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L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.......Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation..Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souverainet
é divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen. Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.orglink
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Le titre de l'Assemblée mène à se demander : "réconciliation" de qui et de quoi ?
Sur le plan africain, toutes les guerres qui s'y jouent, leurs ficelles sont menées par les grands tenants de marionnettes de part le monde, par les dirigeants d'un Occident raciste, colonisateur et usurpateur, qui a recours à ses liges, implantés sur place, pour mener son Jeu ! Affamer les Africains et extirper leurs trésors, est le critère. Est-ce cela la réconciliation de tous ces leaders-imposteurs, pour mener un Jeu autre, mieux performé pour contraindre, harceler et opprimer davantage ? Susciter des guerres entre les communautés locales est devenu traditionnel, à ne citer que : la création d'un problème Berbère en Algérie, pour scinder le pays ; celle du Darfour, où toute la communauté presque est "porteuse" du Qur'ân, le connaissant par cœur ; ou celle entre les minorités coptes ou chrétiennes et les grandes majorités musulmanes en Egypte et ailleurs. De quelle réconciliation s'agit-il ?
Sur le plan christianisme, de quelle réconciliation peut-on parler ? Toutes les églises, dont le nombre dépasse les trois cent bifurcations, tous membres du Conseil Œcuménique des Eglises, se font la guerre dans leur course fanatique de l'évangélisation du monde... Est-ce la réconciliation de tous ces frères séparés sur des problèmes de fond, de credo, pour en faire l'Eglise Universelle, qui est désigné ? Est-ce pour chanter à l'unisson en une seule évangélisation, pour mieux essorer les peuples africains et leur imposer une inhumaine inculturation, une foncière infiltration pour mieux soustraire leurs entrailles et mener leur complète éradication ? Le rôle infâme de l'Eglise et son intervention meurtrière dans le Rwanda, où des « pères » et des « sœurs » s'avérèrent être des incendiaires, en attisant les flammes dans des hangars fermés, pleins d'africains réfugiés, n'est point oublié ! Pour ne rien dire de l'autre rôle infâme de l'Eglise et l'affaire du préservatif, causant la mort de milliers d'africains contaminés du Sida ? Réconciliation de qui ou de quoi, de nouveaux assassins, ou d'un néo-colonialisme ?!
Sur le plan de la guerre menée par le Vatican contre l'Islam, nul n'ignore la rage obsessionnelle avec laquelle il marche tel "un rouleau compresseur" (d'après le Monde) sur l'Islam pour l'éradiquer. Nul n'ignore l'arsenal de moyens mis en action pour anticiper cette éradication. Un éventail dont l'étendue va des membres du clergé, à tous les laïcs, en passant par les innombrables Missions, Organisations, Institutions, mass média, Internet, hommes politiques, touristes, bref, officiellement : aucun chrétien n'échappe à cette participation imposée à tous les adeptes par le Concile Vatican II. Inutile d'ajouter qu'on trouve aussi une jeunesse missionnaire et, pire encore, des enfants missionnaires, ce qui révèle une hystérie obsessionnelle ! Même les nouvelles technologies de communication ne font pas exception, et leur utilisation est au service du magistère de l'Eglise, pour développer une culture d'évangélisation, et imposer "la seule parole susceptible de sauver l'homme", comme le pape ne cesse de le répéter de vive voix ou par écrit. Va-t-il enfin réconcilier foi et raison pour admettre que ces musulmans, qu'il veut arracher à leurs croyances, ont le droit d'aimer et de tenir ferme à leur religion ?! Drôle de réconciliation qui ne va point de paire avec la furie de la nouvelle évangélisation qu'il impose!
Il ne serait point superflu de rappeler, ici, les travaux de recherches de l'Institut Westar, aux Etats-Unis, sous le titre de "Jesus Seminar", où plus de deux cent professeurs spécialistes des Textes bibliques, se sont réunis durant des années, et ont finit par prouver que 82 % des paroles attribuées à Jésus, il ne les a pas prononcées, et que 86 % des actes qui lui sont attribués, il ne les a point commis ? Avec des Textes à ce point manipulés, on n'a pas le droit d'outrager un Texte Révélé, la Vraie Parole de Dieu demeurée intacte depuis sa Révélation jusqu'à nos jours, pour imposer des credo formés à travers les Conciles, le long des siècles. Il suffit ici de rappeler tous les efforts qui se mènent, de la part de d'Eglise, depuis des siècles, pour manipuler le Qur'ân. D'un côté, ils s'épuisent à émietter la langue arabe, d'un autre côté, à vouloir coûte que coûte "lire le Qur'ân en utilisant les méthodes de la critique littéraire moderne"… le lire "selon la méthode de l'analyse rhétorique !
Est-il nécessaire de montrer que tous les procédés d'analyse auxquels l'Occident est parvenu dans ses études linguistiques, sont en rapport direct avec ses langues, d'origine latine, alors que l'arabe est une langue sémitique ? Comment peut-on se permettre une dérive pareille à moins que le but ne soit un sabotage prémédité, à ne citer que le travail qu'assume l'Institut Oasis et tant d'autres ?!
Tel qu'on le voit, dès le titre, cette Assemblée semble être réunie pour une raison tout à fait différente que cette prétendue "réconciliation", et je n'ajoute même pas le reste du titre parlant de paix. Car quelle paix peut-il y avoir quand on fait face aux néo Conquistadors et au néo colonialisme" ?
La réponse ne se laisse point attendre sur le vrai but de cette Assemblée. Il est révoltant de lire, le 27 octobre, sur un des sites vaticanais, que les Pères synodaux, à la fin de leur réunion, "rendent grâce à Dieu pour l’abondance des ressources naturelles de l’Afrique". Que viennent faire ici les ressources naturelles ? Tristes remerciements, puisque c'est pour une raison économico-politique que cette Assemblée "religieuse" s'est réuni, car il est dit nettement : "Les ressources minières africaines valent 46 200 milliards de dollars" et qu' "avec 12% de cette somme, l’Afrique pourrait financer la construction d’infrastructures au niveau européen". Ce qui pose d'emblé le vrai but escamoté sous un titre fallacieux, car il s'agit d'une proie bien grasse à s'accaparer !
D'après une enquête publié par David Beylard, économiste congolais, sur “Les Afriques” (revue économique panafricaine), il s'avère que le montant total des richesses africaines serait de l’ordre de 46 200 milliards de dollars, note-t-il : “La valeur financière des gisements africains de matières premières, jusque-là découvertes, est de 46 200 milliards de dollars ! Pourquoi l’Afrique ne réussit-elle pas à valoriser une semblable richesse qui équivaut à 13 fois le rendement annuel de la Chine ? Un patrimoine largement suffisant pour transformer le continent en une des premières puissances mondiales”. Ce manque du développement de l’Afrique, dans son ensemble, demeure le modèle économique fondé sur des finances spéculatives, que l'Occident ethnocentriste et usurpateur sait bien mener. Voilà un exemple que l'auteur ne manque pas d'avancer :
“Des sociétés minières sans moyens conséquents, parfois sans personnel, ni bureaux, appartenant à des actionnaires anonymes, immatriculées dans des paradis fiscaux, parviennent, avec force promesses et mises en scène, à convaincre des gouvernements africains de leur confier des concessions minières gigantesques. Une fois le contrat en poche, ces sociétés se précipitent sur des bourses peu regardantes, généralement canadiennes, pour valoriser leurs titres africains et empocher de coquettes plus values avant même qu’un seul gramme de minerai ne soit extrait de la concession qui leur a été confiée”..
Ce qui veut dire qu'en pratique, on crée sur la carte une richesse garantie par les ressources africaines, sans que celles-ci soient réellement exploitées et, ce qui plus est, sans qu’elles apportent de réels bénéfices aux vrais propriétaires, aux africains. Une situation plus que scandaleuse, quand on pense que le système financier international, vraie sangsue discriminatoire, continue d’exiger le paiement des intérêts accumulés sur les dettes contractées par les pays africains, par l'intermédiaire de leur Institution le Fond Monétaire International !
A quoi il ne serait pas inutile d'ajouter cette citation tirée d'une des interventions de l'Assemblée : "Selon une étude effectuée par une société de consultation spécialisée dans les investissements en Afrique, il y a dans le continent africain 10 millions de gisements de matières premières (aussi bien dans la terre ferme qu’en mer), mais seulement 100 000 sont exploités. 9 millions 900 mille gisements, soit 90% du total, ne sont pas mis en valeur. Bien plus, elles sont connues et même cataloguées dans une banque de données, qui se targue des technologies satellitaires et informatiques les plus avancées".
Il n'est donc pas étonnant de lire comme conclusion finale de cette Assemblée : "Pour sa part l’Église cherchera à instituer dans les différentes nations du continent un système de formation dans la gestion des ressources naturelles”. Ce qui veut dire : plus d'interférence, plus d'ingérence, pour mieux s'accaparer de ces ressources-aubaines !
Ce n'est donc ni à une réconciliation ni à une paix quelconque qu'on a affaire, mais à un double néo-colonialisme. Un néo-colonialisme économique, vécu, et qui sera davantage mené dans une exploitation anarchique des ressources naturelles masquant le pillage planifié des richesses ; et un néo-colonialisme moral, qui consiste à maintenir les pays africains sous perfusion financière, moyennant une aliénation éthico politique, en imposant aux peuples africains les critères du dévergondage européen, débridé, poussés à l'extrême, systématisés par des instances diverses.
A ceux qui se demanderaient : comment le Vatican, la plus puissante Institution religieuse au monde, se lancerait-il dans une aventure aussi ignominieuse qu'inhumaine ? Il suffit de voir annoncé qu'en 2002, le déficit consolidé du Vatican s'élevait à 13.5 millions d'Euros, et cela malgré ses revenus inimaginables. Mais il suffit de lire ce que Tony Bushby écrit sur "The Papal Billions", de penser à l'affaire de la Banque Ambrosiano, pour voir à quel degré s'étend la corruption maffieuse dans cette cité, ce reliquat des anciens Etats Pontificaux et de la controverse dite "la question romaine". Un Etat crée le 11 février 1929, comme représentation temporelle du Saint-Siège, dont la seule et unique raison d'être est cette immuable volonté de maintenir les deux épées à n'importe quel prix, quitte à éradiquer les peuples de tout un Continent !
Il y a des conclusions à tirer et des rapprochements à faire voir l’article l’entretien que le pape Benoît XVI a accordé à M. François Fillon qui a été reçu par le Vatican comme un chef d'Etat. Lors de cette rencontre historique le Vatican affirme son intention de poursuivre sur "la bonne voie du dialogue et de la collaboration entre Paris et le Vatican", et les deux interlocuteurs abordèrent les questions internationales, à savoir : la situation au Proche-Orient et dans quelques pays africains, avec une référence au "Synode pour l'Afrique" qui se déroule actuellement au Vatican. A quoi s'ajoute l'Encyclique "Caritas in Veritate", son influence et son contexte en ce qui concerne la crise économique et les nouvelles règles à établir pour la bonne marche de l'économie, spécialement à l'égard des pays les plus pauvres.
N’est-ce pas le signe de la fin de la Paix Clémentine ou paix de l’Eglise dans l’espace laïc national et le renouveau de la Pax Romana dans l’espace des autres : exporter les contradictions internes vers l’extérieur soumis au feu du canon et à la devise des légionnaires : « soumettez ceux qui résistent et domptez les superbes » des pays d’Afrique et d’Asie.
Zeinab ABDELAZIZ 5 / 11 / 2009
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Fernando Navarro - El Pais
INTERVIEW : Donatella Rovera, enquêtrice d’Amnesty International en Israël et dans les Territoires occupés
Amnesty International (AI) a appelé l’ONU à un embargo total des armes à destination d’Israël et du Hamas, après avoir prouvé que les forces israéliennes ont utilisé des armes au phosphore blanc fournies par les États-Unis dans sa dernière attaque sur la bande de Gaza, tandis que les miliciens islamistes ont utilisé des roquettes faites avec des pièces étrangères qui pourraient être des armes de contrebande.
Le phosphore blanc est un matériau dont l’utilisation n’est pas illégale si elle est utilisée comme écran de fumée pour éclairer les troupes, mais il est interdit depuis 1980 par les Conventions de Genève dans les zones habitées par des civils, car il peut provoquer de graves brûlures sur les personnes situées dans son champ d’action.
Israël a ouvert une enquête pour déterminer si cette utilisation a été faite de manière illégale au cours de l’opération « Plomb durci », dans laquelle ont été tués plus de 1 300 Palestiniens (dont la moitié de civils) et 13 Israéliens. L’Armée a fait valoir que les opérations militaires ont toujours été menées contre un groupe armé. Donatella Rovera, enquêtrice d’Amnesty International en Israël et dans les Territoires occupés, a visité la bande de Gaza avant et après l’offensive israélienne. Rovera dit qu’Israël a utilisé le phosphore blanc de manière illégale. L’organisation a divulgué aujourd’hui son rapport nommé Pour alimenter le conflit : la fourniture d’armes étrangères à Israël et à Gaza.
Question : Avez-vous des preuves de l’utilisation illégale de phosphore blanc par l’armée israélienne ?
Réponse : Absolument. Le phosphore blanc peut être utilisé dans les mouvements de troupes, mais ils l’ont employé dans les centres-villes. Un expert militaire français qui voyageait avec nous a été très étonné de voir ces preuves. Il a travaillé en Irak et a été surpris. Le problème réside dans la façon dont elles ont été utilisées. Et pour la première fois dans la bande de Gaza.
Q : Où et comment avez-vous trouvé ces preuves ?
R : Nous trouvons des morceaux partout dans la bande de Gaza, dans les collèges, à proximité des hôpitaux, dans des lieux où se trouve la population civile. Les autorités ont nié l’utilisation de phosphore blanc, mais pendant l’offensive, on pouvait la constater de loin de manière assez claire. Certains journalistes ont même pris des photos des projectiles. Nous le savions mais quand nous sommes entrés dans le passage de Rafah en Egypte, avant le cessez-le-feu, nous l’avons vu. Après l’avoir nié, ils ont dit que c’était une unité militaire, mais nous en avons trouvé partout. On ne peut pas comprendre pourquoi ils ont utilisé le phosphore blanc.
Q : Quels sont les conséquences de l’utilisation des armes au phosphore blanc ?
R : Trois problèmes. Surtout qu’elles brûlent les êtres humains de manière très dangereuse. Elles incendient les maisons. Et que le projectile, une fois vide, peut être exploité plus tard. C’est-à-dire qu’après que le phosphore blanc ait été tiré, il se disperse et peut être très dangereux. Il faut dire que la plupart des victimes ne l’ont pas été à cause du phosphore blanc, mais c’est la première fois, qu’il a été utilisé dans la bande de Gaza. C’est une utilisation extrême. Et plus encore parce la bande de Gaza est un des endroits avec une des plus grandes densités de population dans le monde.
Q : Amnesty International appelle l’Organisation des Nations-Unies à l’embargo total des armes provenant spécialement des Etats-Unis à destination d’Israël.
R : La plupart des armes utilisées par Israël viennent des États-Unis. Au cours de notre enquête nous avons pu voir différentes armes. Il y avait plusieurs types d’armes et toutes venaient des États-Unis. Nous avons trouvé les numéros de série sur certains morceaux de bombe. Par exemple, dans le lieu de l’attentat qui a tué trois médecins d’une ambulance, il y avait un morceau de la bombe qui portait l’inscription États-Unis. Dans le numéro de série c’était Orlando, en Floride. 95% de toutes les armes que reçoit Israël viennent des États-Unis. Ce qu’elle achète à l’Europe est minime. Mais le plus grave problème c’est que la plupart de celles qui viennent des États-Unis ne sont pas achetées, mais c’est une aide accordée par Washington. Non seulement ce sont des armes fabriquées aux États-Unis, mais c’est un stock d’armes américaines qu’Israël peut utiliser.
Q : Amnesty International affirme également que le Hamas utilise des armes étrangères ?
R : C’est plus difficile parce que ce ne sont pas des livraisons officielles. La plupart des armes sont produites dans la bande de Gaza, mais ces deux ou trois dernières années, et en particulier au cours des trois derniers mois, il y a eu des armes qui sont arrivées de l’extérieur à travers les tunnels. D’où viennent-elles ? C’est difficile de le savoir. On pense qu’elles sont fabriquées en Chine, ou qu’elles ont été achetées en Iran.
Q : Quel est votre objectif avec ce rapport ?
R : Nous voulons faire pression et informer le public de l’ensemble de ces informations. Il y a des lois qui interdisent la vente d’armes, si elles peuvent violer les droits de l’homme. Aux États-Unis et dans l’Union européenne la vente de ces armes est interdite. Nous demandons seulement qu’ils respectent leurs propres lois, et sinon, on demande un embargo des Nations unies.
Q : Quelle est la responsabilité des pays qui vendent des armes ?
R : Il est clair que tout pays qui vend des armes à quiconque a la responsabilité que ces armes ne soient pas utilisées pour commettre des crimes de guerre. Ces armes ont été utilisées d’une manière illégale, parce qu’elles ne l’étaient pas de manière légitime, c’est-à-dire au combat et contre d’autres groupes armés. Le problème se pose lorsqu’on les utilise pour tuer les enfants et les femmes. La moitié sont des civils.
Q : Avez-vous un chiffre de ventes d’armes d’Espagne à Israël dans cette dernière offensive ?
R : L’Espagne est également impliquée dans la vente. Dans une très petite quantité. La France, la Roumanie et le Royaume-Uni sont les principaux fournisseurs en Europe.
Olmert n’est plus le négociateur israélien en Egypte
Le président sortant d’Israël, Ehud Olmert, a suspendu Amos Gilad de ses fonctions, envoyé israélien en Égypte qui négocie un éventuel cessez-le-feu avec le Hamas dans la bande de Gaza, pour ses critiques envers le gouvernement, ont annoncé aujourd’hui les médias locaux.
Gilad a été pendant longtemps l’homme fort d’Olmert en Egypte, et l’architecte de la trêve négociée le 18 Juin dernier avec la faction palestinienne qui gouverne Gaza et qui s’est terminée avec l’invasion israélienne contre l’enclave côtière le 27 décembre.
Selon Radio Israël et le journal Haaretz, Olmert est offensé de lire des déclarations attribuées à Gilad disant que le gouvernement avait peu de capacité à poursuivre une nouvelle trêve et que c’était "insultant" pour les médiateurs égyptiens.
En plus de la suspension de Gilad, en accord avec ces informations, Olmert a demandé à la Commission de la fonction publique d’Israël d’examiner si les manifestations publiques atteignent le niveau d’insubordination.
Madrid, 23 février 2009 - El Pais - traduction : Charlotte
dimanche 15 février 2009 - 15h:29
Xinhua
"Nous n’avons pas suffisamment de détail... il (Gilad Shalit) aurait été tué avec des enfants durant la guerre. Je ne sais vraiment pas", a déclaré Mousa Abu Marzook, l’adjoint du chef du bureau politique du mouvement, Khaled Mechaal, réfugié en Syrie.
Durant l’été 2006, les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ainsi que deux autres mouvements mineurs de militants, ont capturé le soldat israélien Shalit lors d’une attaque contre la base de l’armée israélienne dans la banlieue sud-est de la bande de Gaza.
Le 27 décembre dernier, Israël a lancé une massive offensive de 22 jours sur Gaza, baptisée "Plomb durci", tuant plus de 1 300 Palestiniens et en blessant 5 500, pour la moitié des femmes et des enfants.
Le Hamas insiste pour que tous les pourparlers de trêve avec Israël soient séparés des négociations sur la libération du soldat Shalit, tandis qu’Israël n’est d’accord que sur la réouverture des points de passage et sur la levée du blocus de Gaza quand Shalit sera libéré.
Selon de précédents reportages, une percée aurait été trouvée dans les pourparlers parrainés par Le Caire, sur une accalmie de 18 mois et le relâchement de 1 000 prisonniers contre la liberté de Shalit.
Le Hamas, qui s’est emparé de la bande de Gaza en juin 2007 en mettant en déroute les forces de sécurité fidèles au président palestinien, Mahmoud Abbas, figure encore sur la liste terroriste de l’Occident.
15 février 2009 - 18h53 heure locale - Xinhua
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6126
Publié le 10-02-2009
Avec l’aide du service d’ordre, les câbles d’électricité de la principale synagogue de Caracas avaient été coupés et l’alarme désactivée pour permettre aux vandales juifs de perpétrer leur forfait, le 30 janvier dernier, à l’intérieur du lieu de culte.
Les actes de vandalisme, les inscriptions antisémites sur les murs, tout comme le vol du fichier informatique des membres de la communauté, abondamment présentés par les medias comme des actes "antisémites" sont donc le fait des dirigeants de la synagogue.
Les médias en feront-ils leurs choux gras ?
CAPJPO-EuroPalestine
Publié le 8-02-2009
""Monsieur Armando Astorga a 48 heures pour faire sa valise et partir du pays. Ici nous n’accepterons de personne d’être traités comme une colonie", a déclaré Rafael Correa au cours de son allocution radiotélévisée hebdomadaire.
Le président socialiste a accusé le diplomate d’avoir tenté d’imposer à la police équatorienne le choix du commandant d’une unité de lutte contre la contrebande, en échange d’une aide économique de 340.000 dollars.
"Ici, il y a de la souveraineté et de la dignité, gardez votre argent sale !" a encore dit M. Correa en traitant le diplomate "d’insolent".
Selon le président, qui a lu à la télévision une lettre attribuée à ce diplomate, faute d’accord sur cette nomination, l’aide américaine a été "gelée" et une autre allocation de 160.000 dollars destinée à la lutte contre le trafic d’êtres humains a également été suspendue.
"Dans cette unité (de lutte contre la contrebande, ndlr), ils choisissaient le personnel, ils choisissaient le commandant de l’unité. J’ai donné l’ordre au commandant d’en finir avec cette pratique. Quelle insolence", a déclaré M. Correa.
Le chef de l’Etat équatorien a également annoncé qu’il n’accepterait pas l’atterrissage d’avions des garde-côtes américains - chargés de la lutte antidrogue - sans avoir au préalable "sélectionné les pilotes de ces avions, pour éviter que des délinquants arrivent dans notre pays".
Rafael Correa a en effet reçu une demande américaine d’autorisation d’atterrissage d’avions non militaires sur le sol équatorien, pour compenser la fermeture en novembre d’une importante base antidrogue américaine en territoire équatorien, à Manta (sud-ouest).
La base sera démantelée à la suite de l’adoption en septembre d’une constitution d’inspiration socialiste qui interdit la présence de troupes étrangères.
Rafael Correa, qui a fait de la restauration de la souveraineté économique et politique de son pays un de ses thèmes de prédilection depuis son accession au pouvoir en 2006, est aussi en campagne pour sa réélection, aux élections générales qui seront organisées le 26 avril.
En 2008, le gouvernement avait déjà dénoncé une "infiltration" de l’agence américaine de renseignement (CIA) dans ses propres services.
Les autorités équatoriennes avaient également affirmé que la CIA savait que l’armée colombienne bombarderait un camp de la guérilla colombienne des Farc en territoire équatorien, opération dans laquelle 25 personnes ont été tuées le 1er mars 2008 et qui a entraîné la rupture par Quito des relations diplomatiques colombo-équatoriennes.
L’ambassade des Etats-Unis, contactée samedi par l’AFP pour commenter ces affirmations, n’était pas disponible."
Source AFP