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Noesam@Voila.fr

  • : sionazisme
  • : Tout Juif qui se respecte, religieux ou séculier, ne peut plus garder le silence, voir pire, soutenir le régime sioniste, et ses crimes de génocide perpétrés contre le peuple palestinien...La secte sioniste est à l’opposé du Judaïsme. .................... Mensonge, désinformation, agression, violence et désobéissance de la loi internationale sont aujourd’hui les principales caractéristiques du sionisme israélien en Palestine.
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Israèl est contre TORAH

*"Les sionistes me dégoûtent autant que les nazis."
(Victor Klemperer, philologue allemand d'origine juive, 1881-1960)

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L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet

é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink

                                               


   

 


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FATHER OF SIONAZISJACOB HITLER

La prétendue ascendance juive d'Hitler: Une "explication" par la haine de soi
Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale.
SOURCE ;alterinfo

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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 12:43

Peut-on associer le souci d’aider les juifs et le soutien à Israël ? Pas nécessairement du tout. Balfour était antisémite. Beaucoup d’antisémites trouvent intéressante l’idée d’un Etat juif qui les débarrasserait de leur minorité encombrante. C’est le cas de certains membres du Front national. Aujourd’hui, le courant « chrétien sioniste » qui représente des millions de personnes surtout aux Etats-Unis apporte une aide financière et politique énorme à Israël. Ils ont financé une partie de la colonisation (en particulier la construction de Maale Adoumim). Ce sont pourtant des antisémites !

Peut-on considérer que, face à l’antisémitisme, le sionisme a apporté un « havre de paix » aux juifs ? Pour les juifs du monde arabe, sûrement pas, ils n’ont pas été persécutés avant l’apparition du sionisme. Pour les juifs européens, la question a pu se poser. En tout cas, aujourd’hui, s’il y a bien un pays où les juifs ne connaissent pas la sécurité, c’est ... Israël et il en sera ainsi tant que le sionisme essaiera de détruire la Palestine.

Si on parlait racisme ?

L’antisémitisme est-il un racisme comme les autres ? Y a-t-il « unicité » du « judéocide » nazi ? Il n’est pas facile de répondre à ces questions. L’antisémitisme a été un racisme à part car la plupart du temps, les racistes ne programment pas l’extermination du peuple haï. S’y ajoute le fait que les nazis ont inventé le concept (absurde) de « race juive ». Aujourd’hui, les principales victimes du racisme dans un pays comme la France sont incontestablement les Arabes, les Noirs, les Roms, mais pas les juifs dont certains ont oublié les souffrances passées et s’imaginent même être passés « de l’autre côté du miroir », du côté de ceux qui n’ont rien à dire contre le racisme ordinaire ou la chasse aux sans papiers. Dans son livre Le Mal-être Juif, Dominique Vidal montre comment la plupart des préjugés contre les juifs ont reculé. Quand on demande aux Français s’ils accepteraient un-e président-e de la république ou un beau-fils/belle-fille juif/ve, seule une petite minorité répond non. Il y a 40 ans, c’était la majorité. Affirmer comme le fait le CRIF qu’il y a un renouveau de l’antisémitisme, voire qu’on est à la veille d’une « nouvelle nuit de cristal » est très exagéré.

Bien sûr, l’antisémitisme n’a pas disparu. Il reste essentiellement lié à l’extrême droite, mais même les antisémites les plus obsessionnels ne rêvent plus à un « remake » du génocide. Ils préfèrent nier ou minimiser son ampleur.

Et « l’unicité » du génocide ? Primo Levi parlait de « l’indicible ». Il est extrêmement rare dans l’Histoire de voir l’Etat le plus puissant du moment engager tous ses moyens pour exterminer des millions de personnes, même quand cela ne lui apporte rien en terme financier ou militaire. Parler de génocide n’a qu’un seul intérêt : analyser les causes, décrire le processus pour qu’il n’y ait « plus jamais cela » , permettre aux rescapés et à leurs descendants de revivre. Or il y a eu d’autres génocides (Cambodge, Rwanda, Bosnie). Et il y a surtout eu des politiciens sans scrupules qui ont fait du génocide leur « fond de commerce » alors qu’ils n’ont aucun droit et aucun titre pour s’approprier cette mémoire. Il y a des « intellectuels » français (BHL, Glucksmann, Finkelkraut, Lanzmann...) qui font croire qu’au Proche-Orient la victime est israélienne, éternel retour de la persécution millénaire.

Certains qui voient l’antisémitisme partout sont étrangement discrets pour condamner le racisme anti-arabe dans un Etat qui se dit juif. Que dire du rabbin Ovadia Yossef, dirigeant du Shass pour qui les Palestiniens sont des serpents ou des propos du ministre Vilnaï promettant une « Shoah » aux habitants de Gaza enfermés dans un laboratoire à ciel ouvert ? Des transféristes Avigdor Liberman ou Raffi Eitam qui prônent tous les jours la déportation des Palestiniens ? Du rabbin Rosen, représentant des colons, qui déclare tranquillement « que les Palestiniens sont des Amalécites et que la Torah autorise qu’on les tue tous, leurs femmes, leurs enfants, leur bétail » ? Dans tout pays démocratique, de telles déclarations conduiraient leurs auteurs au tribunal. Mais Israël est une démocratie pour les Juifs. Pour les autres, c’est l’Apartheid, c’est une forme de sous citoyenneté incompatible avec le droit international. Il faudrait aussi parler du racisme des soutiens inconditionnels à Israël, par exemple quand Roger Cukierman a osé dire que Le Pen au deuxième tour, c’était un avertissement pour les musulmans.

En Israël, il y a une obsession de la démographie (que les juifs soient plus nombreux que les Palestiniens). Du coup, sont considérés comme « juifs » des dizaines de milliers de personnes qui n’ont rien à voir avec le judaïsme : des Ethiopiens chrétiens qu’on dit « cousins » des Falachas, des Amérindiens du Pérou convertis au judaïsme et installés dans des colonies mais surtout des ex-soviétiques qui ont quitté un pays en perdition. D’où l’existence de sites antisémites en Israël.

Quand sionisme et antisémitisme se nourrissent l’un l’autre

Le sionisme a besoin de la peur. Il a besoin d’une fuite en avant qui lui donnerait du temps pour consolider ses conquêtes. Il a besoin de slogans simplistes du genre « nous n’avons pas de partenaire pour la paix » ou « Le Hamas, le Hezbollah et l’Iran veulent détruire Israël » pour obtenir un consensus derrière la poursuite de son projet colonial et son refus de reconnaître les droits des Palestiniens. Inversement, celles et ceux qui soutiennent les Palestiniens (et encore plus les juifs qui au nom de leur J se sont engagés dans ce combat) doivent avoir pour souci et pour but la « rupture du front intérieur » aussi bien en Israël que dans les « communautés juives organisées », c’est-à-dire la fin du soutien inconditionnel à une politique criminelle contre les Palestiniens (et suicidaire à terme pour les Israéliens). Vaste programme sans doute dont l’issue est hélas lointaine.

Il n’empêche : toute manifestation d’antisémitisme n’est pas seulement immorale, elle porte un coup grave à la cause palestinienne. Ce n’est pas nouveau. L’antisémitisme des pays de l’Est a renforcé Israël en terme politique (le sionisme a remplacé le communisme comme idéologie des juifs d’Europe orientale) et en termes humains avec l’arrivée massive des juifs soviétiques. De même, non seulement les principaux dirigeants des Pays arabes se sont montrés bien peu solidaires des Palestiniens pendant la guerre de 48 ou celles qui ont suivi, mais leur complicité avec les sionistes dans l’émigration d’un million de juifs du monde arabe a été un coup de poignard dans le dos de la cause palestinienne.

La guerre du Proche-Orient n’est ni raciale, ni religieuse, ni communautaire. Elle porte sur des principes universels : l’égalité des droits, le refus du colonialisme. Ceux qui (comme les sionistes) mélangent sciemment juif, sioniste et Israélien pour attribuer aux juifs les tares du sionisme ne sont pas nos amis. Les Palestiniens l’ont parfaitement compris à l’image de Mahmoud Darwish, Edward Saïd et Elias Sanbar qui s’étaient opposés à un colloque négationniste organisé à Beyrouth par Roger Garaudy. Bien sûr, au nom de « l’antiisraélisme », pour reprendre un terme d’Edgar Morin, on trouve dans le monde arabe ou en Iran des gens qui diffusent le « Protocole des Sages de Sion » ou qui organisent des colloques révisionnistes comme celui de Téhéran. On trouve en France quelques rares personnes issues de l’immigration qui singent l’extrême droite en reprenant les stéréotypes antijuifs. Ces judéophobes confondent aussi juif et sioniste. Bien sûr, on ne peut pas nier que le sionisme ait « une part de l’héritage juif ». Une part seulement. Rappelons une anecdote : en 1948, Menachem Begin veut visiter les Etats-Unis. Les plus grands intellectuels juifs américains avec en tête Hannah Arendt et Albert Einstein écrivent à Truman en lui disant que Begin est un terroriste et qu’il faut l’arrêter ou l’expulser. À l’époque, le judaïsme, c’est encore très majoritairement Arendt ou Einstein, ce n’est pas Begin. Les assassins nazis s’en sont pris aux parias des shtetls (****) ou à des gens comme Arendt ou Einstein, insupportables parce qu’universalistes. L’antisémitisme n’a pas frappé les tankistes israéliens.

Il existe en petite minorité dans les rangs de ceux qui soutiennent la Palestine des gens qui imaginent que puisque l’Etat d’Israël se justifie au nom du génocide, c’est que celui-ci n’a pas existé ou qu’on exagère beaucoup à propos des 6 millions de morts (En fait, les dernières recherches historiques sur la « Shoah par balles » tendraient à dire le contraire, le nombre des morts est peut-être supérieur). Il y a des militants qui reprennent les élucubrations d’Israël Shamir, soviétique émigré en Israël, qui a repris les délires antisémites sur les crimes rituels commis par les juifs mais qui est totalement inconnu dans les rangs des anticolonialistes israéliens ou des militants palestiniens. Pour Shamir, le problème, ce n’est pas le sionisme, c’est le judaïsme.

Certains militants parfaitement honnêtes pensent qu’on doit laisser librement s’exprimer toutes les critiques contre Israël, y compris les critiques antisémites. Je pense que ces militants se trompent et que les antisémites ne sont pas seulement d’odieux racistes, ils renforcent aussi le sionisme qu’ils s’imaginent combattre. Ils alimentent le réflexe de peur qui est un carburant indispensable pour le sionisme. Lutter contre l’impunité d’Israël est une priorité qui est l’exact inverse d’une telle démarche : les sionistes veulent clore l’histoire juive. Ils prétendent qu’il n’existe qu’une seule voie, la leur. Ils prétendent représenter l’ensemble des juifs, ils parlent en leur nom, ils ont le rêve fou de les faire tous « monter » vers Israël. Ils prétendent que toute critique d’Israël est forcément antisémite alors qu’au contraire leur politique provoque un nouvel antisémitisme. Cette politique remet en cause plusieurs siècles de lutte des juifs pour l’égalité des droits et la citoyenneté. Les antisémites qui mélangent sciemment juif et sioniste vont exactement dans le même sens. Ces deux courants se nourrissent l’un l’autre.

Soutenir concrètement les Palestiniens et dénoncer inlassablement l’impunité d’Israël qui permet la fuite en avant criminelle doit donc s’accompagner d’une dénonciation du sionisme qui est un obstacle à la paix et d’une dénonciation de l’antisémitisme qui n’est pas seulement un racisme odieux (comme tous les racismes). Il renforce aussi ce qu’il prétend combattre.

Les militant-e-s ont aussi une tâche plus difficile à remplir : « déconstruire » toutes les manipulations de la mémoire et de l’identité qui prolongent cette guerre.

(*) La Bible dévoilée de I. Finkelstein et N.A. Silberman.
(**) Main d’œuvre immigrée qui organisait les communistes étrangers.
(***) En 1870, le décret Crémieux accorde aux juifs algériens la nationalité française mais pas aux musulmans.
(****) Villages juifs d’Europe orientale systématiquement détruits pendant la guerre.

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