http://www.alterinfo.net/Une-enquete-sur-le-mythe-fondateur-d-Israel-derange-la-BBC_a90157.html
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Une enquête sur le mythe fondateur d’Israël dérange la BBC
- Israël - Le mythe de l’exil, par Stéphane Baillargeon.
- Les mythes fondateurs de la politique israélienne, thèse du Dr Roger Garraudy. (voir également internet.)
La bible judéo-chrétienne, est divisée en deux testaments : l’Ancien testament ( bible juive) contient 39 livres, et le Nouveau Testament ( bible chrétienne) contient 27 livres.IL y a cependant une observation : pour reconnaitre la bible des chrétiens protestants et la bible des chrétiens catholiques. La différence se trouve dans le nombre des livres de l’ancien testament. Les chrétiens protestants reconnaissent 27 livres bible chrétienne, et 39 livre bible juive = 66 livres. Une bible qui a 66 livres est donc, une bible protestante. En revanche, les catholiques, reconnaissent 27 livres bible chrétienne et 46 livres, au lieu de 39 livres de la bible juive= 73 livres. Les catholiques, veulent prouver qu’ils plus juifs que les juifs. ?
Ni la bible juive, ni la bible chrétienne, ne sont les paroles de Dieu. Les 73 livres sont une compilation d’une œuvre fabriquée par des hommes anonymes, des narrateurs, des fabulateurs, des menteurs, faussaires, falsificateurs, fraudeurs et manipulateurs, qui attribuent à Dieu, les mensonges blasphématoires, et ils impliquent les prophètes, qui n’ont jamais écrits ces livres imaginaires. Dieu ne pardonne jamais aux menteurs qui fraudent et dénature la vérité divine. Malheurs à vous alliés de Satan, les incrédules, impies et coupables de crimes et de génocides sur les peuples innocents sans défenses. Ksel.
À voir le vendredi 29 mars –
Israël - Le mythe de l’exil, par Stéphane Baillargeon.
23 mars 2013 |
Stéphane Baillargeon |
Télévision
Zone doc
L’exil
Radio-Canada, 22h35
Les Juifs, installés autour de Jérusalem il y a des milliers d’années, ont essaimé en Afrique du Nord, en Europe, en fait partout dans le monde. Mais pourquoi et comment? Ce documentaire en deux volets utilise de multiples sources, et en particulier l’archéologie, pour faire le point sur ce que l’on sait maintenant de cette fabuleuse histoire. Le résultat, franchement captivant, se regarde un peu comme une enquête policière à l’échelle des siècles et des continents.
Le premier épisode s’intéresse à la construction du mythe constitué notamment par Flavius Josèphe, Juif romanisé, voulant que les siens aient résisté à l’envahisseur romain, jusqu’à la destruction finale du temple de Jérusalem. Les archéologues montrent une situation plus complexe, avec des régions comme la Galilée, divisée entre les rebelles et les collaborateurs, pourrait-on dire. Un judaïsme incite à la résistance. Un autre prône la coexistence. Dans la ville juive de Tsipori, les fouilles mettent au jour un temple païen, un théâtre, des fresques de dieux aux visages humains.
La légende de la destruction totale s’amplifie avec Massada, lieu de la dernière bataille à la suite de la destruction du temple. Encore aujourd’hui, les visiteurs et les guides répètent le récit de la résistance jusqu’à l’ultime sacrifice, suivi par l’exil des malheureux survivants. Là encore, les preuves déterrées ne correspondent pas à cette théorie. L’archéologie montre plutôt que les Juifs sont restés dans la région, où ils ont de nouveau prospéré.
En fait, ce documentaire devient d’autant plus intéressant qu’il fait état de la manipulation ou de la politisation de la discipline archéologique dans un sens ou dans l’autre. Le professeur Yadin, héros de la guerre d’indépendance, partit à la recherche de traces de la révolte de Bar Kokhba, au Ier siècle. Les preuves accumulées ont servi à établir la légitimité de la nouvelle occupation juive du territoire.
Yigael Yadin, archéologue national, a finalement proposé que l’exil a commencé avec la perte de la souveraineté juive sur le territoire et s’est terminé avec l’établissement de l’État moderne.