieurs mois, Israël cherche à susciter la question des armes de la résistance, au Liban, pour empêcher la formation du gouvernement d'unité nationale. Que ce soit par le biais de l'ambassadrice américaine ou par celui de Ban Ki Mon, secrétaire général de l'ONU, L'Etat sioniste suscite affaire après affaire pour déstabiliser la situation libanaise. Mais lui et ses complices ont encore échoué, puisque le gouvernement libanais dirigé par Hariri sera bientôt annoncé, d'après les dernières nouvelles, avec deux ministres pour le Hezbollah et un communiqué ministériel qui ne remet pas en cause les armes de la résistance, au contraire.
Le plus intéressant dans l'affaire, c'est la réponse de Michel Aoun, l'allié du Hezbollah à cette tentative de déstabiliser la situation interne : "Des armes pour le Hezbollah ? Et alors ? Il faut bien se défendre ! Est-ce que Israël a occupé la Palestine avec des bonbons ?"
 
Sommes-nous en train d'assister, finalement, à la lente mais sûre chute de cette colonie de peuplement ? Pour la troisième fois, Israël reconnaît son échec médiatique: lors de la guerre meurtrière contre le Liban en 2006, lors de la guerre génocidaire contre Gaza début 2009 et dans cette affaire... Malgré toutes les photos montrées sur le port d'Ashdod, photos d'armes désuètes pour la plupart (la résistance a heureusement des armes beaucoup plus modernes), seuls les médias israéliens ont été trompés, si l'on veut exclure leur collaboration à cette mise en scène.
Sans crier victoire trop tôt, il est incontestable que l'Etat sioniste est en train de s'enliser dans sa propre boue.
alterinfo
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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 17:18
«D’habitude on parle de tuer le messager qui porte la mauvaise nouvelle. Ici, il s’agissait de tuer dans l’oeuf le message avant même qu’il ne soit entendu.»

Le juge Goldstone auteur du rapport accusant Israël
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Fin septembre 2009, un coup de tonnerre aux Nations unies est venu rompre la monotonie de ce «grand machin» pour reprendre l’expression du général de Gaulle. Est-ce l’annonce qu’Obama allait assister à une session du Conseil de sécurité ou encore les gesticulations pathétiques du leader libyen avec sa «tente à roulettes» ou avec son voeu pieux de déplacer le siège de l’ONU?
Non ! C’est beaucoup plus, en l’occurrence, le Rapport Goldstone, sur ce qui s’et passé à Ghaza. Ce brûlot est un réquisitoire unique, pour la première fois dans l’histoire de la création par les Occidentaux de l’Etat d’Israël, comme solde de tout compte de Juifs massacrés en Europe. La mission d’enquête n’eut pas la tâche facile, Israël ayant refusé de coopérer.
 
 «Anticipant une campagne de dénigrement, écrit Robert James Parson, la Mission d’enquête du juge Goldstone a livré ses accusations de «crimes de guerre» à la presse bien avant le débat au Conseil des droits de l’homme.
Son caractère explosif et dévastateur pour Israël n’en a été que plus affirmé. Le ton de cette attaque en règle avait été donné la semaine dernière à New York par l’ONG «Eye on the UN», qui avait qualifié par avance toute critique contre Israël de «calomnie onusienne sanguinaire contre l’Etat juif. Le catalogue de crimes attribués à Israël - de guerres et éventuellement contre l’humanité -, ainsi que de violations du droit international, est long et détaillé. Le rapport constate que «les forces armées israéliennes ont une capacité significative à effectuer des frappes de précision (...) Compte tenu de la capacité de planifier, des moyens d’exécution des plans en utilisant la technologie la plus poussée qui soit, et des communiqués des militaires israéliens affirmant qu’il n’y eut presque aucune erreur, la mission conclut que les incidents et la configuration des événements examinés dans le rapport sont le résultat d’une planification et de décisions politiques délibérées». M.Goldstone a également déploré le refus de coopération des autorités israéliennes, qui a obligé la mission à tenir des auditions de Palestiniens et d’ONG israéliennes à Genève.» (1)
 
 Les euphémismes du juge «Le problème, pour Israël, est simplement la béante disparité entre les dégâts causés par ces missiles artisanaux et la destruction colossale des infrastructures civiles. Le rapport mentionne entre autres que 14 466 maisons ont été endommagées - dont 3 354 détruites - par les forces israéliennes. Pis, selon l’enquête, les autorités auraient appelé à la destruction de cent maisons pour chaque missile déjà tiré. Les chiffres des victimes font écho à cette disparité. Du côté palestinien, le rapport estime les décès entre 1387 et 1417 morts (1444 selon l’Autorité palestinienne ; 1166 selon Israël). En face, l’Etat hébreu parle de quatre morts causées par des tirs de missiles dans le sud du pays. A Ghaza, neuf militaires auraient péri, dont quatre victimes de tirs «amis». De surcroît, Israël doit trouver fort inquiétant le cadre temporel du rapport, qui commence le 19 juin 2008, moment où le gouvernement d’Ehud Olmert et le Hamas concluent un cessez-le-feu. Le récit du conflit intègre donc le blocus et relève qu’il constitue une violation grave des Conventions de Genève.(1)
 
 Tapis au fond des presque six-cents pages du Rapport Goldstone, quatre paragraphes traitent des armes utilisées par Israël contre les Ghazaouis. Ils parlent du phosphore blanc, «qui doit être interdit». «La mission a également reçu une information qui prétendait que l’analyse d’un filtre à air d’une ambulance qui roulait dans la région de Beit Lahia pendant les opérations militaires montrait des niveaux inhabituellement élevés d’uranium non appauvri et de niobium dans l’air. Le Rapport Goldstone fait remarquer : «Les tactiques utilisées par les forces armées israéliennes à Ghaza sont conformes aux pratiques précédentes, plus récemment pendant la guerre au Liban en 2006. A l’époque, un concept connu comme la «doctrine Dahiya» en a émergé, qui implique l’application d’une force disproportionnée et la provocation de gros dégâts et destruction à la propriété et à l’infrastructure civiles ainsi qu’une grande souffrance aux populations civiles.» (1)
 
 Les termes de ce rapport auraient, semble-t-il, été adoucis. En effet, Nicole la fille du juge Goldstone juif de confession, dit que son père a beaucoup réfléchi pour ne pas trop accabler Israël. Et pourtant, il est qualifié de juif «obséquieux» dans les journaux israéliens. Ecoutons-la :
«La participation de mon père a adouci (Softened) le rapport sur Ghaza. Si Richard Goldstone n’avait pas pris la tête de l’enquête de l’ONU sur la guerre de Ghaza, les accusations contre Israël auraient été bien plus dures», a affirmé Nicole, la fille de Goldstone qui est une inconditionnelle d’Israël à tel point qu’elle envisage d’y venir habiter. Dans une interview menée le 23/09 en hébreu sur la Radio de l’Armée israélienne, elle déclare : «Mon père s’est attelé à ce job parce qu’il pensait faire de son mieux pour la paix, pour tout le monde mais aussi pour Israël.»
(2) La singularité d’Israël est que c’est le seul pays du Moyen-Orient où la démocratie, la liberté de la presse est une réalité quand il s’agit d’affaire touchant les Israéliens. Ainsi Ehud Olmert va comparaître en justice, un président est condamné par la justice. Quand il s’agit de ses relations avec les Arabes, Israël pratique un racisme et un déni d’existence pour le peuple palestinien. Olivier Bonnet raconte comment des journalistes israéliens courageux défient le pouvoir en prenant position pour la justice notamment dans ce Rapport.
 
 Ecoutons- le : «Gideon Levy, éditorialiste et membre de la direction du quotidien Haaretz, que Le Monde a surnommé «une épine dans le flanc d’Israël», est l’honneur du journalisme israélien. Il a signé dans l’édition électronique d’Haaretz du 17 septembre dernier un texte poignant, traduit en français par Info-Palestine sous le titre d’Eviter la honte à La Haye. Nous le publions à notre tour, en le dédiant à ceux des nombreux juifs de notre pays si aveugles dans leur défense inconditionnelle de l’Etat hébreu. Aux dirigeants du Crif, aux Bernard-Henri Lévy, Alexandre Adler ou autre André Glucksmann, ainsi qu’à nos gouvernants complices, nous proposons de méditer la proposition suivante : les Justes d’aujourd’hui sont aux côtés du peuple palestinien opprimé. «Il y a un nom sur chaque balle, et un responsable pour chaque crime. (..) Il est maintenant superflu de demander si des crimes de guerre ont été commis à Ghaza, car la réponse nette et qui fait autorité a déjà été donnée. Aussi, la question qui doit être posée maintenant est : qui est responsable? Des crimes de guerre ont été commis à Ghaza, il s’ensuit qu’il y a des criminels de guerre en liberté parmi nous. Ils doivent en être tenus responsables et punis. Telle est la conclusion rigoureuse qu’il faut tirer du rapport concis des Nations unies.» (3)
 
 «Depuis presque un an, Israël essaie de soutenir que le sang versé à Ghaza n’était que de l’eau. Un rapport suit un autre rapport, avec les mêmes résultats effroyables : un siège, du phosphore blanc, le mal fait à des civils innocents, une infrastructure anéantie ; des crimes de guerre, dans tous les rapports sans exception. (...) Cette agression aurait dû soulever un tollé immédiat en Israël. Elle fut un Sabra et Chatila, perpétré cette fois par nous-mêmes. Mais s’il y eut une tempête de protestations dans le pays après Sabra et Chatila, après «Plomb durci», on a décerné des citations. (...) Il aurait dû suffire de regarder la disparité effroyable dans les victimes - 100 Palestiniens tués pour chaque Israélien - pour secouer la société israélienne tout entière. Sous couvert de médias engagés, d’analystes et spécialistes criminellement partiaux - qui, tous ont empêché les informations de paraître - avec un lavage de cerveau d’une opinion publique sans vigilance, Israël s’est comporté comme si rien n’était arrivé.» (3)
 
 Pourquoi Israël nargue la communauté internationale?
 
 «Les frontières d’Israël sont celles d’Auschwitz» disait Aba Eban ancien ministre des Affaires étrangères d’Israël. La culpabilisation ad nauseam de l’Occident pour ses massacres de Juifs, lui assure un statut d’intouchable constamment conforté par ses lobbys aux Etats-Unis et en Europe. Il faut savoir que malgré la pression internationale, Israël qui a bafoué une centaine de résolutions dont les fameuses 242 et 198 exigeant la restitution de toutes les terres prises lors de la guerre de 1967, s’apprête, allègrement, à ignorer superbement le Rapport Goldstone. Mieux, Benyamin Netanyahu persiste et signe en déclarant poursuivre les implantations malgré les supplications de «tout le monde» Etats-Unis compris qui ont perdu la face.
Mieux : Alain Gresh rapporte que selon Héléne Cooper et Mark Landler du New York Times (23 septembre), «In Mideast Peace Bid, Obama Pivots in His Demands», le président Obama aurait prévenu ses interlocuteurs palestiniens «qu’il ne pourrait pas obtenir un gel de la colonisation, mais qu’il pousserait Israël à s’engager rapidement dans des négociations sur le statut final». En d’autres termes, il demande aux Palestiniens d’accepter la reprise des négociations alors que la colonisation continue, même à un rythme ralenti.(4)
 
 Au contraire, Netanyahou du haut de la tribune désigne « l’ennemi de l’humanité » en la personne d’Ahmadinejad de l’Iran et faisant injonction aux Occidentaux (Etats-Unis, Grande-Bretagne et France) de mettre la pression sur Téhéran. Résultat des courses : Téhéran semble mettre un genou à terre en acceptant que l’enrichissement de l’uranium puisse se faire à l’étranger, s’interdisant du même coup d’être une nation capable de produire de l’uranium enrichi mais s’arrêtant à ce stade, comme l’est le Japon. Israël restera alors le seul détenteur du feu nucléaire au Moyen-Orient. Les potentats arabes ont beau faire voter par «accident» une résolution demandant la dénucléarisation du Moyen-Orient et l’appel à Israël pour coopérer, lui qui n’a pas voulu signer le TNP.
 
 René Naba s’interroge, à juste titre, si Obama n’est pas otage du lobby juif. (...) Mais la récente promotion d’un inconditionnel d’Israël, Dennis Ross, l’un des dirigeants du Washington Institute for Near East Policy (Winep), un think tank satellite de l’Aipac. Dennis Ross est tout à la fois l’auteur du discours de M. Obama devant l’Aipac au lendemain de sa confirmation comme candidat démocrate à la compétition présidentielle et l‘un des co-auteurs d’un rapport prônant la manière forte à l’égard de l’Iran. Sa désignation pourrait être interprétée comme la marque de la gratitude présidentielle à l’égard d’un collaborateur efficace dans la collecte de voix juives durant la campagne électorale.(5)
 
 L’Aipac a bien placé ses relais. Il faut savoir que le secrétaire général de la Maison- Banche est un ancien réserviste de l’armée de l’air israélienne De plus, l’Administration Obama avait choisi, début mars, le diplomate Charles W.Freeman pour occuper le poste de président du «National Intelligence Council». Il vient de renoncer à ce poste en accusant les lobbys pro-israéliens d’avoir mené une violente campagne contre lui. Il n’y a que la Suède à avoir tenu tête à Israël malgré les pressions intolérables pour censurer le journal suédois confirmant le commerce d’organes pratiqué contre des martyrs palestiniens. En France, le Crif actuel, depuis Roger Cuckermann, est un inconditionnel d’Israël.
Représente-t-il tous les Juifs ou les a-t-il pris en otage? Dans le journal Marianne, Jean Daniel s’en prend au Crif et à sa soi-disant «représentativité». «Cela fait désormais trop longtemps que le CRIF s’autoproclame une représentation, qui est infondée et souvent nocive.
Quelle que soit la qualité de certains qui en font partie et qui se déclarent à regret minoritaires, il faut bien constater que les dérapages communautaristes du Crif deviennent de plus en plus nombreux et alimentent un antisémitisme à la fois insidieux et secret.» (6)
 
 Une autre analyse va plus loin, elle parle d’une colonisation de la France par le Crif : «Il est manifeste que les groupes d’influence qui défendent les intérêts de la Communauté juive en France, sont plus actifs qu’ailleurs. De nombreux Juifs, néanmoins, contestent sa représentativité, allant jusqu’à remettre en cause sa légitimité. D’un mot, Abraham Burg résume : «Israël vit par l’épée». Violence d’Etat intolérable ! Et les Palestiniens continuent de payer, injustement, pour ce que les Juifs ont subi...Comment le Crif pourrait-il être crédible, alors qu’il soutient un gouvernement criminel, violant constamment le Droit, les résolutions internationales. (...) C’est ce pays qui a eu des dirigeants comme M. Begin, prix Nobel 1978, déclarant sans ambages : «Notre race est la race des maîtres. Nous sommes des dieux divins sur cette planète. Les autres races sont comme l’excrément humain. Notre destin doit être de régner sur ces races inférieures.»
 
 La politique intérieure de la France porte également la marque du Crif.
(...) Aujourd’hui, nous vivons dans un pays où règne la peur, l’intimidation, l’insinuation, la délation, la flagornerie, le chantage...
Voilà la France d’aujourd’hui, méconnaissable, hideuse, repoussante... Le Crif et ses amis ont colonisé l’esprit des Français ! Israël a une spécialité, celle de se débarrasser sans scrupules de ceux qui le gênent. Je prétends qu’à défaut, Israël tenta de tuer politiquement le Général.
Comment? En imaginant une situation pouvant le déstabiliser. Et en envoyant un homme, un Allemand, un drôle de rouquin, Cohn-Bendit, fomenter en France une révolution. Celle de Mai 68 ! Le même rouquin fut à nouveau envoyé en 2009 pour abattre le soldat Bayrou, dangereux rival potentiel de Sarkozy.(...). Qui rendra à la France sa liberté, sa dignité, son honneur? Des Juifs clairvoyants, comme Théo Klein ou Sophie Ernst? Un autre général de Gaulle, un Chevènement? Ou nous-mêmes, dans un sursaut salvateur?»(7)  
 
 Pendant ce temps, les gouvernants arabes s’en remettent au sort et laissent les Palestiniens inexorablement disparaître à moins que le Rapport Goldstone s’il n’est pas "torpillé par les lobbys" ou renvoyé aux calendes grecques, ne constitue un coup d’arrêt à l’impunité d’Israël au nom de tous les droits de l’Homme, de tous les Hommes.
 
 1.Robert James Parson : Le Courrier http://www.lecourrier.ch/index.php?...
 
 2.http//.fonzibrain.worldpress.com/ 2009/09/18/ www.haretz.com/Hasen/spages/5017/html
 
 3.Olivier Bonnet : Agression de Gaza : «un nom sur chaque balle» Agoravox 24
09 2009
 
 4. Alain Gresh : Israël-Palestine, que peut Obama Le Monde Diplomatique. 23
09 2009
 
 5.René Naba : Barack Obama, otage du lobby juif? 18 Septembre 2009
 
 6.Jean Daniel : La «nocivité» du Crif. Journal Marianne.19 août 2009
 
 7.J’accuse le Crif d’avoir colonisé la France http://r-sistons.over-blog.com 18 09 2009
 
 Pr Chems Eddine CHITOUR
 
 Ecole Polytechnique enp-edu.dz


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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 15:37
Anti Sionisme

Comment Vendre Israël A L'Etranger : Les Mots Et Stratégies Pour Un Lifting De Son Image De Marque Et Assurer La Survie Du Régime Sioniste

Un rapport publié en avril 2009, de 117 pages de Franz Lunzt, écrit à la demande d'un groupe basé à Washington, The Israel Project (TIP) intitulé " The Israel Project's 2009 Global Language Dictionary" vise à faire la promotion de la version israélienne des évènements grâce à des expressions "prêtes à l'emploi". Le Must en matière de propagande, rendue inefficace par trois mots ( ci dessous) VRAIS


Comment Vendre Israël A L'Etranger : Les Mots Et Stratégies Pour Un Lifting De Son Image De Marque Et Assurer La Survie Du Régime Sioniste

"L'image de marque" d'Israël sur la scène internationale n'a cessé de se dégrader. Tout récemment, l'assaut barbare de l'armée israélienne contre la population palestinienne de Gaza vivant sous blocus total depuis plus de deux ans, et les révélations faites ces derniers jours par des soldats israéliens ayant participé à ces massacres planifiés intentionnellement au plus haut niveau, des crimes de guerre et crimes contre l'humanité, n'ont fait qu'amplifier ce phénomène y compris aux US où la population était jusqu'à récemment largement favorable à Israël.

Contre cette dégradation inexorable qui sape la légitimité même du régime sioniste, ce rapport (en pièce jointe copie d'un exemplaire publié sur Newsweek) préconise d'utiliser les grands moyens et toutes les ficelles d'une communication efficace. Il est rempli d'exemples d'expressions toutes faites rassemblées notamment dans des boîtes à outils intitulés " les mots qui fonctionnent" et les "mots qui ne fonctionnent pas", de conseils pour savoir manipuler la rhétorique comme " ne parlez pas de religion" et " quoiqu'on vous demande revenez toujours à un message positif d'Israël".

Ce document écrit à la demande de TIP est la résultante de sondages et travaux effectués au sein de groupes se focalisant sur des thèmatiques précises, comme les colonies qui constituent un point actuel de friction entre le gouvernement Netanyahou et l'Administration Obama. Selon Jennifer Laszlo Mizrahi, qui a crée TIP l'une de ces multiples agences de propagande sioniste qui elle a pour objectif de définir une stratégie de communication pour aider Israël. L'auteur du document, Franz Luntz, dans son message personnel d'introduction, précise que celui-ci est à la fois nouveau mais aussi une actualisation de recherches menées en 2008 et 2009. Il ajoute que le langage utilisé paraîtra familier comme par exemple les mots se trouvant dans la boîte à outils " Mots qui fonctionnent" qui ont été fournis par des représentants et porte parole israéliens, mais que les sondages, les recommandations stratégiques et conseils sont tous basés sur la situation actuelle.

Il conclut en rappelant que" ce n'est pas ce que vous dites qui compte. C'est ce que les gens entendent"

Ainsi, parmi les arguments avancés par les responsables israéliens pour justifier le colonialisme sioniste, le rapport en cite 3 particulièrement inefficaces :

"1. L'argument religieux : " utiliser des citations de la Bible pour défendre les colonies actuelles n'a absolument aucun impact positif. Même votre public juif reculera horrifié face à toute tentative d'utiliser des passages bibliques pour justifier les colonies".

"2. L'argument de propriété : " certains qui lisent ce document rejetteront ce conseil idéologiquement mais affirmer qu'Israël " est propriétaire" de la terre sur laquelle sont construites les colonies provoquera un rejet chez les auditeurs des propos suivants. La sémantique est importante, car si nous corrigeons les Palestiniens en utilisant les mots " territoire disputé" alors qu'ils disent "territoire occupé", nous devons accepter que les colonies soient également territoire disputé".

"3. L'argument du bouc émissaire : " affirmer que les Palestiniens et d'autres groupes d'Arabes utilisent le problème des colonies pour obtenir des avantages politiques est peut être correct mais cela ne légitimise en rien la politique d'Israël."


Selon Frantz, le meilleur argument en soutient aux colonies c'est de dire que l'idée que là où il y a des Palestiniens il ne peut pas y avoir de Juifs est raciste et l'exprime en ces termes : " nous ne disons pas qu'on doit nettoyer ethniquement Israël de ses Arabes. Ils sont citoyens d'Israël. Ils bénéficent de l'égalité en matière de droits. Nous ne voyons pas pourquoi la paix nécessite que toute zone palestinienne soit nettoyée ethniquement de tous les Juifs. Nous n'acceptons pas cela. Le nettoyage ethnique d'un côté ou de l'autre est inacceptable".

Tout au long de ce document on peut facilement constater avec quelle dextérité rhétorique, et diabolique sémantique, ce "magicien" des mots sioniste balaie sous le tapis le problème politique de la colonisation et son illégalité en terme de droit international, et comment il se garde bien de parler tout au long de son rapport de la solution la moins coûteuse en terme de vies humaines à savoir celle d'un état binational où effectivement il n'y aurait nul besoin de "nettoyage ethnique" des colons Juifs, ni des Palestiniens.

Ce rapport compte 18 chapitres, tous plus révélateurs les uns que les autres sur les techniques de propagande hautement sophistiquées utilisées par le régime sioniste, portant non seulement sur le vocabulaire à employer, mais également sur les posters à distribuer, les slogans porteurs en terme d'image positive pour Israël etc....

Ci dessous quelques "morceaux choisis"

Dans le premier chapitre :

"Ier Chapitre : Les 25 règles d'une communication efficace

"Ce manuel vous fournira certains mots et certaines phrase pour vous aider à communiquer efficacement pour soutenir Israël. Mais l'image globale c'est quoi ? Quels sont les directives générales pouvant vous aider dans vos efforts futurs ? Voici 26 points les plus importants :

1. "Les personnes à persuader ne ne soucient pas de savoir ce que vous connaissez tant qu'ils ne savent pas à quel point vous prenez le problème à coeur. Montrez de l'empathie pour les DEUX côtés. Le but d'une communication pro Israël ce n'est pas simplement que les personnes qui aiment déjà Israël se sentent bien par cette décision. Le but c'est de conquérir de nouveaux coeurs et esprits pour Israël sans perdre le soutien dont Israël bénéficie déjà. Pour se faire, vous devez comprendre que l'angle sous lequel la plupart des Américains perçoivent Israël c'est celui d'"un cycle de violence qui dure depuis des milliers d'années". Donc vous devez leur enlever leurs soupçons avant même qu'ils ne soient en mesure d'apprendre de nouveaux faits concernant Israël.

"Le premier pas pour gagner la confiance et des amis pour Israël, c'est de montrer que vous vous souciez de la paix pour les DEUX, les Israéliens et les Palestiniens et, en particulier, un futur meilleur pour chaque enfant. Effectivement, l'ordre du contenu de la conversation est extrêmement important et vous devez commencer par l'empathie pour les DEUX côtés d'abord. Commencer votre conversation avec des messages prouvés efficaces tels que :

"Israël s'engage pour un meilleur futur pour tous - Israéliens comme Palestiniens. Israël veut voir la fin de la peine et de la souffrance, et s'engage à travailler avec les Palestiniens à une solution pacifique, diplomatique où les deux côtés peuvent avoir un futur meilleur. Faisons en sorte que ce soit un moment d'espoir et une chance pour les deux peuples Israéliens et Palestiniens".


"Utiliser l'Empathie : Même les questions les plus dures peuvent être contournées si vous êtres prêts à accepter la notion que l'autre côté a au moins une certaine crédibilité. Si vous commencez votre réponse avec " je comprend et je sympathise avec ceux qui..." vous construisez déjà la crédibilité dont vous aurez besoin pour que votre audience sympathise et soit d'accord avec vous.

"Effectivement, si au coeur de votre communication, le doigt pointe sur " Israël a raison, ils ont "tort" alors vous perdrez le soutien que vous voulez obtenir pou Israël". Certaines personnes qui soutiennent déjà Israël, peuvent opiner de la tête disant " c'est ainsi" mais les personnes qui ne soutiennent pas encore Israël seront rebutés....

6. "Faites attention à votre ton

"Un ton condescendant, paternaliste, fera fuir les Américains et Européens. Nous sommes à un moment de l'histoire où les Juifs en général ( et les Israéliens en particulier) ne sont plus perçus comme des personnes persécutées. En fait, parmi les audiences américaines et européennes - audiences non juives sophistiquées, éduquées, ayant leurs points de vue - les Israéliens sont souvent vus comme les occupants et les agresseurs. Avec ce type de baguage, c'est extrêmement important que les messages des porte parole pro Israël n'apparaissent pas condescendants ou dédaigneux....

"Rappelez aux gens - encore et encore - qu'Israël veut la paix

"1ere raison : si les Américains ne voient aucun espoir de paix - s'ils voient seulement un épisode continuel de 2000 ans de " querelle familiale" - les Américains ne voudront pas que leur gouvernement dépense les taxes en $ des contribuables ou que leur président se prenne une claque en aidant Israël.

"Deuxième raison : l'orateur qui est perçu comme étant celui qui veut le plus la paix gagnera. A chaque fois que quelqu'un s'engage pour la paix la réaction est positive. Si vous voulez récupérez l'avantage en matière de relation publique la paix doit être au centre de tout message que vous voulez faire passer.

"Pour que les Américains aient un espoir concernant le conflit au Moyen Orient, on doit leur rappeler que :

"Israël a un engagement à long terme pour la paix. Quand des dirigeants arabes courageux tels le président Sadat d'Egypte et le roi Hussein de Jordanie tendent leurs mains à Israël, la paix est faite"...


Parmi les mots phrases qui fonctionnent :

" Nous savons que les Palestiniens méritent des dirigeants qui s'occuperont du bien être de leur peuple, et qui ne prennent pas simplement des millions de dollars d'assistance de l'Amérique et de l'Europe, les placent dans des comptes en banque en Suisse et les utilisent pour soutenir le terrorisme au lieu de la paix. Les Palestiniens ont besoin de livres, pas de bombes. Ils veulent des routes pas des roquettes.

"Les obstacles sur le chemin d'un Moyen Orient prospère et pacifique sont nombreux. Israël reconnaît que la paix est faite avec ses propres adversaires non pas avec ses amis. Mais la paix ne peut être faite qu'avec des adversaires qui veulent faire la paix avec vous. Des organisations terroristes comme le Hezbollah, le Hamas, le Jihad Islamique soutenues par l'Iran, sont par définition opposées à la coexistence pacifique, et déterminées à empêcher la réconciliation. Je vous demande, comment négocie-t-on avec ceux qui vous veuelnt morts ?"....


Et parmi les mots :

"Surtout, surtout toujours garder à l'esprit que "le langage d'Israel est le langage de l'Amérique : "démocratie," "liberté" "sécurité" et "paix".

"Enfants", " cooperation" " collaboration "compromis", " diplomatie économique", "exemples d'efforts de paix" ( ceux d'Israël bien sûr ?!) "prospérité économique" (pour les Palestiniens) etc...


L'auteur de ce document préconise aussi d'aller où sont les gens c'est à dire devant leurs écrans TV comme le montre clairement l'un des sondages effectués pour ce "Israel Project".

"Comme le montre clairement les résultats d'un sondage d'Israël Project, les médias sont la source principale de l'information sur le Moyen Orient pour la grande majorité des Américains... Les dirigeants pro Israël doivent s'assurer que des histoires solides et "programmables à la TV" sont choisies et montrées dans les médias sur une base régulière. Si vous voulez persuader, il vous faut aller là où sont les gens - et c'est à la TV et dans d'autres médias. N'hésitez pas à contacter les journalistes locaux, et les relais des médias pour parler avec eux d'Israël."

Cet Abécédaire du parfait propagandiste sioniste pour justifier l'injustifiable : le colonialisme sioniste, doit être minutieusement étudié afin de pouvoir :

1. le détecter partout là ou il s'infiltre y compris parmi ceux qui "soutiennent" le peuple palestinien, et le démystifier

2. le dénoncer pour ce qu'il est : un tissu de mensonges, de manipulations sémantiques et psychologiques et de propagande cynique souvent abjecte.

Une condition essentielle de la lutte contre le Sionisme passe par la nécessité de l'englober dans la lutte contre le colonialisme sous toutes ses formes, celle-ci ayant pour but principal que le colonialisme, donc le Sionisme, soit, au même titre que l'a été l'esclavage, condamné comme crime contre l'humanité.

Tous les plans de propagande sioniste, aussi élaborés soient-ils, n'y résisteront pas.

Jeudi 16 Juillet 2009
Myriam Abraham

the_israel_project.pdf the israel project.pdf  (3.9 Mo)


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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 00:17
Anti -Sionisme

Torture En Israël : Exiger La Destitution Du Dc Israélien Yoram Blachar De La Présidence De L'Association Medicale Mondiale.



Dc Yoram Blachar
Dc Yoram Blachar

Plus de 700 médecins de 43 pays différents ont envoyé une lettre de protestation à l'association mondiale d'éthique médicale accusant le président récemment nommé à sa tête, un israélien, d'avoir fermé les yeux sur l'implication de personnel médical israélien dans la pratique de la torture en Israël et demandant qu'il soit démis de son poste.

Le Dc Yoram Blachar, qui a dirigé l'Association Medicale Israélienne depuis 1995, a été nommé à la présidence du WMA *(World Medical Association) en Novembre. Les signataires de la lettre, dont des médecins de haut rang et des professeurs de Grande Bretagne, d' Europe et des US, affirment qu'il n'a pas répondu aux accusations comme quoi certains médecins israéliens tolèrent ou collaborent avec le régime qui utilise la torture contre des prisonniers palestiniens.

Selon la lettre, on peut remonter jusqu'en 1996 et un rapport d'Amnesty International qui concluait que les médecins en Israël travaillant avec les services de sécurité " étaient partie prenante d'un système dans lequel les prisonniers étaient torturés, maltraités et humiliés de sorte que les pratiques médicales en prison entraient en conflit avec l'éthique médicale".

La lettre lancée par le pédiatre Alan Meyers, de la Boston University school of medecine, dit que la présidence de Blachar " bafoue les principes sur lesquels la WMA a été créee en 1947, en réponse aux flagrants abus commis par des médecins allemands et japonais" lors de la Seconde Guerre Mondiale.

Les médecins ont dit que l'inaction n'était pas une option. La Déclaration de Tokyo de 1975 de la WMA proclamait que " les médecins ne doivent pas accepter, tolérer, ou participer à la pratique de la torture ou d'autres formes de pratiques cruelles, inhumaines ou dégradantes, en toute circonstance, inclus les conflits armés et civils". Il y a deux ans, son assemblée générale annuelle a obligé explicitement les médecins à faire connaître les cas de torture dont ils avaient eu connaissance. " L'absence de collecte de preuve et de dénonciation de tels actes peut être considérés comme une forme de tolérance et de non assistance aux victimes" a décidé la WMA.

Dans un email au Guardian, promettant une réponse, Blachar les a appelé " des accusations imaginaires qui n'ont absolument aucun fondement". Il a affirmé que la plupart de ceux qui ont signé l'appel " n'ont pas pris la peine de vérifier son contenu". Pourtant, il n'a transmis aucune réfutation détaillée.

Meyers a dit que Blanchar avait en fait défendu la participation de médecins israéliens à la torture de prisonniers palestiniens dans les prisons israéliennes. Dans une lettre au Lancet, le journal médical, en 1997, Blachar écrivait : " les règles d' interrogatoire recommandent que seule des "pressions physiqus modérées" ( respectant la loi internationale, et qui ne sont pas inconnus dans d'autres pays démocratiques) soit autorisés"

"Comme vous le savez peut être" a dit Meyers, des "pressions physiques modérées" - la même formule employée par l'Administration Bush dans ses prisons de Guantanamo Bay et les "sites noirs" de la CIA dans d'autres pays (actuellement un sujet de discussions houleuses aux US) - incluent le maintien de prisonniers dans des positions stressantes, le passage à tabac, l'isolement, la privation de sommeil, la soumission à des températures extrêmes de chaud et froid, l'humiliation et d'autres formes d'abus physiques et psychologiques.

"La collaboration de médecins à de tels mauvais traitements est inacceptable, et la défense d'une telle participation de médecins doit disqualifier le Dc Blachar pour occuper tout poste de direction au sein de la communauté internationale de médecins."]i

Meyers, qui est Juif, fait campagne pour la santé et les droits de l'homme en Israël depuis une décennie, mais a dit que tout médecin dans n'importe quel pays qui a été impliqué dans des interrogatoires utilisant des techniques de ce type devrait cesser de pratiquer la médecine. " S'ils l'ont fait aux US, je me joindrais à quiconque cherche à ce que ces médecins rendent des comptes" a-t-il dit.

Plus d'accusations de l'implication de médecins israéliens dans des actes de torture sont apparues dans un rapport du Public Committee Against Torture, une organisation israélienne, qui a fourni des témoignages détaillés de 9 hommes palestiniens interrogés entre 2004 et 2006. Ceux qui critiquent Blachar l'accusent d'être resté silencieux face à ce rapport et les preuves d'Amnesty.

Sir Iain Chalmers, un médecin britannique de haut rang, éditeur de la James Lind Library, et co fondateur de la Cochrane Collaboration, est l'un des signataires de la lettre. " De précédents appels auprès de Yoram Blachar lui-même, dans un certains nombre d'endroits et d'un certain nombre de personnes, afin qu'il réponde à ces accusations fondées sur des faits de complicité médicale à la torture n'ont abouti à aucune réponse adéquate" a-t-il dit.

" Le problème actuel est : la WMA a-t-elle une quelconque crédibilité tant qu'elle continue d'ignorer les personnes qui se plaignent de son acceptation et soutien au Dc Yoram Blachar et à la Israéli Medical Association (IMA)?

"L'IMA n'a fourni aucune réponse satisfaisante concernant les accusations venant à la fois d'organisations israéliennes et d'Amnesty International pendant des années".


Le Dc Derek Summerfield, de l'Institute of Psychiatry au King 's College de Londres, qui a été le coordinateur de la lettre, a dit : " la nomination du président longtemps à la tête de l'IMA pour diriger la WMA, qui est l'organisation mondiale chargée de superviser l'éthique médicale, née des abus commis pendant la Seconde Guerre Mondiale, semble en fait complètement bafouer l'idée qu'il existe un cadre éthique pour ce que les médecins peuvent ou ne peuvent pas faire."

Sarah Boseley, health editor www.guardian.co.uk - Dimanche 21 Juin 2009

http://www.guardian.co.uk/world/2009/jun/21/doctors-israeli-torture-yoram-blachar-resign

* Word Medical Association ( WMA ) : L'Association Mondiale Médicale représente 84 associations médicales nationales et 9 millions de médecins dans le monde. Ses objectifs sont de fournir les meilleures règles éthiques en matière de pratique médicale sur des questions telles que les droits des malades, la recherche sur les êtres humains, la prise en charge médicale en période de conflit et de guerre, la torture des prisonniers, l'utilisation et l'abus de médicaments le planning familial et la pollution.


Pour lire la lettre du Dc Summerfield à l'AMM

Pour protester et pour demander que le Dc Yoram Blachar soit démis de ses fonctions à la tête de la WMA

Contacter la WMA

Pour nos lecteurs français, la WMA se trouve en France, une manifestation devant ses locaux serait bienvenue pour protester et demander le départ du Dc Yoram Blachar de sa présidence :

WMA (World Medical Association)
13, ch. du Levant
CIB - Bâtiment A
01210 Ferney-Voltaire
France

Merci de faire circuler ces informations le plus largement possible.

Complément d'information

La torture sur les enfants : cela se passe en Israël... et depuis longtemps !



Mardi 23 Juin 2009

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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 13:08
Anti -Sionisme

Israël, 4ème Pays Le Plus Dangereux Au Monde, Pourrait Disparaître Tranquillement D'Ici 20 Ans Selon La CIA

Les Sionistes ont chassé les Palestiniens de leur Terre pour créer un état pour que les Juifs viennent y vivre en toute "sécurité et paix". 61 ans après Israël est le 4ème pays le plus dangereux au monde pour tous ses habitants quelque soit leur religion, origine ethnique...Dans 20 ans Israël, entreprise coloniale, aura tranquillement disparu, ce n'est pas un souhait du président Iranien Ahmadinejad, mais la conclusion à laquelle aboutit un rapport récent de la CIA.



Israël, 4ème Pays Le Plus Dangereux Au Monde, Pourrait Disparaître Tranquillement D'Ici 20 Ans Selon La CIA

Israël 4ème Pays Le Plus Dangereux Au Monde
L'Indice de Paix Mondiale (Global Peace Index) vient juste d'être publié par le quotidien anglais The Guardian

Les 10 premiers pays considérés comme les plus pacifiques sont :

1. La Nouvele Zélande
2. Le Danemark
3. La Norvège
4. L'Islande
5. L'Autriche
6. La Suède
7. Le Japon
8. Le Canada
9. La Finlande
10. La Slovenie

Les 4 derniers pays de la liste donc considérés comme les plus dangereux :

141. Israël
142. La Somalie
143. L'Afghanistan
144. L'Irak


Le Global Peace Index offre une classification annuelle de 144 des nations du monde. Selon The Guardian, l'Index a été calculé par l' Economist Intelligence Unit pour le compte d'une nouvelle boîte à penser l'Institute for Economics and Peace. Ils utilisent pour établir cette liste annuelle 23 critères mixtes, dont ceux de guerres étrangères, conflits internes, respect des droits humains, nombre de meurtres, nombre de personnes en prison, le commerce d'armes, et les degrés de démocratie. Apparemment, le fait qu'Israël se définisse comme la "seule démocratie au Moyen Orient", et comme ayant l'armée la "plus morale au monde" ne l'a pas empêché d'être le quatrième pays le plus dangereux au monde.

Cette année, Israël se retrouve une nouvelle fois en bas de la liste, perdant une place comparée à l'année dernière. Même le Congo et le Soudan sont considérés comme étant moins dangereux. Les trois pays les plus dangereux sont la Somalie, l'Afghanistan et l'Irak. Ce pays, toujours sous occupation américaine, continue donc d'être le plus dangereux au monde malgré les affirmations contraires de l' Administration américaine. Les Etats Unis occupent la 83 ème place, la Grande Bretagne la 35 ème. C'est plus dangereux de vivre à Londres qu'au Botswana, en Corée du Sud - malgré les armes nucléaires de son voisin la Corée du Nord à propos desquelles s'agitent les médias propagandistes de l'establishment - la Malaisie, et le Qatar, ce dernier étant pourtant situé à proximité de l'Iran autre pays diabolisé et toujours porté sur la liste des pays de l'Axe du Mal malgré la rhétorique "d'ouverture" d'Obama.

Avec un seuil de dangerosité aussi élevé, on comprend pourquoi le tourisme en Israël est en chute libre: moins 27% de fréquentation de touristes étrangers et cela à cause de l' Opération Plomb Durci qui a fait 1400 morts majoritairement des civils dans la population palestinienne de Gaza. Le taux d'occupation des hôtels au niveau national n'était que de 59% soit une chute de 18%, les nuitées des touristes étrangers ont chuté de 26% les quatre premiers mois de l'année, d'où les campagnes agressives de publicité en Europe telle celle dans le métro parisien où on a pu voir une affiche d'une campagne touristique montrant le Grand Israël ce qui a donné lieu à une déferlante de protestations obligeant la RATP à enlever cette affiche.

Autre information importante livrée par ce Global Peace Index:

Cette année,selon le rapport publié avec les résultats, ces derniers sont affectés par la crise économique qui rend le monde plus dangereux. D' après les auteurs, " cela reflète l'intensification des conflits violents dans certains pays et les effets à la fois de la flambée des prix de la nourriture et du pétrole début 2008, et la crise économique dramatique lors du dernier quart de l'année.... Une rapide montée du chômage, le gel des salaires, la chute des prix de l'immobilier, la baisse des pensions et économies, créent un ressentiment dans les populations de nombreux pays, et cela a des répercussions politiques enregistrées par le GPI à travers différents indicateurs qui mesurent la sûreté et sécurité dans la société"

Israël pourrait disparaître dans 20 ans selon la CIA
Un autre rapport "explosif", auquel un nombre limité de personnes ont eu accès, résultat d'une étude menée par la CIA, met en doute l'existence d'Israël dans 20 ans. Le rapport de la CIA prédit un " mouvement inexorable allant d'une solution à deux états à celle à un état, comme le modèle le plus viable sur la base de principes démocratiques d'égalité totale, repoussant le spectre d'un régime d'apartheid colonial, acceptant le retour des réfugiés de 1947/48 et ceux de 1967, le retour de ces derniers étant une pré-condition pour une paix durable dans la région."

Cette étude de la CIA prévoit le retour de tous les Palestiniens dans les territoires occupés et l'exode de 2 millions de Juifs - qui iront s'installer aux US et dans d'autres pays dans les quinze prochaines années. " Il y a plus de 500 000 Israéliens qui détiennent des passeports américains et plus de 300 000 qui vivent dans le seul état de Californie" selon ce qu'a dit le juriste international, Franklin Lamb, lors d'une interview accordée à la TV iranienne Press TV en Mars dernier. Il a ajouté que ceux qui n'avaient pas de passeport américain ou d'un pays occidental, en avaient déjà fait la demande.

"Donc je pense que c'est écrit sur le mur, au moins pour le public en Israël.... ce qui suggère que l'Histoire rejettera l'entreprise coloniale tôt ou tard..." a-t-il ajouté.

Franklin Lamb, qui a eu accès à ce rapport, dit que la CIA y fait allusion à la chute rapide et imprévue du régime d'Apartheid d'Afrique du Nord, et rappelle la désintégration de l'Union Soviétique au début des années 90, suggérant que la fin du rêve d'une "terre israélienne" pourrait se produire " bien plus tôt" que tard.

L'étude prédit également le retour de plus d'un million et demi d' Israéliens en Russie et dans d'autres parties de l'Europe, et note un déclin dans le taux de natalité israélien alors que le taux de natalité de la population palestinienne augmente.

Les membres du Comité du Renseignement du Sénat US ont été mis au courant de ce rapport. Il se pourrait donc qu' Obama en ayant eu connaissance, tente en coulisse de convaincre les Israéliens que c'est dans leur intérêt, avant qu'il ne soit trop tard, d'accepter la solution à deux états. Cette solution, le vice président américain, Joe Biden, un Sioniste - c'est ainsi qu'il se présente lui-même - l'a soutenu récemment à la conférence du Lobby pro sioniste AIPAC proche du gouvernement Netanyahou.

Mais, les prédictions de la CIA risquent de se concrétiser à cause du glissement vers l'extrême droite du gouvernement de Tel Aviv, et cela ne peut aller qu'en s'accentuant, au risque de pousser les "Sionistes modérés" à faire leur valises et partir, ce que certains ont déjà fait, tournant la page du "rêve sioniste".

Le monde débarrassé du Sionisme dans 20 ans ?

Espérons que cela sera, comme le dit le rapport de la CIA " bien plus tôt" que tard.

Mercredi 03 Juin 2009
Myriam Abraham


Dans la même rubrique :
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http://www.planetenonviolence.org/Israel,-4eme-Pays-Le-Plus-Dangereux-Au-Monde,-Pourrait-Disparaitre-Tranquillement-D-Ici-20-Ans-Selon-La-CIA_a1926.html
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 00:27
Anti -Sionisme

3 Réseaux D'Espionnage Israéliens Démantelés Au Liban

En l'espace de moins d'un an, les services de sécurité libanais avec la coopération active du Hezbollah ont procédé à l'arrestation d'espions à la solde du Mossad et démantelé leurs réseaux. Le Mossad, comme à son habitude lorsqu' en situation d'échec n'a pas fait de commentaire, abandonnant à leur sort, probablement la peine de mort, ceux qui se sont mis au service du Sionisme trahissant pour cela leur pays. Parce que première cible du Mossad, le Hezbollah, est souvent un partenaire et acteur décisif dans de telles enquêtes et arrestations.


3 Réseaux D'Espionnage Israéliens Démantelés Au Liban

En Novembre de l'année dernière, les autorités libanaises ont arrêté Ali Jarrah de la ville d'Al Marj dans la vallée de la Beqaa. Son frère Yusuf et plusieurs autres personnes ont également été placés en détention. On a retrouver du matériel photographique sophistiqué chez Jarrah de même qu'une caméra vidéo et des équipements GPS dissimulés dans sa voiture. Les accusations portées contre lui sont écrasantes : il aurait été envoyé par le Mossad surveiller photographier et espionner certains endroits dans la vallée de la Beqaa. L'enquête a également révélé que Jarrah a été envoyé en mission dans le quartier périphérique de Damas qui servait de cachette au " ministre de la défense" du Hezbollah, Imad Mughniyeh, assassiné dans la capitale syrienne en Février 2008. Le Hezbollah a accusé le Mossad de l'avoir éliminé. Le procureur général libanais a annoncé qu'il allait requérir la peine de mort contre les frères Jarrah.

En Janvier 2009, Marwan Fuqiya, un mécanicien de la ville de Nabatiyeh au Sud Liban , a été arrêté et interrogé, soupçonné d'avoir aidé le Mossad à installer des équipements électroniques dans des voitures de membres du Hezbollah pour espionner leurs allées et venues. Leurs véhicules étaient régulièrement vérifiées à son garage. Lui aussi encourt la peine de mort.

Récemment, la presse libanaise a rapporté qu'un troisième réseau d'espionnage de 12 membres travaillant pour le compte du Mossad avait été démantelé. A la tête de ce réseau, un colonel à la retraite libanais ayant servi dans les services de renseignements du pays, Adib Alam. Selon les médias libanais, Alam, qui a été arrêté en début d'année, a avoué qu'il a été recruté par le Mossad il y a 11 ans. Selon les informations disponibles, les agents de liaison du Mossad l'ont persuadé de prendre sa retraite de l'armée et l'ont aidé à monter une affaire pour faire venir au Liban de la main d'oeuvre étrangère. Cette affaire servait de couverture à Alam et lui permettait de voyager notamment en Grèce, à Chypre et en Italie pour rencontrer ses donneurs d'ordre du Mossad. Le but de ce réseau c'était de rassembler des informations sur les plus hauts responsables du Hezbollah et de suivre ce qui se passait dans l'armée libanaise.

Le Mossad n'est pas la seule organisation sioniste à chercher à récupérer des informations sur tous ceux qualifiés "d'ennemis" - pays, organisations individus - de l'état israélien. Outre le Mossad sont également actifs via notamment les ambassades et consulats israéliens et certaines institutions prosionistes à l'étranger, le service de sécurité interne le Shin Bet, et deux unités du renseignement militaire, l'Unité 8200 et l'Unité 504 qui déploient leurs agents à l'étranger.

Le fait que la découverte d'un premier réseau ait permis d'en démanteler deux autres signale des faiblesses dans le système d'espionnage sioniste, la règle de base de ce genre de réseau étant la compartimentalisation entre les réseaux mais aussi entre un agent et un autre. Il est évident qu'avec le démantèlement de ces réseaux, c'est un coup dur porté aux activités clandestines sionistes dont le but au Liban a toujours été de déstabiliser ce pays y compris en planifiant et en faisant exécuter des attentats à la bombe contre des hauts responsables politiques. Il n'est d'ailleurs pas exclu que la main du Mossad ne soit pas derrière l'attentat qui a couté la vie à l'ancien premier ministre libanais Rafic Hariri.



Dimanche 26 Avril 2009
Myriam Abraham
ttp://www.planetenonviolence.org/3-Reseaux-D-Espionnage-Israeliens-Demanteles-Au-Liban_a1891.html
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 00:25
Le Lobby Macarthyste : CRIF AIPAC ADL...

Les Officines Sionistes UEJF/CoExist, Exclues De Durban II -Exigeons Qu'Elles Soient Aussi Exclues Du Système Educatif Français

Suite à leur intervention raciste lors du discours du Président iranien Mahmoud Ahmadinejad, l'UEJF/CoExist ont été exclues, leurs badges retirés. Ces officines Sionistes, avec le soutien de SOS Racisme, opérent en milieu scolaire et pour cela sont subventionnées avec l'argent des contribuables. Exigeons leur exclusion du système éducatif français, et l'arrêt des subventions.



Les Officines Sionistes UEJF/CoExist, Exclues De Durban II -Exigeons Qu'Elles Soient Aussi Exclues Du Système Educatif Français

Deux groupes sionistes sévissant sur le territoire de la République, l'UEJF et CoExist (dont le slogan est "pour mieux vivre ensemble" ?!) , ont été exclus de la Conférence sur le Racisme, Durban II à Genève, suite à leur intervention raciste contre le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Cette intervention était téléguidée du ministère des affaires étrangères israélien - comme l'a avoué l'un des membres de l'UEJF, Boaz Toporovsky - dirigé par le raciste notoire, Avigdor Lieberman. Leurs badges leur ont été retirés selon le porte parole de l'ONU, Rupert Colville. Ces badges leur auraient été fournis par le ministère des affaires étrangères français occupé, avec la bénédiction de Sarkozy, par un Sioniste ex eurodéputé PS, François Zimeray, notoirement connu pour ses prises de position outrageusement agressives contre les Palestiniens et son lobbying à Bruxelles en faveur du régime de Tel Aviv. Zimeray a été nommé à un poste obscur "d'ambassadeur des droits de l'homme" rémunéré avec l'argent des contribuables, entre autres pour agir en soutien au régime sioniste en utilisant ses fonctions au Quai d'Orsay, et notamment dans le cadre de la préparation de la Conférence sur le Racisme de Durban II. C'est lui qui a orchestré la sortie des représentants des 23 pays membres de l'UE, à la queue leu leu, sous l'oeil des caméras de médias complaisants. Ce sont donc vu retirer leurs badges et exclus de la conférence, 20 participants de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), 15 de COEXIST, et 4 de l'Union européenne des étudiants juifs. La Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Navi Pillay, a pris ces mesures « en raison du comportement perturbateur inacceptable de plusieurs ONG à Genève, en violation des règles de la conférence. »

L'UEJF -qui fait partie du CRIF et siège lors de son assemblée générale -, et CoExist interviennent en milieu scolaire. Si le lien ombilical qui lie l'UEJF à Israël est bien connu, son drapeau flottant dans toutes les manifestation pro Israël, y compris lors de celle, début Janvier, en soutien aux crimes de guerre sionistes à Gaza, celui de CoExist l'est moins.

CoExist qui a été crée en 2004 par l'UEJF et les clubs Convergences,se définit sur son site comme " un programme de lutte contre le racisme et l'antisémitisme essentiellement en milieu scolaire". Depuis 2007 ce programme est mis en place en milieu scolaire à la fois par l'UEJF et SOS Racisme. Toujours selon son site (www.coexist.fr) " La spécificité de CoExist réside dans l’élaboration originale d’un module pédagogique innovant et dans la formation de médiateurs issus de milieux et origines différents qui interviennent ensemble dans les classes....CoExist est essentiellement soutenu par l'ACSE, l’Agence nationale pour la Cohésion Sociale et pour l’Egalité des chances."

Autrement dit, par l'argent des contribuables.

Certains participants à Coexist, ont, avec des membres de l'UEJF, sur les conseils du ministère des affaires étrangères israélien, planifié et exécuté une intervention raciste contre le Président de l'Iran, un pays membre de l'ONU, lors de la Conférence contre le Racisme, Durban II. Par conséquent, il est hors de question que ces officines sionistes continuent, sous prétexte de lutte contre le racisme et l'antisémitisme, et en utilisant l'argent des contribuables, d'intervenir dans les établissements scolaires de la République. Cette action les disqualifie pour ce genre de mission auprès des jeunes français.

L' action de l'UEJF et CoExist a porté atteinte à la crédibilité de l'Organisation des Nations Unies dont ils se sont moqués ouvertement, en abusant des passes qui leur avaient été remis, mais aussi en tournant vulgairement en dérision devant une assemblée de hauts responsables politiques venus du monde entier, cette Conférence contre le Racisme.

Qui plus est ils s'en sont vantés : "nous voulions montrer que c'était une énorme farce" a confié Jeremy Cohen de l'UEJF au quotidien israélien ynetnews.com ( 20/04/09) à propos de cette Conférence.

Ils ont également porté atteinte à la position de la France dans le monde arabo musulman, car c'est un chef d'état musulman qui a été insulté par une bande d'énergumènes qui font passer les intérêts de la puissance étrangère sioniste avant ceux de la France. De plus ils ont donné un exemple lamentable, relayé dans le monde entier par des chaînes TV , de racisme, d'islamophobie, d'atteinte à la liberté d'expression, mais aussi tout simplement d'arrogance vis à vis des pays orientaux, et d'un total manque d'éducation.

Enfin ils ont conforté l'opinion des foules arabo-musulmanes que désormais sous Sarkozy la France obéit au doigt et à l' oeil au régime sioniste.

Ainsi donc, par cette action, ils ont montré à tous qu'ils ne contribuent ni à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, ni au développement du vivre ensemble, bien au contraire.

Pour toutes ces raisons l'UEJF et CoExist doivent être exclus du système éducatif français et cesser de bénéficier de l'argent des contribuables pour avoir organisé et exécuté ce genre d'exhibi -sionisme préjudiciable aux Institutions Internationales, à la France et à la République laïque.

PS :-) Nous n'irons pas jusqu'à invoquer le risque de "trouble à l'ordre public", bien qu'à Genève c'est de cela qu'il s'agissait. Mais, afin qu'ils "n'importent" pas le conflit israélo- iranien dans nos cours d'école, il est nécessaire de leur en interdire l'accès.

Jeudi 23 Avril 2009
Myriam Abraham
http://www.planetenonviolence.org/Les-Officines-Sionistes-UEJF-CoExist,-Exclues-De-Durban-II-Exigeons
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